Allumette

par ce froid glacial, une pauvre petite fille marche dans la rue : elle n’a rien sur la tête, elle est pieds nus. Dans son vieux tablier, elle porte des allumettes : elle en tient un paquet à la main. Extrait de : la petite fille aux allumettes (conte d’Andersen). L’enfant a ses petites menottes toute transies. « Si je prenais une allumettes, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts ? » C’est ce qu’elle fait. Quelle flamme merveilleuse ! il semble tout à coup à la petite fille qu’elle

il commence la rédaction de contes, qui seront publiés jusqu'à sa mort, en 1875. Avec une sensibilité accrue et une écriture des plus agréable, il fera vivre dans tous les esprits "la Petite sirène", "le Vilain petit canard", "la Petite fille aux allumettes" ou encore "la Reine des neiges". Le Vilain Petit Canard (en danois : Den grimme ælling) est un conte pour enfants écrit par Hans Christian Andersen en juillet 1842, après l'échec de la pièce de théâtre L'Oiseau dans le poirier, qui fut sifflée

La petite fille qui aimait trop les allumettes Un texte peut être abordé de diverses manières. Certains apprécient une œuvre sans trop se poser de questions, d’autres tendent à l’interpréter d’une façon ou d’une autre, soit par motivation personnelle ou par obligation. Nous sommes assurés que les théories de la lecture permettent un approfondissement de la compréhension d’un texte. À partir du roman de Gaétan Soucy, La petite fille qui aimait trop les allumettes, et selon l’esthétique de la réception

2) Le registre épique : Il sert à décrire des faits ou des personnages non réalistes, sur-humains par leur valeur au combat notamment. Ex : La colère d'Achille 3) Le registre pathétique : Inspire la pitié. Ex : La petite fille aux allumettes 4) Le registre tragique : Senblable au pathétique mais introduit l'idée de fatalité, de destin, etc. Ex : Amour impossible qui mène à la mort. 5) Le registre satirique : Il consiste à se moquer de quelqu'un, généralement un haut personnage

passe par la culture populaire, les contes, les chansons, les danses Herder est mort en 1803 ; 1804 = invasion napoléonienne Hans Christian Andersen : Danois, 1835 Le plus célèbre = la petite sirène ; très romantique (la petite fille aux allumettes) Ce sont des contes très tristes. Ces contes ne sont pas écrits pour les enfants. Ex de thèmes romantiques : langage du regard (elle a vendu sa voix contre des jambes, chaque fois qu’elle fait, c’est comme si elle marchait sur des poignards ->

de réalisateur. Avec quelques amis, dont le futur producteur Pierre Braunberger, il tourne ses premiers films pour sa jeune épouse Catherine Hessling (La Fille de l'eau en 1924, Nana en 1926, Sur un air de Charleston en 1927, La Petite fille aux allumettes en 1928). 2) Description de l’affiche C’est une affiche originale de ber nard Lancy pour « la grande illusion ».La composition en diagonale : elle représente un soldat allemand que l’on reconnait grâce à son casque à pointe (remplacé par le casque

beaucoup d'enfants » D'autres part, en plus de l'aspect fantastique du conte, il provoque aussi beaucoup d'émotions chez les jeunes lecteurs. Ainsi les enfants découvrent différentes émotions au cour des récits, la tristesse dans la Petite fille aux allumettes quand celle-ci meurt, ou bien encore de l'angoisse quand le loup essaye de rentrer dans la maison de la mère-grand dans le Petit Chaperon rouge. On peut aussi y ressentir de la joie quand le Petit Poucet retourne chez lui. Nous y trouvons aussi

-certains personnages sont attachés à leurs noms tels les personnages de contes de fées Exemple : CH.Perrault -> « Le petit Poucet » -> « Le chat Botte » Andersen -> « La petite fille aux allumettes » B- {Les personnages évoluent avec les événements du roman et leur physique est associé parfois à leur nom Exemple : Paul Féval – « le bossu »- roman de cape et d’épée C- Les noms des personnages peuvent être associés à des héros ou à

noircir, sans doute, d’autant que c’est sous le porche d’un monument que s’ouvre le récit, ce qui redouble encore l’effet de commencement. L’intertextualité est également présente dans l’évocation de la pauvre petite misérable : la petite fille aux allumettes de Andersen écrit en 1845, ancrant le merveilleux du conte. Mais le merveilleux évoqué ici sera un merveilleux chrétien évoqué par le blanc et le bleu de la vierge marie, le blanc de la virginité des saintes. Cet incipit peut-il surprendre un lecteur

personnages et le juste châtiment qui est sa sœur jumelle grandement brûlée, attachée et enfermée dans un caveau. «Ca a été la grande calcination, tout a brûlé en dessous » (p.150) On déduit qu’ils l’appellent comme cela parce qu’en jouant avec des allumettes, elle s’est mis le feu à elle-même. Un doute persiste dans mon esprit en sachant que le frère a déjà aspergé d’essence des oiseaux et leur a mis le feu avant de les lâcher dans le ciel. De plus, ce frère dérangé, n’approche jamais du lieu où le