Amuse-gueule

pas de techno, éventuellement du R&B mais uniquement du bon et pour le hip hop, c’est à voir. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, sonnez à ma porte, insistez un peu, je suis sourde comme un pot ! Miss Morrison retraversa aussitôt le couloir. Amusé, Arthur resta quelques instants sur le palier avant de se remettre à la tâche. Une heure plus tard, quelques crampes à l’estomac lui rappelèrent qu’il n’avait rien mangé depuis le repas servi dans 9 l’avion. Il ouvrit le réfrigérateur sans grand

comme si cela ne suffisait pas, Rabelais va plus loin encore, donnant au lecteurs des précisions inutiles, parodiant le genre le l’épique, dont le héros a toujours plusieurs qualités. En effet, Frère Jean des Entommeurs est également « bien fendu de gueule, bien advantagé en nez, beau despescheur d’heures, beau desbrideurs de messes, beau descrotteur de vigiles ». En outre, pendant la bataille, « chacun estoyt desrayé », et Frère Jean « es uns escrabouilloyt la cervelle, ès aultres rompoyt bras et jambes

même si on la connaît souvent très bien, continue d'étonner, de surprendre. Catherine Hiegel a réuni des comédiens de talent sûr, avec ce clin d'œil à la Maison Molière en la personne d'Alain Pralon, le maître de philosophie. Dans la partition casse-gueule de Madame Jourdain (elle rouspète et s'époumone contre les folies de son époux), Marie-Armelle Deguy est excellente (elle aussi est passée par le conservatoire et le Français). Dorante, qui exploite la générosité de Monsieur Jourdain, possède l'élégance

suscite chez ceux qui l'écoutent une attention extraordinaire. Mais quand ce sont les femmes des Bastides qui se mettent à parler de présages inquiétants, le récit les tourne en dérision. Narrateur et personnages se moquent d'elles avec un mépris amusé: "Et chacune de raconter sa petite histoire. Une a vu le chat; l'autre a entendu des voix dans les arbres". Ce qu'elles disent est d'avance frappé de nullité, et le récit ne prend pas même la peine de toujours les nommer (une, l'autre...). Quant au

S’fout dans un arbre et depuis les arbres, il voit les hommes et continue de leur parler, ‘parmi les hommes mais loin d’eux’. Flaubert… ? on pourrait voit en Salammbô un exemple de roman onirique ; & Bouvard et Pécuchet… illustration de cette attitude ‘amusée et désabusée’. 2. Roman du désenchantement (Lukacs, toujours). L’éducation sentimentale. Moreau ? Sa conscience = large et passive (réceptive…) [d’après Lukacs]. Vit dans imaginaire flottant, presque informe, tire rien de ‘clair et distinct’ qu’il

ou je ris puis des jours ou je vis tout simplement . Y'a des jours ou tu me manques plus que d'autres et y'a des jours ou tout va bien  Moi j'ai la chance d'avoir  des sœurs , des vrais soeurs . Toujours là : malgré les disputes , les coups de gueule , les histoires et les trahisons .  Toujours là : malgré le temps qui passe et qui nous éloigne , malgré que les souvenirs s'effacent.. toujours la malgré tout ♡ Je ne sais pas ce que je veux . Je change tout le temps d'avis sur tout . Je me lasse

défaut d’avoir des idées, a des principes qu’il n’hésite pas à partager avec son entourage. Gustave Flaubert avait écrit à Feydeau : « Versons de l'eau-de-vie sur ce siècle d'eau sucrée. Noyons le bourgeois dans un grog à onze mille degrés et que la gueule lui en brûle qu'il en rugisse de douleur ! C'est peut-être un moyen de l'émoustiller ? On ne gagne rien à faire des concessions, à s'émonder, à se dulcifier, à vouloir plaire en un mot. » Sartre témoigne ainsi d’une haine universelle pour ces bourgeois

utilisation interdites sans l’accord explicite de l’auteur ou du C.R.U. bouscule un tire-au-flanc en lui disant : « Espèce de Vatenguerre, ! tu triches ! tu t'assieds dans les jambes des gens. On n'a rien à faire de toi mon bonhomme, avec ta gueule à faire peur[14]. » La didascalie « en bousculant un tire-au-flanc » constitue un ajout du traducteur et relève d'une interprétation que l'on peut trouver réductrice. Pascal Thiercy indique dans sa propre traduction que Trygée se tourne « vers les

Une mine monstrueuse Le nom du « Voreux » évoque d'emblée un monstre dévorateur. Cette métaphore est longuement filée par la suite : « avalait », « bouchées », « gosier », « viande », « chargement de chair humaine », « engloutir », « dévora », « gueule (…) gloutonne », « affamé », « digérer », « silence vorace ». Un monstre insensible et froid : aspect machinal d'une dévoration qui semble se répéter éternellement (imparfait itératif, préfixe re- l.19/20, …) Le silence, connotant la mort, domine

provoquant une nouvelle salve de texaverysme. Elle en a sorti des dizaines de cadeaux, dans des emballages brillants, qu’elle a jetés au hasard vers la foule en délire. Bon, en délire, seulement la foule masculine, d’accord. Les filles étaient moyennement amusées. Aucun sens de la fête, celles-là. Dans les paquets, il n’y avait que des sex-toys, quelle idée charmante. De toutes formes, de toutes tailles, de toutes couleurs. Certaines des filles ont commencé à retrouver le sourire, mieux, à rire carrément.