Allitération

phrases, puisque « roue » rime avec « loup » ; la première phrase est très marquée par l’allitération en [fr] dans les mots « frôlement », « freine » et « frotte » et, de manière moindre, dans les mots « ronronnant », « contre » et « roue » (allitération en [r] seulement). Reprise du même procédé dans les lignes 8-10, au moyen des mots « frr frr rassurant » et « frottement ». On constate donc que le poème tente de reproduire le bruit de la dynamo, ce

parle de lui même. Omniprésence du « Je » poétique. * REGISTRE ELEGIAQUE : évocation de la souffrance amoureuse, mélancolie. * Champs lexicaux de l’amour et de la souffrance. * Rythme binaire (donné par les oppositions). * Allitération en (r) dans le 1er quatrain * ENFERMEMENT du « je » poétique donné par la rime entre « malheur » de la dernière ligne et « meurs » l.1 qui donne une forme circulaire au poème, cercle vicieux. * ASSONANCE dans les 2 derniers vers,

les gratte-ciel en passant et se tourne vers les hommes. Le regard que Camus promène sur les hommes sera-t-il plus chaleureux ? II/ LE REGARD SUR LES HABITANTS 1/ Enfants et vieillards Un début de phrase au rythme alerte ponctué de deux allitérations (« nuée de négrillons » et « une balle avec une batte de bois » évoque une partie de base-ball bruyante et animée. Les nasales de la première suggèrent la multitude, tandis que les labiales de la seconde font entendre le choc sourd des balles.

glaïeuls, il dort. Souriant comme/Sourirait un enfant malade, il fait un somme. » (v. 9-10) Effet : Le soldat souriait, tranquille. Comme un enfant faisant un rêve. Allitération des vers 11 et 12 « Nature, berce-le chaudement : il a froid ⁄ Les parfums ne font pas frissonner sa narine » (V11-12) Effet : Les allitérations en N on pour effet de créé du désir et ceux en F sont plutôt éphémère. Rythme brisé « trou de verdure ou chante une rivière » ( V.1) « Et la nuque baignant dans

« violons » -ennui et monotonie. →importance de la musique du vers : -rythme - sonorités : -rime -à l'intérieur du vers : Assonance : répétition d'un son voyelle (A.E.I.../AN.ON.IN) Allitération : répétition d'un son consonne. La rime n'est qu'un élément de la perception sonore du poème. Elle peut être enrichie par un heu de répétitions sonores intérieure du vers. Exemple : 1ere strophe : ▸l'assonance en « O » (7x) + assonance en « ON »

chiffres considérables qui évoquent un conflit de grande ampleur. 2) Une vision esthétique - Termes laudatifs pour décrire les armées : accumulation d’adjectif mélioratifs précédé par l’adverbe « si » en anaphore. - Harmonie auditive : • allitération en « s », en « b » (1ère phrase) • assonance en « i » • accumulation d’instruments de musique. - Cela évoque une parade militaire, une fête et la musique qui l’accompagne. - Euphémisme

Fiche méthode : les figures de styles Allégorie : C'est la représentation d'une abstraction tels que la mort ou l'amour, par une image, un tableau, un être vivant. Allitération : C'est la répétition de sons identiques avec les consones. (Exemples : «  Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes. » Andromaque). Anaphore : C'est un procédé qui consiste à commencer une phrase par le même mot. Antiphrase : C'est un procédé qui consiste à exprimer une idée par son contraire grâce notamment

pour l’art (Le parnasse) LE DORMEUR DU VAL, 1870 Contexte : 1870 : Premières poésies subversives/dénonciatrices de Rimbaud. • Un tableau Idyllique de la nature - Commence par le présentatif « c’est » → ouverture sur le tableau - Allitération en « r » → fond sonore, ronronnement doux - Rythme régulier - « trou » → isolement, tranquillité - « verdure » → couleurs, printemps → vie - « chante une rivière » « montagne fière »→ personnification → douceur, féérie - Rupture de rythme

musicalité du poème en prose. On relève une allitération en [m] dans : « Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique ». Elle confère douceur au passage et donne à entendre le murmure du chant musical. De même, l’assonance en [ã] dans le passage suivant qui évoque aussi un chant et une musique n’est pas innocente : « un port fourmillant de chants mélancoliques ». On remarque encore que le son du roulis est renforcé par des allitérations en [r] et en bilabiales [b] et [p] : « bercées

contraintes du mètre et des thèmes habituels de la poésie. Il exploitera dés l’année suivante le poème en prose et les visions oniriques ou symboliques. -------------------------------------------------------------------------------- Allitérations : répétition volontaire de sons consonantiques. On distingue les dentales (d, t), les gutturales (g ,c ,q , k), les labiales (b, p) , les nasales (m, n), les liquides (l, r, v, w, j), les sifflantes (s, f, ss, c ,ç, ph, z) Assonances :