l incipit de la blancheur
Cet incipit peut-il surprendre un lecteur habitué de Zola ?
Il semble être un incipit statique misérabiliste qui n’étonnerait pas un lecteur de roman réaliste ou naturaliste et renseigner le lecteur tout en donnant un ton pathétique mais il ajoute une part de merveilleux propre à étonner le lecteur zolien sans oublier la grande place que tient l’allégorie dès le début de cette œuvre.
Pendant le rude hiver de 1860, l’Oise gela, de grandes neiges couvrirent les plaines de la basse Picardie ; et il en vint surtout une bourrasque du