Analyse La Nuit Sacrée

Analyse de texte BAC FrTexte 1 : Préambule de la DDFC, Olympe de Gouges, 1791 Auteur/Mouvement littéraire Olympes de Gouges : une femme de lettres autodidacte et l’une des féministes de la littérature française, du XVIIIe siècle. Après la mort de son mari, elle part pour Paris où elle fréquentera des salons et y forgera ses opinions politiques. Elle y apprendra aussi la philosophie des Lumières. Lumières : Cette philosophie est utilisée afin de battre l’obscurantisme religieux et lutte pour donner

Stelzig, Hermann Hesse’s Fictions of the Self, Autobiography and the Confessional Imagination, Princeton (New Jersey), Princeton University Press, 1988, p. 5. 2 «Homology between the life lived and the life written», Ibid., p. 10. 3 Roger Bastide, Le sacré sauvage, et autres essais, Préface de Henri Desroche, Paris, Payot, 1975, p. 181. 9 Les premiers romans et nouvelles de Hermann Hesse sont donc à saveur romantique. Ils dépeignent bien ce grand courant de la culture et de la littérature européenne

haut, c'est un espace des cimes, ou c'est au contraire un espace d'en bas, un espace de la boue, c'est un espace qui peut être courant comme l'eau vive, c'est un espace qui peut être fixé, figé comme la pierre ou comme le cristal.

Cependant, ces analyses, bien que fondamentales pour la réflexion contemporaine, concernent surtout l'espace du dedans. C'est de l'espace du dehors que je voudrais parler maintenant.
L'espace dans lequel nous vivons, par lequel nous sommes attirés hors de nous-mêmes dans

où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais ! Analyse Y a-t-il, pour chacun de nous, un être qui nous est destiné et avec lequel nous pourrions connaître

(1964) de Jean-Paul Sartre  « Si Dieu existe, à quoi bon la littérature ? Si Dieu n'existe pas, alors à quoi bon faire de la littérature ? » (1987) par Eugène Ionesco dans le journal Le Monde  Le terme de la crise touche les genres littéraires, analysé dans : o « La Crise des valeurs symbolistes » (1960) de Michel Décaudin o « La Crise du roman » (1966) de Michel Raimond o « La Crise du personnage dans le théâtre moderne » de Robert Abirached  « De la littérature considérée comme une tauromachie

ces questions demeure individuelle {…} »La poésie souffre ainsi d’être en même temps domaine réservé (par la volonté d’herméneutisme) et chose du monde la plus commune (les poèmes appris par cœur à l’école).  Elle tient du sacré  :  Les prophètes bibliques parlent sous l’impulsion de Dieu dans une forme binaire, multipliant les parallélismes (modèle du langage poétique). Virgile a fait d’Orphée, fils d’Apollon et de Calliope, le premier et le modèle de

vendues époque Nap, à une nouvelle bourgeoisie qui s’est enrichie Nobles réclament leurs terres car l’ont soutenu en exil Plus gros transfert de propriétés de l’histoire de France XVIII trouvé hypocrite par certains car fait des concessions ; analyse tous les signes qui pourraient indiquer qu’il voudrait retour ancien régime : A rétabli une cour autour de lui ainsi que l’étiquette : contraire à l’esprit Révolution Séjourne aux Tuileries : resté à Paris pour comprendre Paris Donc mélange

« Tintin », le premier livre qu’elle essaie de lire. Et pour finir, elle recopie également un poème de Louis Aragon, Au fond de la nuit3, « Je suis rentré dans la maison comme un voleur *…+ Qu’ici le nom d’Elsa seule est ma signature au fond de la nuit » Amélie NOTHOMB Nishio-san Kashima-san Ses trois personnages, sont les seules à apparaître tout au long de l’œuvre et pas seulement dans quelques passages. On en connaît beaucoup sur eux comme leurs caractères, leurs aspects physiques, leurs histoires

C'est ainsi que Tacite évoque dans ses Annales le gigantesque incendie qui, dans la seconde quinzaine de juillet de l'an 64, ravagea Rome, détruisant ou endommageant gravement dix des quatorze régions instituées par Auguste. Il commença dans la nuit du 18 au 19 juillet et dura au total neuf jours, plus de 10 000 personnes moururent et des centaines d’immeubles détruits. Selon Suétone, Néron interpréta un petit poème sur la beauté des flammes devant cette catastrophe, qu’il compara à celle de

peintre place ses personnages en premier plan dans une sorte de légère pénombre, comme si le soleil qui éclaire là bas la fin du travail de cette moisson s’éteignait sur ces trois femmes. Du sol, en bas du tableau, monte une ombre brune comme si la nuit de la terre commençait à menacer les trois glaneuses. La scène est pourtant sans tristesse, et totalement dépourvue de pathos et de sentimentalisme. Mais cette peinture fait aussi apparaître la splendeur du monde tel qu’il est, cette ambiguïté porta