Alsace Bossue

écurie 54 Complétez ces noms terminés par le son [y]. 1 la laitue 6 une fondue 11 2 le dessus 7 une massue 12 3 une issue 8 une retenue 13 4 un zébu 9 un attribut 14 5 la vertu 10 le revenu 15 le menu la morue la décrue la venue la berlue 16 un bossu 17 la tenue 18 le résidu 19 un merlu 20 un pendu 21 le contenu 22 un aperçu 23 une battue 25 un imprévu 24 la déconvenue   55 Copiez les phrases en complétant les noms terminés par le son [i]. 1 Les éditeurs vendent désormais des encyclopédies

Comment ! comment ! reprenait Mme Du Joncquoy, vous supposez que monsieur de Bismarck nous fera la guerre et nous battra… Oh ! celle-là dépasse tout ! On riait, en effet, autour de Mme Chantereau, qui venait de répéter ce propos, entendu par elle en Alsace, où son mari possédait une usine. – 96 – – L’empereur est là, heureusement, dit le comte Muffat avec sa gravité officielle. Ce fut le dernier mot que Fauchery put entendre. Il refermait la porte, après avoir regardé une fois encore la comtesse

Comment ! comment ! reprenait Mme Du Joncquoy, vous supposez que monsieur de Bismarck nous fera la guerre et nous battra… Oh ! celle-là dépasse tout ! On riait, en effet, autour de Mme Chantereau, qui venait de répéter ce propos, entendu par elle en Alsace, où son mari possédait une usine. – L’empereur est là, heureusement, dit le comte Muffat avec sa gravité officielle. Ce fut le dernier mot que Fauchery put entendre. Il refermait la porte, après avoir regardé une fois encore la comtesse Sabine. Elle

poétique (1658) of Guillaume Colletet (1598–1659), the Traité de la beauté des ouvrages de l’esprit (1659) by Pierre Nicole (1625–90), Corneille’s Discours (1660), the Réflexions sur la poétique de ce temps (1675) by Nicolas Rapin (1621–87), René le Bossu (1631–80) on epic poetry (1675) and above all L’Art poétique published in 1674 by Nicolas Boileau (1636–1711), the fullest and most authoritative statement of the classical ideal culled from more than four decades of argument and practice. The classical

une spirale délirante où chacun cherche son sens dans ce jeu à la fraîcheur végétale : la feuillée. Troublante et belle Maroie Étrange, Adam de la Halle ! Étrange Adam, dit « le Bossu », même si, comme il l’affirme, il ne l’est mie (il ne l’est pas). Il habite Arras où il est né vers 1235. Fils du bourgeois Henri le Bossu, il commence des études de clerc. Mais un jour il remarque une jeune fille d’une si grande beauté, la troublante Maroie, qu’il abandonne ses études pour l’épouser. Hélas ! Lui qui

spirale délirante où chacun cherche son sens dans ce jeu à la fraîcheur végétale : la feuillée. Troublante et belle Maroie Étrange, Adam de la Halle ! Étrange Adam, dit « le Bossu », même si, comme il l’affirme, il ne l’est mie (il ne l’est pas). Il habite Arras où il est né vers 1235. Fils du bourgeois Henri le Bossu, il commence des études de clerc. Mais un jour il remarque une jeune fille d’une si grande beauté, la troublante Maroie, qu’il abandonne ses études pour l’épouser. Hélas ! Lui

. . . . . . . . . . . . . . . 1968. . . . . . . . . . . . . . .FR/IT. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6,83 .... ........... .... ........................ ... .......... .... ................... ......... ..... ........ Le. .Bossu. . de. .Notre-Dame. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .K.. . Wise,. .G.. Trousdale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1996. . . . . . . . . . . . . . .US. . . . . .

reparte, sur le rebord de la route — et le même dernier pain avec un civil enchaîné à eux, qu’on disait être un espion, et qui n’en savait rien. Nous non plus. La torture du régiment continuait alors sous la forme nocturne, à tâtons dans les ruelles bossues du village sans lumière et sans visage, à plier sous des sacs plus lourds que des hommes, d’une grange inconnue vers l’autre, engueulés, menacés, de l’une à l’autre, hagards, sans l’espoir décidément de finir autrement que dans la menace, le purin

reparte, sur le rebord de la route – et le même dernier pain avec un civil enchaîné à eux, qu’on disait être un espion, et qui n’en savait rien. Nous non plus. La torture du régiment continuait alors sous la forme nocturne, à tâtons dans les ruelles bossues du village sans lumière et sans visage, à plier sous des sacs plus lourds que des hommes, d’une grange inconnue vers l’autre, engueulés, menacés, de l’une à l’autre, hagards, sans l’espoir décidément de finir autrement que dans la menace, le purin

reparte, sur le rebord de la route — et le même dernier pain avec un civil enchaîné à eux, qu’on disait être un espion, et qui n’en savait rien. Nous non plus. La torture du régiment continuait alors sous la forme nocturne, à tâtons dans les ruelles bossues du village sans lumière et sans visage, à plier sous des sacs plus lourds que des hommes, d’une grange inconnue vers l’autre, engueulés, menacés, de l’une à l’autre, hagards, sans l’espoir décidément de finir autrement que dans la menace, le purin