Alexandre Ledru-Rollin

Frédéric Chopin, Marie d'Agoult, Honoré de Balzac[5], Gustave Flaubert[6], Eugène Delacroix, et Victor Hugo, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, l'Éclaireur, plaidant auprès de Napoléon III la cause de condamnés, notamment celle de Victor Hugo dont elle admirait l'œuvre et dont elle a tenté

accueillant à Nohant-Vic ou à Palaiseau : Liszt, Marie d'Agoult, Balzac5, Flaubert6, Delacroix, et Victor Hugo, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, l'Éclaireur, plaidant auprès de Napoléon III la cause de condamnés, notamment celle de Victor Hugo dont elle admirait l'œuvre et dont elle a tenté

nous raconter à travers ce dernier ses propres exploits. Il l'insère en espion dans ce milieu de journalisme avec "La Vie Française". Zoom sur George Sand (1804-1876) Elle s'est investi dans un engagement politique dès 1848, encouragée par Alexandre Ledru-Rollin, elle participe aux lancements de trois quotidiens:  Le Bulletin de la République, l'Éclaireur, La Cause du peuple  collaborant auprès de Napoléon III l'intérêt des condamnés spécifiquement de Victor Hugo qu'elle admire tout particulièrement

accueillant à Nohant-Vic ou à Palaiseau : Liszt, Marie d'Agoult, Balzac, Flaubert, Delacroix, et Victor Hugo, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : « La Cause du peuple », « Le Bulletin de la République », « l'Éclaireur », plaidant auprès de Napoléon III la cause de condamnés, notamment celle de Victor Hugo dont elle admirait l'œuvre et dont

ressurgir avec la révolution de 1830. Elle est ensuite régulièrement revendiquée par différents révolutionnaires, en particulier le socialiste Pierre Leroux, qui participe largement à sa reconnaissance comme principe de la République, mais aussi Alexandre Ledru-Rollin, Lamennais ou Philippe Buchez ; elle est également agréée par les participants au premier banquet communiste de Belleville, autour de Théodore Dézamy et de Jean-Jacques Pillot, en 1840, à condition que la fraternité contribue à étayer l'instauration

gouvernement provisoire est remplacé par une commission exécutive, dont ont été exclus les plus à gauche (Louis Blanc, etc.). Lamartine siège alors avec François Arago (également président de la Commission), Louis-Antoine Garnier-Pagès, Alexandre Auguste Ledru-Rollin et Pierre Marie de Saint-Georges. Après la fermeture des Ateliers nationaux, décidée par la Commission exécutive, et les Journées de Juin, réprimées dans le sang par le général Cavaignac, la Commission démissionne. Le 28 juin 1848,

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« […] une classe plus à plaindre qu’à maudire. . Braves gens au fond, ils entendent dire par M.BARESTE, faiseur d’almanachs, que le pays est affreusement gouverné ; par L.PROUDHON, détestable mystificateur, que la propriété c’est le vol ; par M. LEDRU-ROLLIN, millionnaire couvert de créancier, que les patriotes meurent de faim.[…] Gobe-mouches politiques et socialistes, depuis la garde national […], jusqu’au citoyen naïf qui croit à la queue phalanstérienne (membre d’un phalanstère, d’une association

d’imprimerie renvoyant à la liberté de la presse et, plus généralement, à la liberté d’expression. Les fruits aux pieds du citoyen et de la Marianne évoquent l’abondance que doit apporter le nouveau régime. À l’arrière-plan, on peut reconnaître Alexandre Ledru-Rollin qui, en tant que ministre de l’Intérieur, a mis en œuvre les premières élections législatives au suffrage universel direct. L’homme politique républicain prend appui sur un « arbre de la liberté » à l’image des milliers qui furent plantés

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