Aménorrhée

classeur thérapeutique - classeur alimentation Ces pathologies peuvent entrainé une carence en vitamine , une diminution de la tension artérielle , provoque des insomnie , asthénie ( fatigue) , sensation de froid permanent, perte de mémoire, aménorrhée, chute des cheveux, anxiété, perte de connaissance, malaise, difficulté relationnelles majeur, ostéoporose , hyperactivité physique, perte des muscles Mademoiselle R , née le 23/06/89 ( 22ans) Entrée le ….. , anorexie restrictive et boulimie

l’utilisation de LEELOO, l’indice de Pearl est de 0,69 (IC 95 % : 0,30-1,36). Le pourcentage de cycles avec saignements inter-menstruels a été compris entre 13 et 42 %, plus élevé au cours des premiers mois d’utilisation. Le pourcentage de cycles avec aménorrhée a été compris entre 1,1 et 7,1 %. En dehors des troubles du cycle, les événements indésirables les plus fréquents ont été : céphalées (1 à 29 % des patientes), dysménorrhée (17 à 29 %), mastodynies (7 à 12 %), nausées (8 à 19 %), vomissements (2

une synthèse La détermination du sexe par échographie est possible dans 85% des cas dès la 13ème semaine d’aménorrhée*, mais classiquement ce n’est que vers la 14ème ou la 15ème semaine que le médecin est certain du sexe de l’enfant à naître. * aménorrhée : absence de règles. Le nombre de semaines d’aménorrhée est utilisé pour mesurer l’avancement d’une grossesse. A partir des informations fournies par le document ci-dessous, légendez le schéma proposé puis expliquez pourquoi la détermination du

Inconvénients • Retour tardif de la fertilité (en moyenne neuf mois après la dernière injection) • Effets secondaires courants • Ne protègent pas contre les MST ni le VIH 9 - effets secondaires • Règles irrégulières/spotting • Aménorrhée • Prise de poids • Maux de tête • Nausées 10 - Types d’injectables utilisés Les deux contraceptifs injectables à effet retard utilisés au Maroc, , à savoir : le Depoprovera* et le Noristerat* ou Megestron .

médicaments : bouche sèche, vision trouble, constipation, rétention urinaire, nausées, sédation, irritation cutané, hypotension orthostatique, photosensibilité, troubles gastro-intestinaux, diminution de la libido, éjaculation rétrograde, gynécomastie, aménorrhée, gain pondéral, réduction du seuil convulsif, agranulocytose, symptômes extrapyramidaux, dyskinésie tardive et syndrome malin des neuroleptiques (Townsend, page 409) Modalités des traitements médicaux, psychologiques et/ou infirmiers : Thérapie

L’anorexie est un trouble du comportement alimentaire survenant principalement chez les adolescentes plus jeunes que les boulimiques (entre 12 et 20 ans) qui se traduit par : - un amaigrissement - une perte d'appétit, un refus de manger - une aménorrhée (interruption des règles). La jeune fille manifeste, malgré un état de dénutrition, une grande activité physique et intellectuelle, un refus de la fatigue, un certain état d'excitation. Certes l'anorexique a des problèmes avec la nourriture mais

perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi et déni de la gravité de la maigreur actuelle. D- Aménorrhée chez les femmes post-pubères, c’est-à-dire l’absence d’au moins trois cycles menstruels consécutifs. Une femme est considérée en aménorrhée si ses règles ne surviennent qu’après l’administration d’hormones comme les œstrogènes. II- Types d’anorexie : * La forme restrictive  Dans la quelle le malade

perception du poids ou de la forme de son propre corps (dysmorphophobie), d) influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estimation de soi, ou déni de la gravité de la maigreur actuelle e) aménorrhée pendant au moins trois cycles consécutifs chez les femmes menstruées (aménorrhée secondaire). [pic] 4) Statistiques L'anorexie se trouve exclusivement dans le monde occidental. 90 % des anorexiques sont des femmes. Age : de 14 à 22 ans Le plus souvent ces jeunes filles sont

par voie intra-musculaire : cette méthode consiste à l'administration d'une injection d'un progestatif (150 milligrammes d'acétate de médroxyprogestérone) tous les trois mois ce qui empêche l'ovulation mais entraîne aussi une absence de règles (aménorrhée) avec, chez certaines femmes des métrorragies par atrophie de l'endomètre. * Les stérilets hormonaux libérateurs de progestatif. * Les implants sous cutanés libérateurs de progestatif : * Cette méthode consiste

- Dyskinésie biliaire - Colite spasmodique Neurologique - Migraines - Crampes - Torticolis Génito – urinaire - Enurésie - Cystalgie - Polyurie émotionnelle - Certaines aménorrhées - Maladies gravidiques tardives ou précoces O R L - Rhinite allergique Rhumatologie - Goutte - Polyarthrite rhumatoïde Cutanée - Eczémas - Lichen plan - Pelade