Alphonse de Poitiers

(recueil lyrique) à travers un vaste territoire de langue d’oc, situé jusqu’à Poitiers, donc le Poitou, jusqu’aux Pyrénées, mais également du côté de la Provence. Il existe une œuvre phare écrite par le premier troubadour dont le nom est attaché à une œuvre. C’est un personnage très représentatif du caractère curial de cette littérature courtoise, c’est un des grands princes de son temps, Guillaume IX, Comte de Poitiers et Duc d’Aquitaine (1071 – 1126). Et ce n’est certainement pas un hasard si

Cicéron, imprimé à Subiaco près de Rome, en 1465. Le premier livre imprimé en France, à Paris, à l’initiative d’un humaniste, en 1470, de Fichet, est le manuel scolaire, en latin. Lyon s’impose comme le second centre de l’édition, 1473-1476, Toulouse, Poitier. En 1500, 250 villes en Europe disposent d’une imprimerie. 27000 titres sont parus. En 1500, les textes se répartissent ainsi : -En Italie : 45% de l’édition Européenne, - Dans le monde germanique : 30% de l’édition européenne, - En France : 13

(02 41 96 11 56) Ligue de l’enseignement 14 bis, avenue Marie Talet 49100 Angers 50 - M AncHe (02 33 77 42 52) Ligue de l’enseignement 5, boulevard de la Dollée 50009 Saint-Lô cedex 51 - M Arne (03 24 33 81 18) Ligue de l’enseignement 19-23, rue Alphonse Daudet BP 2187 51081 Reims cedex 52 - HAute-M Arne (03 25 03 28 20) Ligue de l’enseignement 23, rue du vieux moulin BP 2041 52902 Chaumont cedex 9 53 - MAyenne (02 43 53 07 17) Ligue de l’enseignement 33 bis, allée du Vieux-St-Louis BP 1424 53014

dynastique) se fait au 7e siècle, au moment où le royaume des francs est placée sous la menace d'une autre vague d'invasion qui vient du sud, par les invasions arabes a placer dans le cadre d'une guerre sainte. En 732, Charles Martel arrête les arabes à Poitiers, Charles Martel est maire du palais du royaume d'Austrasie, et il apparaît alors comme le sauveur de la chrétienté. Son fils va tirer bénéfice : c'est Pépin le Bref. 2) La dynastie carolingienne de 751 888. Ils sont aussi nommé Pépinide. Pépin

cette diplomatie patrimoniale en épousant Aliénor d'Aquitaine. D'autres rois vont rechercher des héritières. Par exemple, Philippe Auguste va épouser la nièce du comte de Flandre. Elle lui apporte la province d'Artois. Louis IX marie son frère, Alphonse de Poitiers, à l'héritière du comte de Toulouse. Le comté de Toulouse est rattaché en 1271 au domaine royal. Le future Philippe le bel lui aussi, épouse l’héritière de la champagne et le comté de champagne est rattaché au domaine royal. Politique matrimoniale

diverses abbayes ; à prendre la croix et aller servir cinq ans en Terre Sainte (par la suite, il fut dispensé de cette obligation) ; à traiter en amis tous ceux qui s’étaient déclarés pour les croisés ; à marier sa fille au frère de Louis IX, Alphonse de Poitiers (Raymond VII n’avait pas d’enfant mâle) ; à démanteler les fortifications de Toulouse et celles de 30 autres places ; à céder au roi la plupart des châteaux qui n’étaient pas démantelés ; enfin, le traité de Meaux délimitait les nouvelles frontières

condamnés au concile de Nicée tenu en 325). En 500 près du Dijon Clovis écrase les Burgondes, il est donc vainqueur des Burgondes. Les royaumes Burgondes et Wisigoths sont éliminés. En 507, il est le vainqueur des Wisigoths près de Poitiers. Paragraphe 2: Les dynasties franques I) LA DYNASTIE MEROVINGIENNE (481-751) 1) De Clovis à Dagobert (481-639) La dynastie mérovingienne

est Louis VII (Aliénor d’Aquitaine). Cela s’est mal terminé. Louis VII a inauguré cette politique. Philippe Auguste va épouser la nièce du Comte de Flandre, qui lui apporte l’Artois. Politique de Louis IX ou Saint-Louis : il marie son frère, Alphonse de Poitiers à l’héritière du comté de Toulouse. Une des clauses du contrat de mariage prévoit que, dans l’hypothèse où le ménage n’aurait pas d’enfants, il est prévu dans le contrat de mariage que le comté de Toulouse serait rattaché au domaine royal.

diverses abbayes ; à prendre la croix et aller servir cinq ans en Terre Sainte (par la suite, il fut dispensé de cette obligation) ; à traiter en amis tous ceux qui s’étaient déclarés pour les croisés ; à marier sa fille au frère de Louis IX, Alphonse de Poitiers (Raymond VII n’avait pas d’enfant mâle) ; à démanteler les fortifications de Toulouse et celles de 30 autres places ; à céder au roi la plupart des châteaux qui n’étaient pas démantelés ; enfin, le traité de Meaux délimitait les nouvelles frontières

charge très lourde que le trésor royal ne peut pas aider à assumer. Les rois mérovingiens avaient dilapidé leurs ressources en faisant donation en pleine propriété de terres à des Eglises et à des fidèles. Lorsque Charles Martel voulut, après Poitiers (732), récompenser ses compagnons, il s’orienta vers une sécularisation de biens de l’Eglise afin de prélever sur celle-ci les terres dont il avait besoin. L’Eglise protesta, mais ne put s’opposer à une initiative qui était la conséquence de la défense