Alexandrin Sur La Mer

Les Fleurs du Mal (3) - Baudelaire « L’albatros »Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, héritier du romantisme, un temps Parnassien, instigateur du symbolisme, publie Les Fleurs du Mal en 1857. Il y remet au goût du jour la forme du sonnet, tandis qu'il popularise le poème en prose dans Le Spleen de Paris . Le poème « L'Albatros » suit le prologue « Au lecteur » et le poème liminaire « Bénédiction » qui introduit la section

C’est une huile sur toile qui a pour dimension 200 x 140.5 cm. Il se trouve dans la collection Torczyner à New York. Dans cette composition il y a un énorme bloc rocheux, surmonté d’un château fort, qui occupe l’espace entre un ciel azuré et une mer. Le titre de ce tableau a été emprunté a un célèbre roman noir d’Ann Radcliffe. LES YEUX D'ELSA Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire  J'ai vu tous les soleils y venir se mirer S'y jeter à mourir tous les désespérés Tes yeux

de même présentes. Ces poèmes sont tous du XIXè siècle écrit par des poètes remarquables tel que Musset, Hugo, Baudelaire ou encore le poète allemand Friedrich von Schiller. La forme du poème de Musset m'a tout de suite plu (rejets, syllabes,(alexandrins), rimes (croisées, embrassées et suivies)). Vous découvrirez pourquoi en le lisant et en l'approchant de plus près. Toutes ces oeuvres ont essentiellement un thème mélancolique, triste ou douloureux mais certaines évoquent l'amitié, l'amour

marine La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai! Steamer balançant ta mâture, Lève l’ancre pour une exotique nature! Un Ennui, désolé

communication orale. Ensuite, des points d’exclamations sont présents dans ce quatrain, ce qui donne un caractère insistant et qui appartient donc au discours oral et au registre oratoire. Le rythme narratif est vivant. La poésie est composée en alexandrins, avec de nombreux groupes rythmiques dans chaque vers tel que : « souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipages » au vers 1, qui se décompose grâce à la ponctuation, en gradation 2/4/6 qui rend le rythme haché et vivant. Comme nous pouvons le

jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier1 Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins roses Je rougirais ta bouche

beauté comparable à un bijou. De plus, le mot « petite lampe » nous fait penser à un point scintillant. Par ailleurs, l'antithèse entre les mots « obscure » et « étincelant » au vers 12 renforce la brillance de la lune, en contraste avec le sombre de la mer. D'autre part, on remarque le désir de de s'approcher de la part de l'auteur. Il est de plus en plus attiré par Dublin en descendant, ravi par sa beauté. On passe du néant à une chose qui va solliciter notre attention et notre attirance ; la dimension

1). Histoire de la pièce Phèdre est une pièce écrite par Jean Racine, en 1677. C’est une tragédie, elle est donc composée de cinq actes, écrient en alexandrins. Elle fut présentée pour la première fois le 1er janvier 1677. C’est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de douze ans pendant lequel il se consacre au service du roi et à la religion. Le sujet de la pièce a déjà été traité par les poètes tragiques grecs et romains. Cette pièce a été victime de la création

suggèrent et la volonté de nous faire pénétrer dans un monde étrange. Etude I/ Un paysage inhospitalier 1/ L’importance du décor Le poète évoque un paysage de côtes lointaines, froides et escarpées comme le montrent les termes « écume de la mer » (v.1) ; et « flots destructeurs » (v.9), « brouillard » (v.4) et « vent » (v.8), « gouffre » (v.2), « pis » (v.3) et « hauts caps » (v.9), « glace » (v.11) et « neiges » (v.12). Toute forme de vie paraît à première vue bannie : « monde mort » (v

airs, mais inspirent la pitié sur la terre ferme. b) Un point de départ narratif dans un texte poétique Épisode que l'on pourrait trouver facilement dans un film ou dans un roman. Des verbes d'action au présent de l'indicatif dans un poème en alexandrins : « prennent » (v. 2), « suivent » (v. 3), « laissent » (v. 7), « agace » (v. 11), « mime » (v. 12). Des adverbes temporels au début des 2 premières strophes : « souvent » (v. 1), qui marque la fréquence de l'action, « à peine » (v. 5) qui souligne