Amour Femmes Voyage Au Bout De La Nuit

s’enivrer Baudelaire- «derrière le voyageur emporté par la nuit» expression ambiguë dont on ne sait pas qui elle désigne : le poète? l’amant? l’entreprise poétique? (cf. «le voyage au bout de la nuit» Céline)- fin montre 2 types femmes de Baudelaire: femme dominatrice et femme du portrait- 2ème fait encore 1 fois référence à «invitation au voyage» cette fois non ambigu: poète a vu belle chose (=spectateur) est voyageur emporté dans nuit = vrai amour entraîne désir mourir- lentement : si on meurt d’amour

est : la guerre ou plus exactement la Première Guerre Mondiale. Cette scène raconte l’histoire des poilus qui combattait dans les tranchées sous le froid et l’attente des ennemis. C’est dit que les poilus qui ne voyait pas leurs proches comme leurs femmes et/ou leurs enfants écrivaient des lettres d’amours en fumant la pipe. L’illustration représente des poilus dans les tranchées attendant l’ordre de leur chef pour aller au combat contre les allemands. Deuxième poème : LA PATRIE AUX SOLDATS MORTS

personnage de roman du XVIIe siècle à nos jours Texte A : Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Texte B : Louis-Ferdinand Céline, Mort à crédit, 1936. Texte C : Romain Gary, La Vie devant soi, 1975. Question Quel regard ces textes portent-ils sur les femmes du peuple ? Question de corpus sur le personnage de roman Lycée Louis de Broglie – Marly-le-Roi – Année 2013-2014 – 1ère S 1 Texte A : Victor Hugo, Les Misérables, 1862. La mère de la petite Cosette, Fantine, se trouve dans une extrême misère

puis à l’université de Chambéry. Mais la passion de l’écriture finit par le rattraper grâce à des expériences dans sa vie personnelle. Il va d’abord se faire connaître dans le monde théâtral en sortant sa première pièce de théâtre s’intitulant «La nuit de Valognes » en 1991. Par la suite, le succès l’envahit et il se fit connaître sur la scène internationale du théâtre, notamment avec sa pièce «Variations énigmatique», sortie en 1996, qui a été mise en scène pour le théâtre et jouée dans le monde

odeurs Moi je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur les arbres Et toisonne d'hermine les chevaux de frise Que l'on voit partout Abandonnés et sinistres Chevaux muets Non chevaux barbes mais barbelés Et je les anime tout soudain En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de blanches vagues Sur la Méditerranée Et t'apportent mon amour Roselys ô panthère ô colombes étoile bleue

d’aventure, romans d’apprentissage, identification avec le héros (jeune homme ou femmes voulant échappé à son destin) ambition lecteur s’évade à travers les aventures de son héros B des caractères non communs Fortes personnalités, physiques particuliers (princesses de Clèves) (félicité Rougeon qui représente une partie de la population âpre au gain manipulatrice désireuse de pouvoir Passion sans mesures (un amour de Swann, belle du seigneur…) C nécessité de l’exemplarité Le romancier

dames (le commerce parisien et les femmes), La Curée (le milieu immobilier parisien), Cycle des Rougon-Maquart 3/ Un être en mouvement : le personnage en action Le personnage est au centre du monde et du roman à partir du pré-romantisme (Rousseau) et du romantisme. Personnages ascensionnels ▪ Maupassant, Bel Ami : ascension par les femmes. Milieu du journalisme. ▪ Stendhal, Le Rouge et le Noir Ascension de Julien Sorel par les deux femmes qu’il rencontre Mme de Rénal et

arbres-ci ?  Des messieurs bien mis, Sans nul doute amis Des Royer-Collards, Vont vers le château. J'estimerais beau D'être ces vieillards. Le château, tout blanc Avec, à son flanc, Le soleil couché. Les champs à l'entour... Oh ! que notre amour N'est-il là niché ! Le beau jardin fleuri de flammes, Emile verhaeren (1891) Le beau jardin fleuri de flammes Qui nous semblait le double ou le miroir Du jardin clair que nous portions dans l'âme Se cristallise en gel et or, ce soir

fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi

Sganarelle tente de s’interposer mais il reçoit alors des coups qui ne lui étaient pas destinés. Apparaît Mathurine, une autre paysanne séduite par Dom Juan. Les deux jeunes femmes se jettent l’une à l’autre les promesses de mariage qu’elles ont reçues de Dom Juan. Celui-ci va de l’une à l’autre pour les assurer de son amour, tandis que Sganarelle tente de les détromper. Soudain, un valet vient avertir Dom Juan que des hommes armés sont à sa poursuite. Il s’enfuit donc. Acte III Afin d’échapper