Alzheimer Conclusion

La place des services communs à tous les handicaps 3.3. Les recours au milieu ordinaire 3.3.1. Toutes les formes d’intégrations sociales 3.3.2. Le recours à l’hôpital 3.4. Informations, formations et soutiens pour la prévention de l’épuisement CONCLUSION : A LA RECHERCHE DES CRITERES DE QUALITE DE VIE p : 13 p : 15 p : 16 p : 18 p : 19 PREPARATION PLAN ACTION POLYHANDICAP – page : 2 - PREPARATION DU PLAN ACTION « POLYHANDICAP » INTRODUCTION Les personnes polyhandicapées sont

cumulent les effets du vieillissement avec leurs handicaps. En effet les impacts du vieillissement pour l'organisme sont nombreux : perte des acquis, fragilité osseuse, atteintes sensorielle et visuelle mais encore des maladies telles que le cancer, Alzheimer voire même des maladies cardiovasculaires... Les rythmes de vie au quotidien sont différents (sieste, nuits plus courtes...). En M.A.S nous sommes confrontés aux vieillissements de la population, il vrai que le mode de vie de ces personnes change

fonctions de la psychologue......................................................................................15 II-5.3 La place du stagiaire dans l’institution...........................................................................17 II-6 CONCLUSION ............................................................................................................................18 III- MA PRATIQUE CLINIQUE A LA ROSERAIE..................................................................19 III-1 PRESENTATION

distribué à l’ensemble des résidents, et surtout de mettre en place une commission d’animation. (Exemple en annexe 7) J’ai donc, analysé l’enquête de satisfaction, (annexe 8) renseignée par les résidents et pour certains par leur famille. Les conclusions ont permis de dégager deux constats principaux qui nécessitent un traitement adapté. Le premier constat, traduit la demande des résidents qui souhaitent se voir proposer des activités nouvelles, telles que les activités manuelles, des sorties ludiques

La télévision, de la désinsertion sociale à la déprise…….……………….19 3.1. Se différencier, c’est aussi s’exclure………………………………………...19 3.2. La télévision comme refuge………………………………………………….20 3.3. La télévision et le désengagement…………………………………………..22 Conclusion…………………………………………………………………………………..25 Bibliographie………………………………………………………………………………...27 Annexe………………………………………………………………………………………28 2 Introduction L’allongement de l’espérance de vie conduit un nombre sans cesse croissant de personnes vers le

l’Inspection Académique - rappellent les limites méthodologiques de cette enquête ; - ont pris note des données et des problématiques mises en évidence ; - ne se considèrent pas, pour l’élaboration de leurs politiques en ce domaine, engagées par les conclusions de l’enquête. n L’EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES La loi du 11 février 2005 a renforcé l’obligation d’emploi des personnes handicapées par une augmentation des cotisations à l’AGEFIPH (Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle

clonage humain : « La notion de clonage soulève des questions sur l'identité et l'individualité, la signification qui s'attache au fait d'avoir des enfants, la différence entre procréation et fabrication, et les relations entre générations ». Ces conclusions semblaient annoncer un débat sur la moralité des sciences biologiques et le clonage qui se poursuivrait pendant de nombreuses années à venir. En Tunisie, le Comité national d'éthique médicale a examiné la question du clonage à des fins de reproduction

de l'Homme. Il favorise la croissance de certains neurones. Leur effet à long terme n’est pas bien connu, mais la détérioration de la mémoire en est une conséquence. Les maladies La maladie d'Alzheimer, qui fut découverte en 1906 par Aloïs Alzheimer, médecin psychiatre, neurologue, et neuropathologiste allemand, se manifeste par une perte progressive des capacités mémorielles. Elle commence par une diminution du quart du volume de l'hippocampe. Ce sont ensuite les neurones de la zone limbique

volonté, des capacités ainsi que des goûts de chacun. Le sport permet de conserver une certaine socialisation, et il a un effet bénéfique sur la mémoire (il est recommandé de pratiquer lorsque nous avons des problèmes mémoriels, ou des maladies comme Alzheimer). Lors de la grossesse de la femme, il n’est pas non plus interdit de faire du sport, bien au contraire, puisque cela n’engendre aucun danger, sauf si l’on pratique plus de sept heures par semaine. Certaines pratiques physiques permettent de lutter

soignants à vivre le plus sainement possible à maintenir ou améliorer la qualité de vie. L'éducation devrait rendre le patient capable d'acquérir et maintenir les ressources nécessaires pour gérer de façon optimale sa vie avec la maladie". D : Conclusion éduquer n’est pas prescrire éduquer, c’est accompagner le patient vers une autonomie relative qui ne doit pas être utopique éduquer, c’est accompagner le patient vers un maintien ou une amélioration de sa qualité de vie. Rappels : L’information