Amour éternel

générale Lyonnaise comme lui, Louise Labé partage avec son contemporain Maurice Scève non seulement une virtuosité poètique mais également un expérience douloureuse de l’amour qui nourrit son oeuvre, entièrement publiée en 1555 du “Débat de Folie et Amour” , de trois “Elégies” , et de vingt-trois “Sonnets” . S’il s’inscrit dans une tradition poètique, le sonnet de Louise Labé ardent et passionné, exprime, de façon originale, l’ambiguïté du sentiment amoureux. 2) Je Vis, Je Meurs : Texte Je vis

.. Mais il ne s'agit là que de très fins sous-entendus, qui, sans porter atteinte au caractère paisible du sonnet, unissent de façon étroite ces termes sur lesquels il est même possible de faire un jeu de mots significatifs : la mort, « amor » ou amour en latin ! De plus, aux vers deux, la comparaison entre aimer et mourir est explicité par le comparatif « comme » rapprochant les « divans profonds », des « tombeaux ». Des rimes singulières sont également révélatrices. En effet, faire rimer « tombeau

Les printemps éternels (Travail de création littéraire) Par Malek Saada Groupe : 00601 Travail remis à David Faust Dans le cadre du cours 601-102-04 : La littérature française d’hier à aujourd’hui Collège de Maisonneuve – Formation continue Hiver 2010 Les printemps éternels Chapitre premier J’ai feuilleté les pages de ma mémoire pour t’écrire une histoire, et dans ce marché aux souvenirs, il a fallu que je ralentisse, que je prenne mon temps comme l’aurait

Poème1 Elle est ma raison de vivre, elle est les battements de mon coeur, Je deviens ivre en voyant sa beauté, sa fraîcheur, Cela se traduit par un désir éternel, Je me sens alors battre des ailes, Je ne puis me passer d'elle, je la veux dans mes bras pour toujours, Elle embellie mes rêves la nuit et les matérialise le jour, Son image monopolise mon esprit, Le flottement de ses cheveux m'emmène au-delà des océans, Ses yeux m'envoûtent et m'emportent dans le tourbillon de la folie,

ANTHOLOGIE Ould Moussa Tarik L'Amour Sommaire Préface Trois poésies personnelles : Première soirée de Rimbaud L’Éloge de l'amour de Jean De La Fontaine Amour me tue de Ronsard Trois poésies de Baudelaire : La muse malade A une dame créole Le masque Trois poésies romantiques : N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente Victor Hugo Une Amoureuse Flamme de Gérard Nerval A deux beaux yeux de Théophile Gautier Poésie du concours : Poésie en liberté 2015 Afémée

manuscrit est daté du 31 août 1852, soit 3 ans plus tôt que la date portée dans le recueil, 3 ans, le même délai que mit le poète avant de se rendre sur la tombe de sa fille Léopoldine, et qui amplifie l'écho de cet amour qu'il porte à sa maîtresse. La fleur symbolise l'amour éternel, l'enfant cueille des fleurs dans la nature pour les offrir à ses parents, l'amoureux offre des roses, on dépose des fleurs au cimetière sur la tombe des disparus qui vous ont été chers. Le poème a été écrit au retour

qu'elle poursuit (5) tourments inévitables Par des vœux assidus je crus les détourner : Je luis bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain sur les autels ma main brûlait l'encens : Quand ma bouche implorait le nom de la Déesse, J'adorais Hypolite ; et le voyant sans cesse, Même au pied des autels que je faisais fumer, J'offrais tout à ce Dieu que je

bohneur parfait à travers l’amour et la mort dans une harmonieuse volupté ‘lits’ ‘odeurs légères’ ‘divans profonds’ Mots donnant un sens à la mort et à l’amour  Lit / Divans profonds / Fleurs etranges  Transition d’un amour physique ‘lit, divans, chaleur’ à un amour spirituel ‘nos deux cœurs, nos esprits’ 2ème quatrain :  Les mots ‘deux’, doubles, jumeaux intensifient la force de l’union des amants.  Les vers 2 à 4 mettent en avant que les amants sont les seuls dans un monde vaste

n’a point d’ailes, Il est constant, et cent plaies cruelles N’ont empêché qu’il ne gardât sa foi. La rose et moi différons d’une chose Un soleil voit naître et mourir la rose, Mille soleils ont vu naître m’amour. Ah ! je voudrais que telle amour éclose Dedans mon cœur qui jamais ne repose, Comme une fleur, ne m’eût duré qu’un jour. Pierre de Ronsard vécu à la Cour du roi Henry II (1547-1559), dont il fut aumônier et conseiller. Pendant vingt ans, le poète a composé une collection de

était leur lieu de rencontre hebdomadaire. Apollinaire fait alors du pont Mirabeau le symbole de leur rupture. Il est un poète moderne restant néanmoins dans la mouvance de la Renaissance. Ce poème élégiaque sous forme de chanson utilise le thème éternel de l’eau pour évoquer la fuite du temps et l’amour qui s’en va. Ceci nous amène à nous interroger sur la manière qu’utilise Apollinaire pour renouveler les motifs lyriques de l’amour perdu et du temps qui passe. Dans un premier temps nous nous