Alexis Carrel

Au-delà du champ de la biologie, l’inventeur Alexander Graham Bell ou Luther Burbank, un influent agronome américain, ont été d’actifs militants eugénistes. En France les plus célèbres des scientifiques eugénistes furent les prix Nobel de médecine Alexis Carrel et Charles Richet. Convergences idéologiques[modifier | modifier le code] Le racisme[modifier | modifier le code] Charles Robert Richet, prix Nobel de médecine 1913 et président de la Société française d'eugénisme de 1920 à 1926. Dès l’origine

découvrent la structure en double hélice de l'ADN, support des gènes. Qui ont permit la naissance d'une telle pensée eugénique. James Watson ira même jusqu'à affirmer qu'il faut globalement améliorer l'espèce humaine grâce à l'eugénisme. En 1935, Alexis Carrel[2] publie « l'homme, cet inconnu » avec l'aide de George Debelly dans lequel ses convictions sont clairement anti-démocratiques, voir « biocratiques »[3], engagées dans une convergence manifeste avec le nazisme et le fascisme mussolinien qui apparaîtront

une affaire de 500 millions de francs : « Guiro, ce n’est pas n’importe qui !». Des attitudes qui corroborent les propos de Voltaire tant ils mettent en évidence le caractère hautement idéaliste et fantasmagorique de l’égalité. Aussi le Dr Alexis Carrel écrivait-il dans L’Homme, cet inconnu : «  Certes, les êtres humains sont égaux. Mais les individus ne le sont pas. L’égalité de leurs droits est une illusion. Le faible d’esprit et l’homme de génie ne doivent pas être égaux devant la loi. »

de la greffe s’accomplirent au XIXe siècle, avec les tentatives de greffes de tissus comme la peau.  Ces dernières ont  été permises grâce à la technique de suture entre vaisseaux sanguins, préalable à toute transplantation, mise au point par Alexis Carrel (1873-1944) vers 1905. Quelques années avant, alors qu’il n’était qu’un jeune chercheur français de vingt et un ans, passionné et intransigeant, il partit pour l’Amérique du Nord sous prétexte que la France n’était pas pour lui : la chirurgie expérimentale

commence où la pauvreté cesse. Téléchargez l'image   Quand la pauvreté entre par la porte, l'amour s'en va par la fenêtre. Téléchargez l'image   L'ignorance et la pauvreté ont les mêmes effets que la richesse. Téléchargez l'image   Alexis Carrel    Si tu désires peu de choses, ce peu te semblera beaucoup, car des désirs peu exigeants donnent autant de force à la pauvreté qu'à la richesse. Téléchargez l'image   Démocrite    Le bÏuf traîne la charrue et le paysan suit la charrue.

les courants agrariens de l'entre-deux-guerres et dans les mouvements poujadistes des années cinquante, dont on sait qu'ils ont été proches de l'extrême droite. La sélection « naturelle » n'est pas loin de l'eugénisme et des thèses défendues par Alexis Carrel. Ce n'est que dans les années soixante-dix que ces thèmes sont devenus ceux des mouvements d'extrême gauche, puis des altermondialistes. Lécologie, de réactionnaire, devient alors révolutionnaire. Cela ne doit rien au hasard. Gil Rivière-Wekstein

libéraux GRLAGMA (grammaire, rhétorique, logique, arithmétique, géométrie, musique, astronomie), chacun étant un échelon qui permet d’apercevoir un aspect de la Vérité, du beau, du bon et du bien. La beauté est source de joie, de bonheur. Alexis Carrel a écrit que « la beauté est une source inépuisable de joie pour celui qui sait la découvrir » Nous voyons ainsi, au sens premier du terme, que c’est la perception, la sensation que nous avons d’un bien, d’une personne, d’une situation qui détermine

machines de leur faire oublier les machines. ». L’homme se tourne sans cesse vers ces machines, jusqu’à en oublier le vrai but de son progrès : « La civilisation a pour but, non pas le progrès de la science et des machines, mais celui de l'homme. » [Alexis Carrel, chirurgien français]. En effet l’être humain a une plus grande connaissance des machines que de la médecine par exemple, ce qui est regrettable car, même si les machines pourraient un jour présenter un danger, ce sont actuellement les maladies

précoce pour éviter les amputations immédiates, laparotomie exploratrice rapide lors de toute plaie de l’abdomen, préconisée par Samuel Pozzi, chirurgien des hôpitaux de Paris ; irrigation des plaies souillées avec la liqueur de Harry Dakin suivant Alexis Carrel ; chirurgie traumatique guidée par la radiologie (grâce à Marie Curie et à sa fille Irène) ; chirurgie réparatrice et auto-greffes (il y aura 15 000 terribles « gueules cassées ») ; hygiène (notamment traitement de l’eau par javellisation dite

méthode innovante, les résultats de Galton furent minces. En 1892, il reconnaît que « le grand problème de l’amélioration de la race humaine n’a pas pour l’instant dépassé le stade de l’intérêt académique »15. Entre la science et l'idéologie Alexis Carrel, prix Nobel de médecine 1912, connut un succès international avec son essai eugéniste L'homme, cet inconnu. Une part du succès de l’eugénisme tient aux liens étroits qu’il entretient avec les principaux courants idéologiques de la fin du XIXe