Alfred Vallette

S'il y a un art de la revue, ceux qui font La mer gelée sont passés maîtres. "Un livre doit être la hache qui fend la mer gelée en nous" écrivait Kafka en 1904. Y a-t-il eu plus puissante injonction lancée au lecteur ? Il faut croire que cette revue bilingue franco-allemande s'y emploie deux fois par an à l'égal d'un livre. Tout y est remarquable : le papier, la typographie, la mise en page, les dessins, les thèmes et, le dernier mais pas le moindre, les textes. On dira que c'est plutôt avant-gardiste

du questionnement sociologique dans l’histoire de sa formation : - sciences nomothétiques et idiographiques ; - paradigmes explicatifs et compréhensifs ; - Max Weber et la théorie de la science ; - Georg Simmel et la sociologie des formes ; - Alfred Schutz et la phénoménologie sociale ; - Peter Berger & Thomas Luckmann et le constructivisme social. La présentation de ces grandes orientations théoriques insistera particulièrement sur les stratégies de connaissance du monde vécu, en considérant

Alfred Jarry, Ubu Roi (1886) : Alfred Jarry : Il est né à Laval (Mayenne) le 8 septembre 1873 et mort à Paris le 1er novembre 1907, il est poète, romancier et dramaturge français. En 1878, il débute sa scolarité comme élève dans la division des minimes du lycée de Laval. L’année suivante, sa mère déménage à Saint-Brieuc. C’est donc au lycée de Saint-Brieuc que Jarry poursuit ses études jusqu’en 1888. Dès 1885, il compose des comédies en vers et en prose, comme les Brigands de la Calabre

L’affaire Dreyfus En 1894, un officier juif de l’armée française, Alfred Dreyfus, est condamné pour trahison. Après une vaste campagne de presse, la France se divise en deux clans (dreyfusards et antidreyfusards) qui s’affrontent violemment. Onze ans après sa condamnation, grâce à une bataille acharnée, Alfred Dreyfus sera reconnu innocent. En septembre 1894, les services de renseignements interceptent un bordereau destiné à l’ambassade d’Allemagne, preuve de trahison certaine d’un

est une tragédie dont le héros est resté inconnu. Alfred Dreyfus demeure neutre d'aspect aux heures les plus atroces de son destin. Il ressemble à un cheval de corrida sans cri et sans regard dont les entrailles pendent. Il ne sait pas crier. Il ne veut pas crier. » (François Mauriac) L'arrestation d'Alfred Dreyfus et le premier procès 6 octobre 1894 : La Section de statistique (service de renseignements de l'armée soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit

XIXe siècle. Elle adopte un pseudo masculin pour pouvoir écrire à une époque où les femmes auteures étaient généralement méprisées. Féministe avant l’heure elle adopte des vêtements masculins et a mené à une vie sentimentale agitée notamment avec Alfred de Musset. Engagée politiquement, elle était amie avec Balzac et admiratrice de Victor Hugo. Elle se convertit à la république et défendit ardemment Hugo pendant son procès lors de la restauration monarchique de 1848.Personnage haut en couleurs, au

1658 A Juana « A Juana » ne s’adresse a personne de connu dans la vie d’Alfred Musset. Peut être était il destiné à une amante ou cela était juste une invention de la part de l’auteur. Ce poème évoque les souvenirs et les sentiments qu’éprouve Alfred de Musset après que son amante l’ait oublié évoquant ce qu’ils ont vécu. Les thèmes de ce poème sont l’amour, le temps qui passe O ciel ! je vous revois, madame, De tous les amours de mon âme Vous le plus tendre et le premier. Vous souvient-il

fait ses études à l'école nationale supérieure des Beaux-Arts de Lyon de 1929 à 1933 où il rencontre Jean Bertholle et Marcel Michaud. Il vient à Paris en 1934, travaillant à l’Académie Ranson, où il se lie avec des peintres comme Roger Bissière, Alfred Manessier, Zelman… Avec eux, il fait partit d’un groupe qui expose leurs œuvres en 1938 et 1939. Mobilisé, il est fait prisonnier en Allemagne et libéré en 1941. Il séjourne à Boulogne avec Zelman et s'installe ensuite en Normandie. De retour

poétesse Sapphô car la femme attire aussi bien les hommes que les femmes. Dans son poème, « A une aimée », il est question d'un sourire et d'une grâce qui paralyse tout le sens de la poétesse et éveil en elle un feu de passion. Bien plus tard, en 1829 Alfred de Musset écrit « l'Andalouse » car toutes les femmes du monde possèdent une beauté propre à leurs origines, il nous décrit une femme à la sensualité impertinente avec une « chevelure qui l’inonde » et de « grand sourcils noirs » qui nous entraîne

qui a provoqué la bataille entre les anciens et les modernes à sa présentation sur scène, Lamartine qui avec ses Méditations poétiques (1820) est le premier des lyriques romantiques, Alfred de Vigny avec ses Poèmes (1822) et sa Lettre à Lord sur la soirée du 24 octobre 1829 et sur un système dramatique (1829) et Alfred de Musset avec ses Nuits (1835) et ses Lettres de Dupuis et Cotonet (1836).