Analepse

indirecte des personnages, l’action est mise au second plan. Elle est d’abord située par rapport à l’énonciation. Le retour en arrière et la projection dans l’avenir des vers 40 à 64, placent l’action dans un cadre déterminé. Cette prolepse et cette analepse sont introduites par des connecteurs temporels : «quand Mélénas», «d’abord». Enfin, l’introduction de ce retour en arrière est faite pas un passé simple : «tu vis naitre», action brève, soudaine qui marque la coupure avec le paragraphe précèdent.

outils différents pour analyser le texte : Roman : narrateur et focalisation, alternance entre description et narration, fonctions de la description, types de discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments

engagée. Puisque le plus important est la contestation de la peine de mort, l'auteur fait ellipse de cette situation initiale et passe directement aux faits. Toutefois il nous est facile de déduire cette situation initiale à travers les flashes back. (Analepses, retour en arrière). Elément perturbateur: Le meurtre commis par le narrateur-personnage. Péripéties: Le jugement, l'emprisonnement, la condamnation à la peine de mort, recherche du condamné d'une solution pour préserver sa vie. Dénouement: Il

« investi d’un mystérieux pouvoir » (l.3), et qu’il est depuis longtemps en conflit avec sa famille = pers. révolté, impulsif. 2) Passé et rôle dans l’histoire Le passé du personnage est donné par un retour en arrière (ou analepse), délimité par des indices temporels, l.21 à 42, qui retrace les différentes étapes de son enrôlement, motivé par le désir de manifester sa révolte (voir Q.2b). Pour lui, la guerre représente une « aubaine » (l.23) car elle lui donne un statut, voire

celui-ci il parut une seconde fois en 1753. Ce roman traite du libertinage en évoquant des personnage en marge mais fait également référence au plaisir du romanesque. Des grieux va raconter son histoire à renoncour (le second narrateur), c’est une analepse. Le récit demarre tout de suite par une prolepse, qui nous annonce immédiatement que la rencontre avec Manon est le point de départ d’une aventure désastreuse. Elle va constituer un changement pour DG qui va perdre son innocence. Nous verrons comment

marche, ou remarque-t-on plutôt ce qu'il peut y avoir d'exceptionnel au bord du chemin — un lys martagon en montagne, par exemple? Le chemin ne peut-il pas être sinueux, et la promenade hasardeuse? Ne peut-on revenir sur ses pas — savoir, faire une analepse dans le récit — ou partir loin du chemin (faire une digression) pour mieux y revenir? En répondant à tout ça, et quelques autres questions qui te viendront avec la réflexion, tu pourras commencer à répondre. Comme exemples à citer, il faut introduire

survivre au sein de cet univers. Réussite : l.86 « il n’y avait qu’une seule chose dont K. ne se souvenait plus.. » Titre = périphrase désignant K. car comme Ponce Pilate a oublié le christ, il a oublié cette terrible tragédie. B- Braude. Analepse ligne 65 : « l’année qui avait fait voler tout son univers en éclats » = carrière brisé par purge stalinienne  Braude ≠ du statut de Koubantsev. Nom consonance allemande : précipite son malheur = victime qui a survécu. Accumulation des verbes

hanté par leurs fantômes. La présence menaçante de Vérité, personnage mystérieux, met en danger le pouvoir que Nahoubou conserve en vain. Ses gardes, eux, pensent qu’on ne peut lutter contre des voix et des fantômes invisibles. Bernard Dadié, par analepse, montre l’enfance tumultueuse de ce roi despote qui se signale très tôt comme un monstre naissant qui terrorise son entourage et qui assassine son père d’une flèche (d’une éraflure). Afin d’atteindre son ambition à devenir Macadou (roi omnipotent)

envers son mari et qu'elle regrette de s'être mariée par la répétition de question réthorique à la ligne 10 : « Emma se répétait : Pourquoi, mon Dieu, me suis-je mariée ? », cette phrase marque aussi un retour en arrière dans le temps, c'est donc une analepse qui la rend nostalgique.On peut aussi constater dans ce texte qu'Emma pense beaucoup, qu'elle est désespérée et qu'elle s'ennuie. On note dans ce texte plusieurs expressions qui montre sa pensée, tel que « Sa pensée […] vagabondait au hasard » à

verrons les caractéristiques de cette scène d’exposition en analysant le contexte de la pièce et l’introduction des personnages à travers le discours élogieux de Sganarelle. Sganarelle nous rappelle les faits qui précèdent la pièce à l’aide d’une analepse l14-15 «Reprenons un peu notre discours ». Il replace les évènements dans le contexte l15 à 18 « que Done Elvire…sans le venir chercher ici. ». Nous assistons à une scène d’exposition in medias res ce qui donne un caractère vif à la scène et pose