Alumine

la journée et de la restituer quand il fait froid). ➢ Des progrès sont attendus aussi en matière d’éclairage, notamment avec les diodes électroluminescentes (LED) de nouvelle génération. Des pistes sont explorées avec des gels d’alumine, des alumines ultrapures, ou certaines terres rares pour améliorer les performances de luminescence. De même des ampoules au nanophosphore, qui génèrent de la lumière blanche sous excitation UV transforme 100 % de l’énergie en lumière (contre seulement 5 % avec

Plus de 6 milliards de tonnes empruntent ainsi la mer (en 2005), assurant 90 % du trafic mondial. Ce mode de transport couvre l'essentiel des matières premières (pétrole et produits pétroliers, charbon, minerai de fer, céréales, bauxite, alumine, phosphates, etc.). À côté de ce transport en vrac, il couvre également le transport de produits préalablement conditionnés se présentant sous forme de cartons, caisses, palettes, fûts, ce que l'on a coutume d'appeler de la

volume On peut classer les méthodes chromatographiques d'après la nature des phases utilisées ou celle des phénomènes mis en oeuvre dans la séparation. Nature des phases: Phase fixe: La phase fixe peut être solide ou liquide. Les solides, silice ou alumine traitées, permettent la séparation des composants des mélanges grâce à leurs propriétés adsorbantes. Ils peuvent être employés comme remplissage d'une colonne (chromatographie par gravité et chromatographie à haute performance ou HPLC) ou étalés en

transport du calcaire I-2) Le concassage : Les matériaux sont réduits par le concasseur à une taille maximum de 80mm. La roche est ensuite échantillonnée en continu pour déterminer la quantité des différents ajouts nécessaires (oxyde de fer, alumine, silice) et arriver ainsi à la composition chimique idéale. I-3) La pré-homogénéisation Cette étape du processus de fabrication à pour but de faire un premier mélange de la matière première, pour homogénéiser cette matière. En effet, les roches

mécanique | Centrifugation, gravitation | Entrée du compresseur | Poussières | Mécanique | Papier filtre | Entrée du compresseur | Huile et eau<0,01m | Coalescence | Décanteur | Après chaque compression | Vapeur d'eau<0,11mg/m3 | Adsorption | Alumine activée ou gel de silice | Après décanteur final | Odeurs, huile, solvants, hydrocarbures, ammoniac | Adsorption | Charbon actif | Après décanteur final | CO2 et Vapeur d'eau<500ppm | Adsorption | Tamis moléculaire | Après décanteur et déshuilage

1118 °C, sa viscosité est évidemment plus faible que celle de l’orthose jusqu’à 1150 °C puisque l’orthose ne fond qu’à cette température. Entre 1250 °C et 1350 °C, le verre n’a plus une viscosité suffisante, même après enrichissement en silice et en alumine. Le verre feldspathique sodique enrichi de silice reste plus visqueux que le verre potassique correspondant. Rq : Une pâte à base d’albite est plus sensible aux écarts de température qu’une même pâte à base d’orthose. iii. Feldspath C : Le feldspath

sur un support en matière plastique souple, mis sous scellé et envoyé au laboratoire pour être analysé. Pour relever les traces digitales latentes, les dactylo-techniciens emploient depuis les origines le pinceau et une poudre très fine (céruse, alumine, oxyde de cuivre, poudre magnétique). Différentes poudres sont à leur disposition : • poudre noire pour les surfaces blanches. • poudre blanche (à base d'aluminium) pour les surfaces lisses (bois, verre, mur, etc.) • poudre multicolore

12 13 14 14 20 22 23 24 VI. DIFFERENTS TYPES DE CHROMATOGRAPHIE 25 1. La chromatographie d'adsorption 1) Thermodynamique de l'adsorption 2) Adsorbants utilisés en CLS 26 26 28 r Jean-Louis CUQ - page 2 1. Adsorbants de type I - silice ou alumine 2. Adsorbants de type III - Phases greffées polaires 3. Adsorbants de type IV - Phases greffées apolaires a) mécanisme de rétention b) influence de la phase mobile - élution en mode isocratique - élution en mode gradient c) augmentation de k' (fixation

décomposeurs où l’on ajoute Al(OH)3 pur pour amorcer la précipitation. Lors du refroidissement sous agitation, des cristaux de Al(OH)3.3H2O se forment; ils sont ensuite calcinés à 1000°C pour les déshydrater. On obtient ainsi une poudre blanche (alumine calcinée) selon la réaction suivante : 2 Al(OH)3.3 H2O → Al2O3 + 9 H2O 5.1.3. Production d’aluminium de 1ère fusion La seconde étape du procédé Bayer est l’électrolyse de l’alumine. L’électrolyse de l’alumine se fait dans des cuves (caissons d’acier

|Granite |Basalte |Andésite |Péridotite | |Silice (SiO2) |67 |46 |60 |43.5 | |Alumine (Al2O3) |16 |15 |17 |4 | |Fer III (Fe2O3) |1 |4 |2 |2.5 |