Amour Et Guerre Apollinaire

notamment de l'être aimé. Le thème privilégié, surtout chez les romantiques mais aussi chez les poètes des courants suivants, est alors celui de l'amour. Les femmes inspirant cet amour, dans le bonheur ou dans la souffrance, sont parfois devenues de véritables muses, comme Jeanne Duval pour Baudelaire ou Elsa pour Aragon. Apollinaire, dans Le Guetteur Mélancolique, crie sa douleur de ne pas être aimé et apostrophe "ô mon cœur". Le poète se montre comme un être malheureux, mais l'amour n'est pas la seule

Poèmes à Lou, Apollinaire Tendres yeux éclatés de l'amante infidèleObus mystérieuxSi tu savais le nom du beau cheval de selleQui semble avoir tes yeuxCar c'est Loulou mon Lou que mon cheval se nommeUn alezan brûléCouleur de tes cheveux cul rond comme une pommeIl est là tout selléIl faut que je reçoive ô mon Lou la mesureExacte de ton doigtCar je veux te sculpter une bague très pureDans un métal d'effroi.Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou(éd

chez le lecteur afin de leur faire prendre conscience de la véracité de leurs dires. Durant la seconde guerre mondiale comme dans de nombreuses guerres qui ravagèrent l'histoire de l'humanité, les poètes se succédèrent pour appeler les peuples à se soulever contre l'oppression en faisant naître chez eux des sentiments de colère et de patriotisme. C'est le cas du poème « Ce cœur qui haïssait la guerre » de Robert Desnos dans lequel ce dernier fait apparaître l'image des cœurs du peuple se battant pour

Guillaume Apollinaire (1880-1918) Pierre de Ronsard (1524-1585) Paul Eluard (1895-1952) Théophile de Viau (1590-1626) Louis Aragon(1897-1982) Vincent Voiture (1597-1648) Jacques Prévert (1900-1977) Pierre Corneille (1606-1684) Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)  Alfred de Vigny (1797-1863) Victor Hugo (1802-1885) Jules Barbey d'Aurevilly (1807-1889) Alfred de Musset (1810-1857) Charles Baudelaire (1821-1867) Jules Verne (1828-1905) Ballade de s'amie bien belle Amour, me voyant sans

.. 3 -Heureux qui comme Ulysse, Joachim du Bellay, 1558............................................. 7 -Le voyage, Jean-Pierre Claris de Florian, 1799........................................................ 9 -Saltimbanques, Guillaume Apollinaire, 1913........................................................... 11 -Demain dès l'aube, Victor Hugo, 1856.................................................................... 13 -Parfums exotiques, Charles Baudelaire, 1857.................

procédés d’écriture du lyrisme. Guillaume Apollinaire, auteur faisant parti de l’école du Nouveau Roman, à lui aussi rédigé des poèmes lyriques. Ces poèmes, écrits entre Octobre 1914 et Septembre 1915, ont été rédigés à titre posthume en 1956 dans un recueil intitulé Poèmes à Lou. Parmi ceux-ci, « Adieux » est le plus poignant, marquant de tous. Ce poème a été, comme tous ceux destinés à Lou, rédigé alors qu’il combattait au front lors de la première guerre mondiale. Lou qui de son vrai nom est Louise

caresse, destiné à Lou, comme si l'auteur voulait, par le biais de sa lettre, envoyé un peu de son amour et lui rappelé les moments qu'ils ont passé ensemble. En effet, le poème semble être une comparaison entière avec la guerre et serait dans ce cas, un poème engagé « éperons, caserne » dans lequel, Apollinaire soldat, regrette l'amour inachevé qui existe entre eux, mais aussi il accuse la guerre et fait ainsi part de sa colère, incompréhension, tout en faisant face à une douleur d'être loin de

évidence la vrai raison de la rivalité social et politique du maire avec un ennemi. Par les mots ,,victoire’’ et ,,a demain les pénibles recherches’’, on remarque son énergie incroyable et qu’il est éclaireur dans ‘infanterie. Le champ lexical de la guerre : ,,sacrifice’’, ,,danger’’, ,,victoires’’, ,,mérite’’, montre que l’ascension sociale pour Julien s’apparente à un combat. Troisièmement, la description de Julien ,,debout sur un roc immense’’, en regardant le ciel, embrase par le Soleil doux, le

bouche ouverte"; "la nuque baignant"; "pale dans son lit"; "il a froid"; "la main sur la poitrine". J'ai choisi ce poème car l'auteur révèle brutalement la nature du sommeil du soldat. Prosopopée D'ostende Trois ans déjà passés, théâtre de la guerre, J'exerce de deux chefs les funestes combats, Et fais émerveiller tous les yeux de la terre, De voir que le malheur ne m'ose mettre à bas. A la merci du Ciel en ces rives je reste, Où je souffre l'hiver froid à l'extrémité, Lors que l'été

arrachée aux fantômes ! Ô rendue à la paix ! Vaisseau sauvé des eaux… Pays qui chante : Orléans, Beaugency, Vendôme ! Cloches, cloches, sonnez l’angélus des oiseaux ! Je vous salue, ma France aux yeux de tourterelle, Jamais trop mon tourment, mon amour jamais trop. Ma France, mon ancienne et nouvelle querelle, Sol semé de héros, ciel plein de passereaux… Je vous salue, ma France, où les vents se calmèrent ! Ma France de toujours, que la géographie Ouvre comme une paume aux souffles de la mer