Alter ego

Frédéric Beigdeber a écrit 8 romans de 1990 à 2009. Son premier roman, sorti en 1990, qui s’intitule Mémoires d’un jeune homme dérangé, conte les amours de Marc Marronnier, l’alter ego de Frédéric Beigdeber, qui préfère fêter les nuits plutôt que d’avoir une vie familiale prédéfinie. Cette première œuvre fait référence au roman du même nom écrit par Simone de Beauvoir. Beigdeber enchaîne ensuite en 1994 avec Vacances dans le coma qui nous fait part de chaque détail, heure par heure, de la vie nocturne

enfin en quoi Autrui est celui qui m’élève au dessus des autres vivants. Autrui n’est pas un vivant parmi les autres car il a de nombreux points communs avec moi. Il est complètement différent des autres vivants car il est mon semblable, mon alter ego. Avec Autrui, je communique (même langage) et je le comprend bien mieux que tous les autres vivants dont je n’ai qu’une connaissance intuitive et abstraite. Le langage, la communication sont les caractéristiques de la relation à Autrui, car c’est

l’autre. Elle ne se limite pas dans un sujet mais l’a déjà dépassé pour y revenir. Le moi compris ainsi est une existence qui implique les autres.] Mon intimité me découvre l’autre comme une existence semblable à la mienne, un « alter ego ». L’ego est alter, autre, et l’alter est ego, moi. [Sartre pose la volonté comme lutte pour la liberté. La relation est en elle-même conflictuelle. C’est quand je suis en face de l’autre que « la liberté est posée » : cela ne veut pas dire qu’elle serait chez l’un ou

narrateur, le personnage et l'auteur ne font qu'un. Cependant, l'auteur ne cherche pas toujours à retranscrire la stricte vérité et la fiction est parfois bien présente. Nous pouvons donc nous demander si celui-ci a uniquement pour but de flatter son ego à travers l'écriture d'un roman autobiographique ou s'il a des aspirations autres qu'un pur besoin narcissique. En premier lieu, nous examinerons ce qui ressemble à une satisfaction personnelle puis les éléments qui présentent d'autres aspects du roman

être un "autre soi-même". Percevoir un ami, c'est en un sens se percevoir et se connaître soi-même » (Éthique à Eudème, VII, 12). Aristote définit l'amitié par la ressemblance, conçue comme une synthèse d'identité et de différence. L'ami est l'alter ego, le semblable, qui n'est ni identique ni différent, parce qu'il est les deux simultanément. On ne peut en effet faire de l'identité le principe de l'amitié, remarque-t-il. Deux êtres vraiment semblables ne peuvent rien s'apporter, car chacun d'eux

il se sentait plus jeune, plus séduisant, mais il se sentait beaucoup plus méchant, et pour le coup, beaucoup plus petit, à ce moment il nomme son alter ego Éduard Hyde. Il aimait ce personnage de Hyde, car il lui permettait d’être quelqu’un de moins honorable, et qu’il allait pouvoir faire n’importe quoi sans affecter la réputation de son alter ego de Jekyll. Il commençait a introduire Hyde aux gens qui travaillaient pour lui, et écrit un testament pour laisser comme héritier Hyde au cas ou son

l’humanité, que je la porte en moi, comme « l’autre », mon alter ego. Le visage de l’autre est une relation éthique immédiate. Cette peur de l’autre, venue de la nuit des temps où l’homme ne survivait que s’il était le plus rusé, le plus fort, est la peur de l’inconnu. Cette peur à créée le racisme, la xénophobie. En effet, le raciste refuse l’autre pour s’affirmer soi-même. Mais il ne fait que se refuser lui-même puisque l’autre est un Alter ego, un autre moi. La conscience ne sert pas l’individu mais

Ils se sont interrrogés sur le corps. Celui-ci est tjs considéré que comme une envelloppe charnelle. 3 entités: Lougre: souffle de vie situé ds le sang Hamr: entité qui est en ns et qui ns suit. Elle a un pouvoir de se transformer en animal et alter-égo. Ds l'ancien testament, A chaque fois qu'un prophète s'adresse à Dieu, c'est ds le sommeil. C'est ce qu'on appelle le corps astral ds l'hindouisme. Le mot "cauchemard" le représente. Ds la culture pop, on a au moyen age le loup-garou. Fija/Fiji:

Elle ne se limite pas dans un sujet mais l’a déjà dépassé pour y revenir. Le moi compris ainsi est une existence qui implique les autres.] Mon intimité me découvre l’autre comme une existence semblable à la mienne, un « alter ego ». L’ego est alter, autre, et l’alter est ego, moi. [Sartre pose la volonté comme lutte pour la liberté. La relation est en elle-même conflictuelle. C’est quand je suis en face de l’autre que « la liberté est posée » : cela ne veut pas dire qu’elle serait chez l’un ou

provient d’une nation différente, ou qu’il n’appartient pas à un même groupe que moi (amis, famille, ville,…). Si l’on s’en tient à la première définition de l’étranger donné ci-dessus, alors celle-ci, ne pourra pas être utilisé pour qualifier un « alter ego » (autre moi), car nous avons tous deux les mêmes attributs fondamentaux, par exemple le physique ou les besoins vitaux. La seconde correspondrait mieux, mais l’étranger n’est pas seulement une personne d’une autre culture, mais c’est une personne