Amour éternel

« supplices éternels », « le précipice où vous courez », « exemple funeste de la justice divine » ( idée de punition et de destin qui donne une tonalité tragique à ce discours. - on remarque que chaque nom désignant le châtiment est accompagné d’un adjectif qui renforce son caractère effroyable. Elvire utilise des superlatifs (( hyperbole) et certains de ces termes sont mis en évidence en fin de phrases : (« au plus grand de tous les malheurs », « supplices éternels »)

L'enfant éternel Présentation d'auteur: Philippe Forest est un écrivain .français.Diplômé de l' Institut d'études politiques de Pariset docteur de lettres, il enseigne durant sept années la littérature française dans les universités anglaises (Cambridge, Saint-Andrews). Actuellement il est un professeur de littérature comparée à l'Université de Nantes. Ses romans: L'Enfant éternel, Gallimard, 1997; Folio, 1998 Toute la nuit, Gallimard, 1999 Sarinagara (Prix Décembre), Gallimard

folie divine, qui ne quitta pas un seul jour mon coeur. Quel que soit le supplice, et il m'en fit subir beaucoup, quelle que soit la menace et la ruine prochaine,quelque pensée de la mort qui met fin à tout, mon coeur ardent ne s'étonna de rien. Plus Amour nous attaque avec force, plus il nous fait rassembler nos forces, et nous fait être frais en ses combats; mais ce n'est pas qu'il nous aide en rien, lui qui méprise les dieux et les hommes, c'est qu'il veut paraître plus fort que les plus forts.

métaphores: « je trône dans l’azur » V5 ; « […] un cœur de neige à la blancheur des cygnes » V6 ; « clartés éternelles » V14. Cette allégorie met en opposition 2 natures de la beauté à la fois froide et majestueuse. II - UN POUVOIR DE FASCINATION Cette beauté est représentée de manière fascinante par son aspect divine telle une inspiration à l’amour aux poètes, (V3). Telle une chose éternelle (V4),  par « un cœur de neige unit à la blancheur des cygnes, (V6). Mais aussi  par ses « grandes attitudes »

m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente

on ne sait pas s’il faut s’exclamer ou s’interroger. B) le mouvement et l’immobilisme L’eau, le temps( éternels), les amours. Le texte s’écoule sans ruptures, v.1 et v.22 montrent l’éternité: la boucle est bouclée. Champs lexical eau : pont (v.1), coule (v.1) passe (v.9), onde (v.10) eau courante (v.13) Champs lexical temps: souvienne (v.3), sonne l’heure (v.5), jour (v;6) éternel (v.10), semaine (v;19), temps passé, (v.20) On remarque une figure de style: archaïsmes des distiques (=

réjouir de cet Être infini, éternel et parfait dont nous émanons et dont nous tirons toute notre puissance. Dieu est l’idée par excellence d’une chose qui accroît notre puissance, et c’est pourquoi il est l’objet suprême de notre amour (rappelons la définition de l’amour : une joie, c’est-à-dire une augmentation de puissance, qu’accompagne l’idée d’une cause extérieure). De plus, par la logique des passions, tout notre bonheur dépend de ce qui arrive à l’objet de notre amour. Si cet objet est à l’abri

société pour sa religion et qui renvoyé de la SDN (la société des nations) ancêtre de l’ONU est obligé de vivre à l’écart de la société. Il rencontre Ariane une femme mariée et ils tombent follement amoureux, elle fuit son domicile pour vivre le grand amour avec son amant, ils séjournent dans des hôtels luxueux de la côte d’Azur et dans ce texte je présenterais les réflexions d’Ariane concernant sa relation amoureuse. Elle était assise les pieds croisés sur le sofa dans une pose d’une grande souplesse

l’homme ne peut pas aspirer mériter10 le salut. L’homme ne peut pas de lui-même se racheter11 ni se justifier de son péché par ses œuvres12 . De ce fait l’homme est ainsi condamné13 devant Dieu. Je crois que par sa grande miséricorde et dans son amour,14 Dieu le père a prévu15 le salut messianique à travers d’un médiateur, Jésus,16 son propre fils, afin de rétablir la communion perdue entre Dieu et l’homme. 10 Tit 3 : 5 « il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions

l’enfer afin que périsse la race humaine, car les humains ont préféré l’enfer au ciel, et Lucifer, leur dominateur. P12. Je viendrais une deuxième fois pour mourir afin de les sauver d’une mort plus atroce encore… mais mon Père ne le permet pas… Mon Amour le permettrait, la Justice pas. Elle sait que ce serait inutile. Je ne viendrai donc qu’à la dernière heure. L’important est de faire de son propre cœur une mangeoire de Bethléem pour y accueillir Jésus enfant, et de soi même, une croix pour porter