Ali Khamenei

il a été réélu en 2009, Mahmoud Ahmadinejad, soutenu par le Guide de la Révolution, l’ayatollah Ali Khamenei. Sous leur conduite conjointe la République islamique : – développe « une action suivie pour la réalisation de l’unité politique économique et culturelle du monde musulman » (article 11 de la Constitution) ; – qualifie « l’exportation de la révolution [de] responsabilité constante » (Ali Khamenei) ; – affirme sa prétention à exercer un rôle de puissance régionale dans le « croissant de feu

contemporaine, a été condamnée dans le monde entier. Un message de condoléance fut même envoyé par le maire de Téhéran à celui de New York et, à la prière du vendredi, l’Ayatollah Ali Khamenei qualifia le massacre de masse de « catastrophe […], condamnable où qu’elle arrive et quels qu’en soient les auteurs »65. Le commentaire de Khamenei, ajoutant que la même condamnation devrait s’étendre à ce qui se passerait de semblable en Afghanistan, reflète la pensée traditionnelle de l’Islam sur la guerre. Comme son

shiite basée au Liban, que représente l’ayatollah Muhammad Husayn Fadlallah, autorise comme l’ayatollah Ali Husayn Khamenei le don d’ovocyte sans que l’homme ait à épouser temporairement la donneuse, dans la mesure où il pense, à l’instar de cedernier, qu’il n’y a pas de sexualité, donc pas d’adultère, dans la mise en contact des gamètes. Mais à la différence de l’ayatollah AliHusayn Khamenei, il n’accepte pas le don de sperme, du fait du caractère problématique de la filiation qui est enracinée

l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, chargé de la formation professionnelle. MONUMENTS MAROCAINS.  LE MINBAR DE LA KOUTOUBIA est une chaire commandée par le sultan Ali Ben Youssef. Il a été commencé à Cordoue en 1137 et achevé huit ans plus tard.  LES REMPARTS DE MARRAKECH ont été construits au XIIe siècle sous la dynastie des Almoravides sur ordre d’Ali Ben Youssef afin de se protéger des attaques des tribus

Téhéran à l’heure des coups de Jarnac Après le virus Stuxnet, les assassinats ciblés de scientifiques perturbent la bonne marche du programme nucléaire. Un retard qui permet un retour de la diplomatie. Newsweek (extraits) New York nucléaire, et Masoud Ali Mohammadi avaient tous deux assisté à au moins un sommet du SESAME, organisme de recherche patronné par l’ONU, auquel participaient aussi bien des Israéliens que des Arabes et des Jordaniens. “Aux yeux des gardiens de la révolution, tout le monde est

personnel (novembre 1979 – janvier 1981). Septembre 1980 : Le chef d’état irakien Saddam Hussein attaque l’Iran. 1980-1988 : Guerre Iran-Irak environ 1 200 000 morts. Trois fois plus d’Iraniens que d’Irakiens. Juin 1989 : Mort de l’ayatollah Khomeini. Ali Khamenei, guide de la Révolution. L’influence des 16 « Gardiens de la Révolution » (pasdaran), milice armée conservatrice, reste forte. Août 1991 : L´Irak envahit le Koweit. Commence la première Guerre d´Irak. Une coalition internationale intervient

par exemple). La Constitution iranienne met au sommet de l’Etat un guide religieux qui exerce le pouvoir de direction et le pouvoir de contrôle. Il exerce une main mise sur les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Ce guide religieux est Ali Khamenei, depuis 1989. Ce guide suprême peut dissoudre le Parlement et révoquer le Président de la République. C’est aussi lui qui nomme les juges. B . Le refus de la confusion des pouvoirs par les états musulmans modérés Pour les états modérés,

veulent retour à ce schéma idéal, religion prend en charge directement pouvoir gouvernemental. Ex : République islamique d’Iran : Guide exerce pouvoir de direction et de contrôle, exerce une main mise sur pouvoir exécutif, législatif et judiciaire Ali Khamenei. Peut dissoudre le P, peut révoquer PR et nomme les juges. Ou Mollah Omar au temps des talibans en Afghanistan. B./ Le refus de la confusion des pouvoirs par les États musulmans modérés. Pour les États modérés, s’il existe dans Charia une

sommet de l’édifice constitutionnel il y a un guide religieux qui exerce une main mise sur les trois pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) : Ali Khamenei). Guide suprême qui peut dissoudre le parlement, virer le président, nommer les juges… En apparence il y a une séparation des pouvoirs mais en réalité tous les pouvoirs sont détenus par Ali Khamenei. Le guide religieux a prépondérance sur le président de la république, les juges et le parlement. B. Refus de la confusion des pouvoirs par les

sunnites. §           Un ayatollah est un dignitaire de la religion chiite. Le mot signifie « signe miraculeux de Dieu ». Il interprète les textes religieux et enseigne la théologie. Certains exercent un pouvoir politique de fait; l'un d'entre eux, Ali Khamenei, est même le "Guide de la révolution", autorité suprême de l'Iran. Un ayatollah a, bien entendu, la compétence nécessaire pour prononcer des fatwas. §           Une fatwa est une interprétation de la loi Coranique émanant d'un ouléma, docteur de