Alexander Dubček

l’Europe de l’est, la détente n’est pas vraie puisqu’en 1968, année très révolutionnaire, on remarque une volonté de chercher plus d’indépendance et de liberté. Ceci est 8 particulièrement vrai pour la Tchécoslovaquie. Son nouveau dirigeant, Alexander Dubcek, est un communiste qui veut faire quelque chose de vraiment tchèque. Il veut créer un socialisme à visage humain, c’est-à-dire accepter un certain nombre de libertés. Donc, c’est ce que les Tchèques vont appeler le Printemps de Prague. Ce printemps

début des année 60. La Chine reproche, en particulier, à l'URSS sa domination du monde communiste et son manque de vigueur vis à vis du camps adverse. Le bloc communiste n'est donc plus monolithique. En 1968, a lieu le Printemps de Prague. Alexander Dubcek tente de réformer le régime Tchécoslovaque. Mais , le 21 aout, les troupes du pactes de Varsovie, en particulier des Russes et des Allemands, envahissent la Tchécoslovaquie. III – 1975-1991 : Du refroidissement à la fin de la guerre froide

Kennedy, 1963. Prononcé à Berlin, il montre la solidarité des États-Unis avec les Berlinois, mais aussi le rôle de symbole que joue cette ville. Très utile dans un sujet ou une question portant sur l’Allemagne. « Un socialisme à visage humain », Alexander Dubcek, dirigeant tchèque progressiste, en 1968. Cette expression résume le projet du « Printemps de Prague ». « N’ayez pas peur », expression du pape polonais Jean-Paul II lors de son premier discours en 1978. Il vise ici en particulier les Polonais

notamment par le biais de la pérestroïka et du glasnost au niveau interne et la reprise du processus de désarmement au niveau international. Le 5 janvier 1968 commence le Printemps de Prague qui finit le 21 août. Pendant cette période, le réformateur Alexander Dubcek, homme politique tchécoslovaque, introduit la liberté de presse, d'expression et de circulation ainsi qu'un processus de décentralisation de l'économie. La réaction de l'URSS sera d'envoyer chars et soldats afin de normaliser la situation. Cette

cours de cette même décennie, l’Union soviétique continua d’appliquer son régime politique avec la même force qu’à la RDA. En 1968, les Tchécoslovaques amorcèrent, ce qui est aujourd’hui appelé, le «Printemps de Prague». Le chef du gouvernement, Alexander Dubcek, se mit à vouloir instaurer un communisme avec un visage plus humain. Cependant, ses espoirs de fonder une forme plus démocratique de régime furent anéantis lorsque les chars soviétiques entrèrent à Prague. Cette même doctrine avait été appliquée

contesté chez lui. L'URSS fait face à des critiques de la Chine de Mao Tse-Tung et connaît de graves difficultés économiques. Léonid Brejnev succède à Krouchtchev en 1964. Il réprime la révolte pour la liberté du Printemps de Prague emmené par Alexander Dubček et son "socialisme à visage humain" en août 1968. S'instaure alors la doctrine Brejnev sur laquelle tout repose, il y dit:"Nous ne pouvons rester indifférent au sort de la construction socialiste dans d'autres pays", c'est-à-dire que l'URSS peut

libéraliser le système politique. En Hongrie, la planification est limitée et l’économie légèrement libéralisée par Kadar, provoquant une nette amélioration du niveau de vie. Au printemps 1968, en Tchécoslovaquie, le programme du nouveau président Alexander Dubcek propose des changements radicaux : suppression de la censure, choix entre plusieurs candidats aux élections, séparation entre Etat et parti. Encore une fois, la réaction est immédiate. Par peur de la contagion et sous la direction de l’Armée

de la Hongrie en 1956 ont été rapidement matées par les troupes soviétiques, qui ont imposé des dirigeants fidèles et inféodés à Moscou. Le « printemps de Prague » en 1968, veut donner du socialisme un « visage humain ». Sous la conduite Alexander Dubcek, les dirigeants tchécoslovaques canalisent le mouvement populaire et la contestation des intellectuels. Néanmoins, inquiets des risques de contagion, les Soviétiques décident d’envoyer des troupes du pacte de Varsovie qui mettent fin à la

laquelle le parti communiste tchécoslovaque a introduit le "Socialisme à visage humain" qui prône une relative libéralisation. Il débute le 5 janvier 1968, avec l'arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček et s’achève le 21 août avec l’invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie. Alexander Dubček introduit la liberté de la presse, d’expression et de circulation dans la vie politique et enclenche une décentralisation de l’économie. Il dote le pays d'une nouvelle constitution qui reconnait

Velours provoque l'effondrement du régime sans une goutte de sang versé. Des manifestations ont alors lieu dans tous le pays, pour réclamer des changements, le gouvernement cède. Le 10 décembre, le premier gouvernement non-communiste et formé. Alexander Dubček est élu à la tête du parlement le 28 décembre ; le lendemain, Václav Havel est élu Président de la République. LJAA, Dpt Hist-Géo, 2010 10 En Roumanie, la révolution tourne au drame. La chute des régimes du bloc de l'Est est essentiellement