Alors Elle S Aperçut Qu Elle N Avait Plus Rien à Faire

1887 Catégorie(s): Fiction Source: http://www.ebooksgratuits.com 1 A Propos Maupassant: Henri René Albert Guy de Maupassant (5 August 1850 – 6 July 1893) was a popular 19th-century French writer. He is one of the fathers of the modern short story. A protege of Flaubert, Maupassant's short stories are characterized by their economy of style and their efficient effortless dénouement. He also wrote six short novels. A number of his stories often denote the futility of war and the innocent civilians

seront distribués aux élèves avant la séquence et il en sera fait une lecture silencieuse et individuelle. En cas de demande des élèves, le professeur répondra à toutes les questions nécessaires aux tâches proposées ensuite en classe. 1. Jeux et questions sur le vocabulaire employé par Boris Vian dans ce livre - Cocher tous les mots existant, à votre avis, dans le dictionnaire – (Voir Corrigé) ■ Calamines*, p. 9 □ Brouillouses, p. 9 ■ Des trumeaux*, p.18 □ Ploustochnik, p. 22 □ Calaïos, p. 25

semblaient exprimer des pensées humaines et on s'attendait à chaque instant au miracle de la parole. C'était cependant une gazelle très commune, née dans la solitude des hauts plateaux du Yémen. Un pâtre l'avait trouvée toute petite auprès de sa mère blessée et il l'avait donnée à une chèvre à la place du chevreau qu'on avait fait rôtir. Elle s'ébattait maintenant dans les jardins du sultan, se mirait avec grâce dans l'eau tranquille des bassins. À l'appel de son maître elle accourait en bonds harmonieux

com/litterature/maupassant/morin.htm CE COCHON DE MORIN à M. Oudinot 1 - Ca, mon ami, dis-je à Labarbe, tu viens encore de prononcer ces quatre mots, "ce cochon de Morin". Pourquoi, diable, n'ai-je jamais entendu parler de Morin sans qu'on le traitât de "cochon" ? Labarbe, aujourd'hui député, me regarda avec des yeux de chat-huant. - Comment, tu ne sais pas l'histoire de Morin, et tu es de La Rochelle ? J'avouai que je ne savais pas l'histoire de Morin. Alors Labarbe se frotta les mains et commença son récit

se déranger, riant à la glace, pour voir ses lèvres. — Le prince. — Je ne sais pas, je descends… Ah ! il doit venir. Il vient donc tous les jours ! Prullière s’était approché de la cheminée, qui faisait face à la console, et où brûlait un feu de coke ; deux autres becs de gaz y flambaient, largement. Il leva les yeux, regarda l’horloge et le baromètre, à gauche et à droite, que des sphinx dorés, de style empire, accompagnaient. Puis, il s’allongea dans un vaste fauteuil à oreillettes, dont le

voit parfois des bouts de papier filer à toute allure au ras du sol. Quai de l’Aiguillon, il n’y a pas une lumière. Tout est fermé. Tout le monde dort. Seules les trois fenêtres de l’Hôtel de l’Amiral, à l’angle de la place et du quai, sont encore éclairées. Elles n’ont pas de volets mais, à travers les vitraux verdâtres, c’est à peine si on devine des silhouettes. Et ces gens attardés au café, le douanier de garde les envie, blotti dans la guérite, à moins de cent mètres. En face de

Texte 1 L'action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris, un jeune peintre ambitieux, Nicolas Poussin, se rend au domicile de Maître Porbus, un célèbre peintre de cour, dans l'espoir de devenir son élève. Arrivé sur le palier, il fait une étrange rencontre. Un vieillard vint à monter l'escalier. À la bizarrerie de son costume, à la magnificence de son rabat(1) de dentelle, à la prépondérante sécurité de la démarche, le jeune homme devina dans ce personnage(2) ou le protecteur

Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbil-lons devant le quai Saint-Bernard. Des gens arrivaient hors d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la circulation ; les matelots ne répondaient à personne ; on se heurtait ; les colis montaient entre les deux tambours, et le tapage s’absorbait dans le bruissement de la vapeur, qui, s’échappant par des plaques de tôle, enveloppait tout d’une nuée blanchâtre, tandis que la cloche, à l’avant, tintait sans discontinuer

tentative de reniement de ses origines maternelles africaines, la petite-fille Ladivine Rivière. Clarisse Rivière a honte d'avoir fait souffrir sa mère quand elle vivait avec elle (Comme elle avait honte que sa mère soit noire, elle ne disait pas, devant ses camarades de classe, que c’était sa mère mais que c’était sa servante). Aussi, en grandissant Clarisse Rivière fait en sorte de ne plus manifester aucune opinion personnelle afin de ne blesser personne. Elle va voir sa mère en cachette, une fois

malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue focalisation zéro => le narrateur est omniscient, alternance de points de vue entre Julien et Mme de Rénal A) Portrait de Julien par Mme de Rénal - focalisation interne - indétermination de Julien, description physique, beauté ambigue, presque