Analepse

cabanon représente ainsi deux formes de bonheur : les fêtes et les sensations diverses en famille lors de l’enfance (paragraphe 2) et les rêves avec les amis à l’adolescence (paragraphe 3), deux mondes séparés par la mort de la mère. Par cette longue analepse, le narrateur emmène ainsi le lecteur dans son passé d’enfant pauvre mais heureux car entouré de sa famille et de ses amis. En décrivant simplement des faits répétitifs, il montre que le bonheur est constitué de petites choses toutes simples. Même

la répétition de l’adjectif petit) « je ne sais plus ce que je suis »   (l.55)  D’après Suzanne il n’est qu’un «morveux sans conséquence » (l.35) «le plus grand petit vaurien » = oxymore 2) Le pouvoir du comte  Un danger menaçant Chérubin Une analepse (retour en arrière) présente la situation (l. 914) Il n’est pas désespéré : compte sur l’aide la comtesse La péripétie pose une attente pour le spectateur   Le pouvoir du comte Il est montré par la peur que celui-ci inspire à Chérubin en entrant :

de Thérèse Raquin) et de l’étage d’habitation. Présentation successive des occupants qui restent anonymes (une jeune femme, une vieille dame, un gros chat tigré, un homme d’une trentaine d’années). CHAPITRE 2 : L’enfance à Vernon ; le mariage (analepse) Avant de s’installer à Paris, Mme Raquin, veuve, ancienne mercière, vivait paisiblement à Vernon, avec son fils Camille et sa nièce Thérèse ; celle-ci est une orpheline, recueillie à l’âge de deux ans par sa tante ; Thérèse, née à Oran, a donc

→ emploi de la 1ère personne du pluriel : « Ici, nous demandons ». Annonce d'un dénouement malheureux → « bonheur divin » « tout changer » « caprice de tendresse ». Jeux avec le temps → emploi du plus que parfait qui produit une analepse : « elle était restée » « elle avais promis ». Fabrice est écarté de sa paternité → présentation de l'enfant : « Sandrino ». Réaction immature de Fabrice → il fait un caprice d'enfant : « il conçut le dessin d'enlever l'enfant ».

se mesure en heure, en jour, en semaine, en mois, en années, etc. 2-Temps du récit : Il concerne la manière dont les événements sont racontés. Il se mesure en nombre de lignes, de paragraphes, de pages, etc. VIII-Chronologie et distorsions 1-Analepse : C’est un retour en arrière. 2-Prolepse : Le récit évoque un fait futur, il s’agit d’une anticipation du récit sur l’histoire. IV-Rythme du récit 1-Définition : On appelle rythme du récit, le rapport existant entre le temps de l’histoire

On peut voir 5 filles qui portent le voile dont Marjane qui est à gauche mais on ne l'a voit pas. Elles se ressemblent trop même posture les bras croisés avec le voile, donc pas de liberté d'expression. 3ème case : On a ici un retour en arrière (analepse). Il y a eu une révolution et on peut voir la population qui manifeste et il y a beaucoup de noir. 4ème case : Il y a une adulte voilée qui donne des voiles aux filles qui ne l'ont pas. 5ème case : Toutes les filles jouent avec leur voile car

pause  :TF  : stoppé  : déscription La scène  : TF=TN  : dialogue Le résumé  : TF>TN  :pas bcp de détails L’éllipse  : Le narrateur passe sous silence un moment du récit 3- ordre de narration -traditionnellement de façon chronologique -ANALEPSE  :retour en arrièr  e (flash back) -PROLEPSE  :anticipation (vision,…) III- argumentation 1- démonstration et dénonciation implicite => CONVAICRE nicht ganzes Zeit logique pour démontrer  ; des fois simple description, récit

Sylvain Tesson, « L'asphalte »Commentaire de l'incipit : suite de l'analyseParagraphe 2 :RelevéProcédésInterprétation« trente minutes »Complément circonstanciel de temps Précision sur la situation du personnage. Ce détail en apparence anodin est important pour préparer la suite du récit (route), fonction essentielle de l'incipit « champs », « maison de bois », « village », « faux », « bêche »Champ lexical

temps utilisés : Passé simple et imparfait du v.1 au v.36 – temps du récit ; ensuite, rupture avec le tiret baudelairien et le changement de temps : futur. - Voir « Rappelez-vous »  --> impératif présent --> lui donne l'ordre de revenir en arrière = analepse. =>  Récit d'un souvenir d'une promenade dans la nature, au cours de laquelle ils rencontrent une charogne. Transition:Tradition des poèmes amoureux : un couple se promène dans une nature sereine et la femme est l'objet d'une idéalisation. 2

Dans le texte, on voit que Candide perd tout, il découvre l'horreur de l'inquisition et bizarrement la vie lui fait un cadeau, il retrouve Cunégonde. Chaque rencontre est l'objet d'une analepse. On a la vision de Cunégonde, femme civile, sur l'horreur de la situation. Voltaire a besoin de ces analepses pour donner une forme au texte. Voltaire s'amuse a faire peser les malheurs du monde sur les religieux. Voltaire caricature d'une certaine manière le portrait du religieux. Voltaire n'attaque