Albert Camus Réflexion Sur La Guillotine

taillée à ma mesure, n’ayant ni chronologie, ni date, ni patrie. » Cette histoire, ce sont ses confessions, auxquelles il donna le nom d’Essais.   Dans ce livre, Montaigne a voulu, avant tout, peindre l’homme en se peignant lui-même. Il y ajoute des réflexions personnelles qu’il émaille d’un grand nombre de citations grecques et latines ; ces citations rendent la lecture du livre un peu fatigante. La narration n’est point suivie, l’auteur commence un chapitre sur un sujet, mais bientôt il abandonne son

retirer dans un coin), la paraphasie : un substitution de mots plus ou moins motivée(pédéraste d’honneur), la syllepse : consiste en un mot employé une seule fois mais pouvant s’entendre à la fois au propre et au figuré( exécuter une ordonnance, guillotine à bureau), l’antanaclase : consiste en la répétition d’un mot pris dans deux sens différents.( couper la poire en deux). Il y a aussi des périphrases : des substitutions d’un seul mot par plusieurs autres mots de même sens( pharmacien devient marchand

une dissertation | Manon Lescaut, Abbé Prévost (1731) - | Voir fiche de lecture | Voir fiche de lecture Détails et genre des pseudo-mémoires donne un réalisme – Des Grieux sorte d'anti-héros car sans volonté | L’Étranger, Albert Camus (1942) Roman | ■ Un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir, se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste aux funérailles sans prendre

réquisitoire (discours d’accusation). (exemple : Aimé Césaire, Discours sur le colonialisme, 1950.) L’essai, le traité : l’auteur partage son point de vue, ses réflexions, sur un ou plusieurs sujets. (exemple : Albert Camus, Réflexions sur la guillotine, 1957.) 2/ Argumentation indirecte L’auteur donne son point de vue par le biais de personnages, dans le cadre d’un récit fictif. L’énoncé est coupé de la situation d’énonciation

qui est d’ailleurs exactement et systématiquement le cas dans L’Orestie, où de fait le crime est réparé par le crime. Plus profondément, la justice instituée peut relever de la « vengeance légale ». C’est le terme qu’emploie Albert Camus dans ses Réflexions sur la guillotine. Pour lui, une justice qui admet la peine de mort relève de la vengeance, dans la mesure où elle répare le crime par le crime et cette réparation est de toute façon insatisfaisante, condamnable dans son principe, puisque la société

sabots sur la terre dure. Au-dessus des têtes, parmi le hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite; et cette hache unique, qui était comme l'étendard de la bande, avait, dans le ciel clair, le profil aigu d'un couperet de guillotine. 5 « Quels visages atroces ! » balbutia M Hennebeau. Germinal ZOLA Germinal est un mois républicain, il correspond au début du printemps et donc à la renaissance du monde, on peut donc y voir que Zola souhaite nous dépeindre le printemps

années 20 ( ainsi l’antiroman avec André GIDE). Notre siècle a vu naître un 7e art, le cinéma. Il a ébranlé les structures fondamentales des genres, des arts traditionnels, du langage et même de la pensée. Il a vu s’affirmer, de Bergson à Sartre ou Camus, l’influence de la philosophie sur les lettres françaises, et la peinture, la sculpture elles-mêmes assumer des ambitions métaphysiques. Parmi ses traits dominants figurent l’exercice d’approfondissement, la quête des essences (poésie pure, roman

avec laquelle il vivait. Max et Clément renouent alors étroitement leurs relations, ce qui amènera ce dernier à se livrer peu à peu à des confidences qui se mueront bientôt en une confession... CAMUS.A Biographie : Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi, en Algérie, et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin, dans l'Yonne, est un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français. Il est aussi journaliste militant engagé dans la Résistance

IV. Bibliographie Livres - CAMUS, Albert. L’Etranger. Gallimard. Mars 2005. 205 pages. - HUGO, Victor. Le Dernier Jour d’un condamné. Larousse. 2006. 222 pages. - BADINTER, Robert. L’éxécution.Grasset. 2009. 220 pages. - BADINTER, Robert. L’abolition. Fayard. 2009. 273 pages. Films - La ligne verte de Frank Darabont.1999. 188 min. - Dancer in the dark de Lars von Trier.2000. 140 min. - La dernière marche de Tim Robbins. 1995.122 min. Sites

tiendrait de lui-même par la force interne de son style ». Avec pour volonté que jamais ne soit perçu la présence démiurgique2 de l’auteur. Dans sa correspondance, Flaubert défend son ambition de faire œuvre impersonnelle : « Nul lyrisme, pas de réflexions, personnalité de l’auteur absente. » (Lettre à Louise Colet, 31 janvier 1852) Le roman est publié en 1857, son auteur traduit en justice la même année, pour « offense à la morale publique ». La publicité faite autour de ce procès garantit le succès