Amour Fait Souffrir

Racine dit de Phèdre qu'elle « n'est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. » Tout d'abord nous verrons que Phedre est coupable puis nous essayerons de prouver son innocence. Certe Phèdre est coupable. Elle est coupable d'un amour incestueux envers Hippolyte qui est le fils de Thésée, donc son beau fils. Elle est coupable d'avoir parler à Oenone de cet amour, qu'elle qualifie elle même de « coupable », qui la fait tant souffrir : «  Je te laisse trop voir mes honteuse douleurs »

c'est comme l'amour il nous fait voir des folies nous ennivre et nous détruit. J'ai mis une seconde pour t'aimer mais il me faudra atteindre la fin du monde pour t'oublier. Dis-lui que je ne l'aime pas. Dis-lui que je ne l'ai jamais aimé. Mais ne lui dis pas que je l'ai dit en pleurant. Vivre sans toi n'est pas vivre mais survivre. Quand la neige sera noire et que les corbeaux seront blancs ce jour-là tu pourras dire que je t'ai oublié. Si t'aimer c'est souffrir alors je souffrirai toute

- Pour obtenir l'aveu de Phèdre, Oenone utilise : - l'affection : « Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés » - le questionnement : « Que faites-vous, madame ? », « Aimez-vous ? » - les ordres (injonctions) : « Délivrez mon esprit de ce funeste doute », « Oublions-les, madame ». - les reproches :   -par rapport à ce qu'elle a fait pour elle dans le passé : « au nom des pleurs que pour vous j'ai versés ».                            - par rapport à l'attente qu'elle lui inflige : « Par

voir que dans la pièce, les thèmes principaux sont l'amour et le pouvoir. Mais cet amour est souvent lié à une idée ; celle qu'il est impossible, par exemple on peut lire au vers 49 : " Et que peut craindre, hélas ! un amant sans espoir ". La scène 2 de l’acte I fonctionne donc comme une scène d’exposition. Cependant, elle est aussi l’occasion pour le personnage de manifester le doute tragique qui le fait souffrir. En effet, les phrases de type interrogatif sont très présentes. Elles commencent

ses sentiments personnels : c’est le second aveu de la pièce, l’aveu d’un amour incontrôlé et excessif. Pour étudier cette scène, nous montrerons, dans un premier axe, une tirade lyrique ou s’exprime l’amour de Phèdre et dans un 2e axe, une parole tragique qui fait horreur Hyppolite Phèdre commence par avouer les sentiments violents qu’elle ressent pour Thésée. Le vocabulaire est très fort : ‘je languis’ signifie souffrir d’amour, tandis que ‘je brûle’ montre la force de sa passion. Le rythme

éphémère, puisse mettre à son service un amour éternel. En effet, l'amour est souvent vu comme un sentiment éternel qui lie les amants jusque dans la mort. Au contraire, la gloire du vivant, peut ne pas accompagner son héros dans la mort. On peut donc se demander comment l'amour, sentiment supérieur et indéfectible, peut-il être un moyen de la gloire, aux connotations ambiguës. I) La gloire maîtresse de l'œuvre a) L'amour au service de la gloire b) Fait trembler le pouvoir politique c)

imparable. Mari l'avoue (l.36/37). Superlatifs=insiste sur cette fidélité: "la plus grande marque"; "jamais". a) le courage de l'aveu Véritable force morale. Aveu courageux car risque de perdre respect et amour de son mari. Bien consciente par la dernière prière (l.16). Aveu extra pour XVIIème ayant fait scandale. Bussy-Rabutin a dit "extravagant". Sorte d'héroïsme par son originalité (l.8) et (l.14/15). L'adv. "jamais insiste sur le courage et l'originalité de l'aveu. (l.9): modalisateur=faiblesse affirmée

feront l’objet de notre étude : «Je t’écris» et «Poème de séparation». Peut-on dire que le thème de l’amour est abordé de façon semblable dans les deux poèmes? Dans ces deux poème que Gaston Miron a écrit , on peut observer de nombreux rapprochement fait entre les deux poème ainsi que leur déférence. Tout d’abord on peut établir certains rapprochements entre les deux poèmes, quant à la façon dont le thème est traité. En effet, la démarche est la même : après avoir évoqué sa relation amoureuse

dans notre esprit et dans nos pensées. En effet, on garde en mémoire son odeur, sa douceur, sa beauté et le sentiment de bien-être vécu avec elle. La mémoire du cerveau fonctionne en répétant inconsciemment et continuellement les informations. Le fait de mémoriser en quelque sorte sa partenaire crée une image persistante dans notre esprit, comme si elle était toujours présente avec nous. Lors d'absences prolongées de notre partenaire, il importe de respecter le principe de la continuité. La souffrance:

malice (4) S’étonnaient de voir que Martin Chassât les Lions au moulin. Force gens font du bruit en France Par qui cet apologue est rendu familier. Un équipage cavalier Fait les trois quarts de leur vaillance.   La cour du Lion Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître De quelles nations le Ciel l'avait fait maître. Il manda donc par députés Ses vassaux de toute nature, Envoyant de tous les côtés Une circulaire écriture, Avec son sceau. L'écrit portait Qu'un mois durant le Roi