Albert de Brandebourg

Contexte de la révolte Les débuts de la révolte Le 31 octobre 1517, Martin Luther ainsi que ses étudiants affichent au devant de l’église Brandebourg un message écrit par Luther en réaction à la vente d’indulgences faites par Johann Tetzel. Tetzel recevait 50% des profits effectués avec la vente de d’indulgences qu’il vendait pour Albert de Brandebourg. Cette lettre était composée de 95 thèses composées de constats des abus de l’Église ainsi que de solution à leur égard. Certaines thèses prônant

a définitivement troqué « La Môme Piaf » contre « Édith Piaf », continue de donner des concerts. Malgré un voyage à Berlin en août 1943 avec quelques artistes français dont Loulou Gasté, Raymond Souplex, Viviane Romance, Albert Préjean où elle pose devant la porte de Brandebourg à l'occasion d'un voyage censé promouvoir la chanson française. Elle cède peu face à l’occupant nazi : elle interprète des chansons à double sens, évoquant la résistance sous les traits d’un amant (Tu es partout) et protège

de pierres enflées, dieux du stade, athlètes en marbre de Carrare mais aussi collage Chiriquien associant structures de béton plaqué et statuaire néoclassique avec des formes simples, carrées, épurées, modernes Hitler : 1933 : Goebbels demande à Albert Speer, membre du NSDAP depuis 1930, de rénover le ministère de la Propagande. Satisfait, il le recommande à Hitler et en 1934, Speer est architecte en chef. .Il organise les parades de Nuremberg,. Speer invente la théorie des « ruines de valeur »

thèses de Luther Le conflit avec la papauté éclate en 1517, à propos de l'indulgence décrétée par le pape Léon X pour favoriser la construction de la basilique Saint-Pierre, indulgence soutenue en Allemagne par l'archevêque-électeur de Mayence Albert de Brandebourg. Le 31 octobre, Luther écrit à l'archevêque pour lui demander de ne pas cautionner cette indulgence et joint à sa lettre les 95 thèses. Comme l'affirme son contemporain Philippe Mélanchthon, le 31 octobre 1517 il aurait placardé sur les portes

12. Auguste II de Pologne 25. Anne Sophie de Danemark 6. Auguste III de Pologne 26. Christian II Ernest de Brandebourg-Bayreuth 13. Eberhardine de Brandebourg-Bayreuth 27. Sophie Louise de Wurtemberg 3. Marie-Josèphe de Saxe 28. Léopold Ier du Saint-Empire

non sens historique. Selon Geneviève Dreyfus-Armand, spécialiste de l'exil républicain espagnol : « Le terme camp de concentration peut choquer ; il est couramment utilisé dans les documents administratifs de l’époque, et le ministre de l’Intérieur, Albert Sarraut, l’emploie dans un sens « lénifiant » lors de sa conférence de presse au début de février 1939 : Le camp d’Argelès-sur-Mer ne sera pas un lieu pénitentiaire, mais un camp de concentration. Ce n’est pas la même chose. » Lors de la Seconde

d’Hitler et ancien héros de guerre est alors nommé à la tête de la police, il y fera entrer 50 000 soldats de la Section d’Assaut. Pour célébrer la victoire de Hitler, 15 000 chemises brunes défilent sous la porte de Brandebourg à Berlin. Défilé le 30 Janvier 1933, porte de Brandebourg C. L'idéologie nazie comme solution Le parti du NSDAP comprend ce programme : « 1. Nous demandons la constitution d’une Grande Allemagne, réunissant tous les Allemands sur la base du droit des peuples à disposer

d´emprisonnement à 50000 francs d'amende et à l'indignité nationale. En avril 1951, le tribunal militaire de Paris ordonne son amnistie. Mais pendant ces années l´œuvre de Céline apparaît régulièrement grâce à ses amis professionnels : Jean Paulhan, Albert Paraz, Frédéric Chambriant, Pierre Monnier, etc. Malheureusement ces éditions ont connu un désintérêt de la critique et du public littéraire. La situation change avec le roman D´un château l´autre (1957). L´accueil de ce nouveau roman était favorable

— De Gabriel à Staupitz Chapitre III. — Révisions : la Découverte I. — Ce qu’est la Découverte II. — Ses conséquences III. — Luther en 1516 Deuxième partie. L’ÉPANOUISSEMENT Chapitre I. — L’affaire des Indulgences I. — Albert, Fugger, Tetzel II. — La réaction de Luther III. — Les 95 thèses Chapitre II. — L’Allemagne de 1517 et Luther I. — Misères politiques II. — Inquiétudes sociales III. — Luther devant l’Allemagne Chapitre III. — Érasme, Hutten

Saxe, l’électeur Frédéric le Sage, qui a dans son château de Wittenberg 17412 reliques valant 127499 années d’indulgences, craint la concurrence et interdit la prédication. Scandalisé par ces pratiques, Luther adresse 95 Thèses à l’archevêque Albert de Brandebourg, primat de Germanie ; n’ayant pas de réponse, il diffuse le texte en novembre-décembre 1517. Ces Thèses affirment la permanence du péché, que Dieu seul peut remettre (et donc pas le pape avec des indulgences) ; elles disent que le vrai trésor