Aliénor d'Aquitaine

son apogée dans les sculptures du transept de Chartres dans le premier tiers d XIIIem. On y voit notamment un couronnement de la Vierge dans le bras Nord du transept. Dans le domaine funéraire c'est l'apparition des premiers gisants (cf → Aliénor d’Aquitaine et Henri II à Fontevraud). Ils sont réalisés en tuffeau avec des vestiges de polychromies. Le rendu des drapée est complexe. On dénombre deux courants d'interprétation du style → Le courant classique assez linéaire comme à Chartres →

Vie et mort d’un chevalier La chevalerie en Aquitaine au XIIIe siècle 23 mars – 30 juin 2001 Musée d’Aquitaine – Bordeaux 1. Armes a. La lance Avant le XIIe : lance utilisée comme un javelot A partir du XIIe : tactique de la « lance couchée », tenue horizontalement par le chevalier monté sur son cheval. b. L’épée L’épée : arme utilisée par le chevalier lorsqu’il est à pied. Arme symbolique de l’adoubement, en forme de croix. En acier ( à l’époque des Vikings

par l’amour de sa dame et le rôle de la dame d’être cruelle ou généreuse. Moins tournés vers les Croisades et la défense de leur fief, les seigneurs se voient subissent à l’influence de l’univers féminin. Autour de la Cour des femmes comme Aliénor d’Aquitaine, premièrement femme du Roi de France et après du Roi d’Angleterre. À cette époque, on remarquera des artistes qui chantent à la femme  qui est idéalisée, parfaite et bien sûr inaccessible. Dans le Moyen Âge, la femme sera dénommée « dame »,

sa fonction de gardien dans le cadre du droit féodal. En effet, à la mort du vassal, si son héritier était mineur, le seigneur doit assurer la garde du fief et de l’héritier. Cette règle permet au roi de marier son fils à l’héritière du duc d’Aquitaine Aliénor dont il avait la garde, mariage fructueux qui permet l’accroissement substantiel du domaine vers le sud-ouest. Le roi, juge suprême de la justice féodale En cas de manquement des obligation féodo-vassaliques dues par le seigneur, le

grand domaine avec la Normandie, le Maine, l’Anjou et en 1152 le duché d'Aquitaine grâce à son mariage avec Aliénor d’Aquitaine, l'ancienne reine répudiée par Louis VII en 1152.S'en suit alors une crise politique entre le roi et ce prince territorial qui a acquérit entre temps l'Angleterre. En 1154 Louis VII conclut une paix en renonçant à l‘Aquitaine et en recevant une compensation. Le mariage entre Henri II et Aliénor d'Aquitaine mit en péril la puissance de Louis VII et l’incita donc à renforcer

Louis VII le Jeune à Poitiers en 1137 que l’on peut parler d’un tournant dans l’instauration du pouvoir royal en France : poursuivant les politiques de son père de mise en valeur du domaine royal, il est important de rappeler que son union avec Aliénor d’Aquitaine à bordeaux le 25 juillet 1137, il devient un personnage d’autant plus important. En effet grâce à ce mariage fabuleux, le domaine royal vient à tripler car la jeune mariée apporte dans sa dot la Guyenne, la Gascogne, le Poitou, le Limousin,

La vie d'un roi vue par un contemporain est unique en elle-même. Le document présenté, intitulé Louis VI vu par Suger, est un extrait des fameuses « Chroniques de France » de l’abbé Suger. Une chronique est une recueil de faits historiques rédigé et respectant un ordre chronologique, de ce fait ces chroniques sont des biographies royales des rois de France. La chronique fût sans doute écrite après la mort de Louis IV. Suger (1081-1151) est devenu abbé de Saint-Denis en 1122, il fût un contemporain

Pourquoi Saint Bernard justifie-t-il la violence des croisades ? Apres la chute d’Edesse en 1144, Saint Bernard prêche la deuxième croisade le 31 mars 1146 au milieu d’une foule de seigneurs et chevaliers. Saint Bernard de Fontaine, abbé de Clairvaux et un moine français réformateur de la vie religieuse. Il est conservateur qui jour un rôle important dans le transposition de la croisade. Ce texte nous montre que L’église en effet va tout faire pour avoir le control total. L’église permet l’homicide

grâce à l'influence de protectrices comme Aliénor d'Aquitaine et Marie de France, la comtesse de Champagne et mécène de Chrétien de Troyes (cf. Lancelot ou le Chevalier de la charrette). L'amour courtois trouverait, à en croire certains, ses origines au Levant et dans la littérature arabo-andalouse (Abbassa, 2008). En effet, un des précurseurs de l'amour courtois des troubadours est Guillaume IX, duc d'Aquitaine (1071-1127) et grand-père d'Aliénor d'Aquitaine. Son activité poétique naquit après la

jeûn et de prière. Louis le Pieux, est né le jeudi 16 avril 778 à Chasseneuil en Poitou, il succède à son père Charlemagne à l'age de 36 ans. Il est doué pour les Lettres connaît bien les Écritures Saintes et est plein de compassion. Il fut roi d'Aquitaine (781-814) et empereur d'Occident (814-840). Le règne de Louis le Pieux est marqué par de nombreuses menaces sur l'unité de l'empire carolingien légué par son père Charlemagne : les fils de Louis le Pieux se sont révoltés contre lui et il dut