American Gothic

rejet de la société de consommation. Aux États-Unis, le mouvement hippie naît autour des années 1960 dans un contexte de contestation et de refus de l'ordre établi. Cette génération, née juste après la Seconde Guerre mondiale, rejetait aussi l'« American Way of Life » et plus particulièrement son conformisme. Elle cherchait à fuir la société de consommation en mettant en avant des valeurs écologistes et égalitaires inspirées des philosophies orientales et primitives.Les États-Unis, et généralement

Le contexte des années 1954 et de ses environs : L'exportation et la diffusion du cinéma américain à l'international permet d'exporter à l'étranger le rêve américain et le modèle de l'« American way of life » s'opposant à la propagation de l'idéologie communiste. Les genres comme le western, le péplum et la comédie musicale triomphent. Cependant le film noir et le film de science-fiction vivent leurs apogées. Ce qui reflète les angoisses liées à la guerre froide et au fantasme de l'apocalypse nucléaire

mondial soit 13 000 milliards $. • Le système capitaliste libéral est basé sur des firmes transnationales qui ont un quasiment le monopole. • Développement de technopôles notamment autour des universités de l'Ivy League. • La diffusion de l'« American way of life ». • Les États-Unis jouent un rôle dominant dans l'Alena face au Mexique et au Canada. • 10% du Produit National Brut des États-Unis est consacré à la défense soit environ 400 milliards de $. • Le premier pays récepteur de capitaux

le pays a donné l’image d’une société d’abondance où le succès individuel était à la portée de chacun (concept de « self-made-man »). L’attractivité du « rêve américain » reste forte. Les principes politiques et économiques des EU, ainsi que l’ « american way of life » inspirent de nombreux pays du Sud. L’Amérique continue d’attirer : elle est, avec l’UE, le 1er pôle d’immigration du monde. 45 millions d’étrangers y vivent et elle accueille + d’un million d’immigrants chaque année. Le modèle américain

ville des U.S.A. à toutes les capitales métropolitaines. Nombreux sont les hommes, les familles à avoir pris ce chemin, des rêves plein la tête et des illusions plein les poches, pour se construire une vie plus belle sous le soleil de l'Ouest. American way of life : C'est à partir de 1923 que commença la conception de cette voie transcontinentale .Il s'agit d'améliorer le réseau routier, de relier l'Est à l'Ouest au nom du développement économique. Il faut sortir les régions figées du Middle

quasi omniprésente au lendemain de la guerre de 1939. Les divers produits manufacturés américains se généralisent en Europe occidentale et le mode de vie Etatsuniens devient une nouvelle façon de concevoir sa vie et sa famille ; on parle alors d’ « American way of life ». L’urbanisation démesurée, la société de consommation, les pubs, l’invention des crédits, le niveau de vie élevé et cætera séduisent beaucoup les européens ; ce modèle est de plus valorisé par les médias. Cette nouvelle expansion des

expressive : il veut expliquer « ce qu’il y a d’optimiste, de généreux et aussi de naïf dans le rêve américain ». Une de ses toiles les plus célèbres de 1960 s’intitule d’ailleurs « the American Dream » Ohhh-alright, Roy Lichtenstein1964 Study for Great American Nude 6 plus 23, 1984, American Dream, Robert Indiana, 1960 Les techniques aussi peuvent réintroduire une spécificité. Lorsque Lichtenstein reproduit les points tramés des bandes dessinés (procédé Ben-day)

Cinéma (65% de film sur les écrans européens) Télévision(info, séries,émissions) Internet(75% textes en anglais D’où la diffusion : Des valeurs américaines : liberté, individualisme, réussite sociale, consommation Mode de vie à l’américaine(American Way of life), idéal de liberté et de consommation qui s’appuie sur des marques phares (coca, mac do,vêtements Levis, Nike) Conclusion Les Etats-unis sont présents partout dans le monde dans tous les domaines mais leur hégémonie est e plus

l’ordre établi. La majorité a manifesté contre la guerre du Viêt Nam et les Noirs organisaient des émeutes dans les grandes villes américaines, ce qui a attiré encore plus de jeunes. Mais cette génération « Baby-boom » n’acceptait pas non plus l'« American way of life » et son conformisme, la soumission au pouvoir et aux canons de l'art. Elle cherchait à fuir la société de consommation en mettant en avant des valeurs écologistes et égalitaires inspirées des philosophies orientales tel que le bouddhisme

Hanson dresse un portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette uvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte