Ali Bongo

C’est le suicide de ce jeune homme prénommé Mohamed, qui a enflammé le monde arabe. La révolution en Tunisie commence début janvier 2011. Le Régime est surpris par l’ampleur du soulèvement et la contestation enfle de jour en jour. Le président Ben Ali, alors en fonction depuis 23 ans, intervient 3 fois à la télévision, sur la chaine publique. Lors de sa première intervention à la télévision, il menace les causeurs de trouble de terribles sanctions et accuse les médias étrangers. ! ! B/ La chute

le feu… Pour lui, on reste quand même optimiste… Dans l’art de la guerre Sun ZI, grand stratège militaire Chinois du 6eme siècle avant J.C. avait pourtant prévenu : ne livre que les batailles que tu peux remporter… DANSE DE L’IRREVERENCE : Sous Ben Ali, durant une bonne décennie le sport tunisien a souffert du brigandage et des malversations, pratiqué par Slim Chiboub… Après le 14 janvier 2011, on a eu la vague impression, qu’un coup d’un grand vent de sincérité a soufflé sur notre univers politique

Ben Ali le bourreau des journalistes A la veille de l’élection présidentielle, le 24 octobre 2009, Zine el-Abidine Ben Ali, candidat à sa propre succession pour un cinquième mandat, avait averti publiquement ses détracteurs que la loi serait "appliquée contre quiconque émettra des accusations ou des doutes concernant l’intégrité de l’opération électorale, sans fournir de preuves concrètes". Une fois le chef de l'État réélu avec 89,62% des voix le 25 octobre, les hommes de main du régime n’ont

a tenté de les arrêter en les frappant et en leur tirant dessus. Face à cette situation, le peuple s’est encore plus révolté et a réclamé le départ du président Ben Ali. Le 14 janvier, le président a été renversé et s’est enfui en Arabie saoudite en emportant avec lui environ 45 millions d’euros. Suite au départ du président Ben Ali, le Premier Ministre Mohammed Ghannouchi a pris les choses en mains. Il a libéré des prisonniers et introduit plus de liberté dans le pays. Il a également créé un nouveau

La révolte tunisienne nous a offert le départ de Ben Ali et de son épouse, ainsi que l’arrestation des principaux membres de la famille de sa seconde épouse, les Trabelsi, petits voyous. Mais depuis un mois, la situation nous laisse perplexe. Le clan de la première épouse est libre de ses mouvements en Tunisie. Filles et gendres de Ben ALI, sont libres de leurs mouvements et continuent à gérer leurs affaires florissantes, avec la quasi bénédiction du gouvernement actuel de transition: Monsieur

Oral actualités ECJS : Le mouvement de protestation et la chute du président Ben Ali en Tunisie Sujet traité : La révolution et la chute du président Ben Ali en Tunisie, appuyé sur un article du quotidien Libération du Lundi 17 Janvier 2011. • président Ben Ali • La « révolution des jasmins » Le président Ben Ali : Zine El-Abidine Ben Ali fut élu président tunisien du 7 Novembre 1987 au 4 Janvier 2011, soit durant 23 ans. Sous sa présidence, l'économie tunisienne était

essentiellement non-violente5, qui par une suite de manifestations et de sit-in durant quatre semaines en décembre 2010 et janvier 2011, a abouti au départ du président de la République de Tunisie, Zine el-Abidine Ben Ali, en poste depuis 1987. Le terme « Révolution de jasmin » faisant référence à la prise de pouvoir de Ben Ali, les Tunisiens préfèrent le nom de « Révolution pour la dignité6 » (ثورة الكرامة). Parties de la ville de Sidi Bouzid, d'où le nom original de « révolte de Sidi Bouzid » (ثورة سيدي بوزيد) ou d'« intifada

s'immolent par le feu car la police lui avait confisqué sa marchandise puis l'onde de choc s'ensuivit dans tout le pays, les émeutes commencèrent. Les Tunisiens demandèrent la démission du président Ben Ali et la mise en place de la démocratie dans leurs pays. Quelques semaine plus tard le président Ben Ali quitta le pays pour se réfugier en Arabie-Saoudite, le 14 Janvier 2011 précisèment. La révolution vient de commencer. L'Egypte a suivit le mouvement. La crise qui l'a touche de plein fouet paupérise

pour des durées pouvant aller jusqu’à plusieurs dizaines d’années et concentrent tous les pouvoirs. Comme Mouammar Kadhafi – ancien président libyen 41 ans au pouvoir,Hosni Moubarak – ancien président égyptien 29 ans au pouvoir et Zine el-Abidine Ben Ali – ancien président tunisien 23 ans au pouvoir. Parfois même les gouvernements sont régis par des militaires comme en Lybie avec l’ancien régime du colonel Kadhafi. Les régimes se présentant alors comme démocratiques ne le sont en aucun cas.

plus grande crédibilité et à l’exposition d’une plus grande diversité dans les opinions, à commencer par la chaîne satellitaire al-Jazeera. a presse tunisienne ne sort pas grandie de 22 années de règne sans partage du président Zine El Abidine Ben Ali, arrivé au pouvoir en 1987. Bien au contraire, la petite marge de liberté arrachée à son prédécesseur et fondateur de la République, Habib Bourguiba (1903-2000), a fini en peau de chagrin. Les médias indépendants, tour à tour encensés, privés de ressources