Alcoolisme

devient, au fur et à mesure que le taux d'alcool augmente dans le sang, comparable aux effets de l'opium : baisse de la vigilance, des performances intellectuelles et sensorielles, apparition d'irritabilité et d'agitation. En cas de dépendance (alcoolisme chronique), on est contraint de boire régulièrement sous peine de voir apparaître un syndrome de sevrage; le plus connu est le delirium tremens qui se manifeste par des tremblements, des hallucinations terrifiantes et une déshydratation aiguë. "Boire

BINGE DRINKING 1) VARIABILLITE DES DEFINITIONS DU « BINGE DRINKING » Le binge drinking, anglicisme que l'on peut traduire par « hyperalcoolisation », « intoxication alcoolique aiguë », « alcoolisation paroxystique intermittente » ou bien par « alcoolisme périodique », est un mode de consommation excessif qui consiste à boire de grandes quantités d’alcool sur une courte période de temps, par épisodes ponctuels ou répétés. C’est un type de comportement d'alcoolisation massive où l'état d'ivresse est

rapport sur le sujet par des sénateurs français mais également par L'Académie nationale de médecine (en France) .D'autres médecins parlent d'« alcoolisation paroxystique intermittente ». Le grand dictionnaire terminologique (du Québec) parle d'« alcoolisme périodique ».Enfin,L'Observatoire français des drogues et des toxicomanies parle d'« alcoolisation ponctuelle importante » 2. origine : L'origine de ce phénomène vient de l'Angleterre où les jeunes profitent des « happy hours » (période au cours

chroniques et/ou rares ainsi que leur entourage. Elle peut concerner les patients mineurs sous l’autorité de leur tuteur légal et s’appuie sur une relation étroite entre soignants et patients. Liste non exhaustive de programmes d’ETP : addictions / alcoolisme – anorexie mentale – boulimie – asthme / BPCO / insuffisance respiratoire – AVC – cancers – diabète type 1 et 2 – épilepsie – hémophilie – HTA / hypercholestérolémie – insuffisance ♥ / maladies ♥vasculaires – insuffisance rénale / dialyse – lombalgies

se souvenir. „ Augmentation des accidents. Surdose : consommation d’une quantité excessive d’alcool peut provoquer le coma et la mort. „ Dommages au foie et à l’estomac. „ Pertes de mémoire à long terme. „ Dépendance psychique et physique (alcoolisme). „ Cannabis marijuana, pot, joint, herbe. Effets: „ Perte de mémoire „ Champ d’attention réduit. „ Incapacité de réfléchir. „ Perception différente du temps et de l’espace. „ Surdose: une surdose ne cause pas la mort. „ Dépendance:

caractère très affirmé S’énerve très facilement et rapidement Aime plaisanter lorsqu’il est de bonne humeur Peut être très vulgaire par moment dans ses paroles (insultes, allusions sexuelles avec les femmes) Antécédents et traitements en liens : Alcoolisme avec syndrome de sevrage Insuffisance rénale chronique Méningite tuberculeuse en 1951 Invalidité militaire Epilepsie séquellaire Dépression Arthrose Médicament/Molécule Posologie Famille Effets secondaires notoires Lovenox ® 4000 UI/0,4 mL Héparine

actuel ou récent avec psychiatrie 4 semaines après la sortie %suicide 50 25 Fx100 10-15 Hx200 Antécédents de tentative de suicide Antécédents familiaux de suicide x10-30 x4 30-4 Facteurs de risque (2) Gunnel et Frankel, 1994 Groupe RR Alcoolisme x20 Maladie ou handicap sévère %suicide 15-25 4-32 HIV ou SIDA 1-2 Prisonniers x5 <1 Médecin x2 <0.1 Sans emploi x2 6  Puis évaluation des facteurs protecteurs et de la capacité à les invoquer.  Evaluation par des questions

Alimentation entérale ou parentérale prolongée (il y a nécessité d’apport de phosphore). * Décompensations de diabète. * Hyperparathyroidie. * Certaines formes de rachitisme de l’enfant et l’hypovitaminose D chez l’adulte. * Alcoolisme chronique. * Prise de médicaments antiacides. * Hyperphosphorémie : * Libérations osseuses importantes. * Destruction osseuse importante, en particulier les métastases osseuses * Ostéoporose. * Augmentation

(tentatives de suicide précédentes, troubles de l’humeur) ; - les antécédents familiaux (suicide de proche) ; - les troubles psychiatriques avérés (schizophrénie, dépression, psychose maniaco-dépressive, toxicomanie, alcoolisme). Il est conseiller que le dépressif se débarrasse de tout ce qui pourrait le pousser à se suicider. On pensera surtout aux armes à feu car l’utilisation est simple et rapide et pourrait conduire à la mort sans même avoir eu le temps de s’en rendre

substance blanche) Les démences organiques sont soit secondaires, soit primaires. Les démences secondaires sont consécutives à diverses étiologies : Mécaniques : démence du boxeur, démence du footballeur US, traumatisme crânien, tumeur… Toxiques : alcoolisme chronique, métaux lourds, psychotropes… Carentielles : déficit en vit B1, vit B12… Métaboliques : hypogrlycémie, dysparathyroïdie… Infectieuses : neurosyphillis, maladie de Kuru, encéphalite herpétique… Les démences primaires ou primitives provoquent