Alliance nationale

 sont les points commun et les différence entre l'amant et un barrage contre le pacifique ? Dans un1er temps nous allons parler des personnage,ensuite de l'amour puis les lieux et pour finir par les traits autobiographique de Marguerite Duras dans les romans. 1)Les personnages -Marguerite/suzanne : Dans un barrage Suzanne est mentionné et décrite psychologiquement, elle n'est décrite que par les homme qui l'entoure et par sa mère elle est quasiment absente « C’était sûrement une belle

Jean, très amoureux, sortait depuis 3 ans avec Une très belle fille, Sylvie et jusqu'à présent il n'avait pas eu de relation sexuelle avec elle. Un jour, il la caresse passionnément, lui enlève ses vêtements, mais quand il essaye de lui faire l'amour, elle s'excuse en disant qu'elle le ferait seulement après le mariage... Et que, une fois mariés, elle irait même jusqu'à faire 'Le Petit Trou Vert'. Très confus, Jean appela Johanne

TANIA: EXPOSE “UN SECRET“ Introduction: Tania, un des personnages principaux du livre “Un Secret“ de Philippe Grimbert, joue un rôle prédominant dans l’histoire, étant le personnage qui change le déroulement des événements depuis sa rencontre avec Maxime, lors du mariage de ce dernier avec Hannah. Tania arrive au mariage au bras de son mari, Robert, le frère d’Hannah, ce qui fait de Maxime et Tania des beau-frère et belle-soeur, mais des leur premier regard, on peut voir dans la description

« Comment cette scène remplit elle les fonctions d'une scène d’exposition ? » INTRO : La scène 1 de l’acte I du Mariage de Figaro est la première scène de la pièce, elle a donc pour tâche d’instruire et d’intéresser le spectateur. Elle doit lui apprendre le sujet, la situation, le lieu et le moment où commence l’action, les personnages, leurs états mais aussi leurs principaux intérêts. Pour ne pas ennuyer le spectateur et pour éveiller son attention la scène ne doit être trop descriptive et trop

Classe de 1èreES-L OE N°2- La question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. Séquence 1- Humanité et altérité Lecture cursive Les fées Il était une fois une veuve qui avait deux filles : l'aînée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage, que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et l'honnêteté, était

 Monsieur Prudhomme : 1) Un portait satirique qui insiste sur  a- artifices du bourgeois *vêtements : Apparence importante à ses yeux. Habillé d'un faux col >  élément constitutif du costume bourgeois de l’époque qui impose la rigidité. A la fois cause et symbole de la raideur du personnage. Les attributs vestimentaires sont exagérés, le faux col est démesuré, il engloutit l'oreille >personnification > faute de goût. Rejet externe «  ses yeux » >le rythme laisse penser qu’il

CAS PRATIQUE Rappel des faits: Il s'agit en l'espèce de Monsieur Martin ayant deux enfants : Claire et Marc. Claire est fiancé à Julien depuis trois ans et ces derniers se préparent depuis un an à célébrer leur mariage. Marc quant à lui doit épouser sa fiancée Noémie quelques semaines après. Le jour du mariage de Claire, Julien ne se présente pas et lui demande trois jours plus tard que cette dernière lui restitue la bague de fiançailles ainsi que les boucles d'oreillers qui lui avait acheté avant

Cas pratique n°1 Variante n°1 Faits : Alicia et Armand Duparc de Beaupré célèbrent leur fiançailles en mars 2011 . Armand offre comme cadeau une bague , héritage familial . Alicia offre à Armand une montre luxueuse , considéré comme un bien en faveur du mariage du à l’effort déposé par Alicia pour obtenir ce bien. Après des raisons d’appauvrissement de la société de M.Armand , Alicia rencontre M Lepic dont elle entame une relation amoureuse qui résulte par envois des lettres d’engagement

Guillaume 2n2 Grandmougin Un incipit réaliste C'était en 1983, comme tous les soirs Lucien se promenait le long du Boulevard Diderot dans cette petite ville de Besançon. Lucien Lefaivre était un beau jeune homme, avec des yeux bleux comme le ciel et des cheveux noirs comme l'ébène. Il

garanties par la constitution ; il faut donc que le motif soit particulièrement impérieux pour y subroger. De plus, s’agissant d’un établissement privé sous contrat avec l’Etat, l’institutrice était agréée, rémunérée et surveillée par l’éducation nationale. Elle n’est donc pas tenue de respecter la morale de la religion catholique. D’autre part, les juges du fond ont aussi relevé que la religion avait été prise en considération lors de la conclusion du contrat de travail. En effet, les convictions