Alchimie De La Douleur

Madame de La Fayette – La Princesse de Clèves (1678)LL1 – « La scène du bal »Etude linéaireGenre : Roman Mouvement littéraire : Classicisme, Préciosité Parcours associé : Individu, moral et société Introduction : La princesse de Clèves est un roman publié en 1678 anonymement par Madame de Lafayette qui appartient au courant littéraire du classicisme

BaudelaireParcours « Alchimie poétique » : Charles Baudelaire, Les fleurs du mal. INFOS ESSENTIELLES Titre : Les fleurs du mal Auteur : Charles Baudelaire Date de publication : 1857 (censuré), 1861 (réécriture de la 1ère édition), 1868 (posthume) Structure de l’œuvre : - 6 sections : Spleen et Idéal, Tableau parisien, Le Vin, Fleurs du mal, Révolte, La Mort. - 3 cycles féminins: Jeanne Duval (sensualité et exotisme/femme fatale et animale), Madame Sabatier (incarne

tercets en alexandrin en rimes croisées. En quoi ce poème illustre-t-il l'alchimie poétique ?I - (2 quatrains): portrait du poète un être mystérieux et malheureuxII-(2 tercets). la victoire du poète et la puissance de alchimie poétiqueI.  Strophe 1: Vers 1: présence du poète - «Je» + gradation: *Ténébreux, le veuf, l'inconsolé»=ces3 adj dressent un portrait du poète comme un homme mélancoliqueVers 2: comparaison implicite: «Prince (. ] abolie» + «Tour abolie»=perteVers

romantisme, lorsqu’il donne la parole à la Muse de sa poésie. Dans sa Nuit de mai en 1835, il organise un dialogue entre un poète blessé par la vie, victime d’une douleur qui lui paraît insurmontable, et la Muse, divinité antique, allégorie de l’inspiration poétique. Celle-ci tente de le convaincre d’écrire et, pour cela, d’utiliser sa douleur comme sujet et moteur de son inspiration poétique : « les plus désespérés sont les chants les plus beaux/et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots »-

"Nul ne guérit de son enfance". Les blessures qui s'y forment restent des plaies béantes, qui saignent et font souffrir au moindre souvenir, au détour d'une photo, à la douleur d'un mot, à l'écoute d'un air autrefois aimé, familier, et qui fait, malgré le temps qui passe, l'effet d'un coup de couteau...le couteau dans la plaie, et la boucle est bouclée. Retour à la case départ, l'innocence perdue, les actes manqués , comme une naissance non désirée, les mensonges tordus d'une mère-enfant narcissique

recherche de la beauté formelle. Titre qui a une connotation satanique qui renvoie au Mal. - Enjeu : définir l’ « ennemi », la nature du Mal ressenti par le poète comme une douleur, et évaluer les possibilités de se libérer de ce poids par l’alchimie poétique. plan : 1. Un bilan moral et poétique pessimiste (V 1-8) 2. L’espérance (d’une nouvelle forme de création

Fleurs du Mal Situation: Fait partie de la section ‘Spleen et Idéal’ et appartient à un ensemble de quatre textes intitulés « Spleen » (LXXV, LXXVI, LXXVII, LXXVIII) qui sont flanqués sur d’autres pièces : « Sépulcre », « Obsession », « Alchimie de la douleur », « Horreur sympathique », « L’irrémédiable » et « Le goût du néant. » Le sens du mot ‘Spleen’ : de l’anglais ‘spleen’ [Baudelaire connais l’anglais de Edgar Allan Poe, dont il a traduit plusieurs œuvres] Ce mot est ‘intraduisible’. Il

BEAUTÉ ET ATTROCITÉ, UNE ALCHIMIE POÉTIQUE PARFAITE RAPHAEL DURAND 2 « Le beau est toujours bizarre. » Charles Baudelaire 3 1) QUESTIONS D’ACCOMPAGNEMENT A LA LECTURE 1) Quelles sont les six sections qui composent le recueil ? Laquelle préférez-vous et pourquoi ? Le recueil est composé de six parties qui sont : SPLEEN ET IDÉAL, TABLEAUX PARISIENS, LE VIN, FLEURS DU MAL, RÉVOLTE et enfin LA MORT. Ma section préférée est SPLEEN ET IDÉAL car dans cette partie du recueil l’émotion

voir que ce poème est une véritable préface à l’entrepris des Fleurs du mal, qu’il est une invitation au voyage faite au lecteur où le poète annonce ce qu’il va se dérouler au fur et à mesure de la lecture, où le lecteur vivra une véritable alchimie de la douleur. Au lecteur. La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont

sentiments ou plutôt de la façon dont Baudelaire construit ses magnifiques poèmes sur cette boue. En effet, il arrive à partir de ces mauvais sentiments comme le sadisme par exemple à écrire des poèmes splendides comme « L’albatros » ou encore « Alchimie de la douleur ». Il fait preuve d’un très grand talent pour écrire sur les mauvais sentiments mais tous ses poèmes n’évoquent pas forcément des mauvais sentiments mais il y a toujours un côté obscur à un moment dans ses poèmes. Par exemple il y a « l’invitation