Analyse Le Bourgeois Gentilhomme

anticonformiste, surréaliste, communiste, farceur, cadavre exquis, pataphysique (= la pataphysique a pour objectif de décrire les phénomènes du monde sous un regard particulier, en décalage avec la vision traditionnelle, farfelu), contestataire, « haïku ». Analyse: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Intro/amorce voc problématique structure thèmes effets de styles synthèse ouverture  les thèmes:   -l'humour - le fantastique/ le rêve/ l'irréalité  -la famille  -la mort  -l'histoire  -la guerre  -l'enfance

l’apprenant ; 9 III.3. La séquence La séquence didactique (ou projet séquentiel) est un ensemble d’activités visant le développement de compétences ; celles-ci constituent une réponse aux besoins des élèves, préalablement identifiés et analysés. C’est l’outil le mieux adapté à une gestion optimale du temps en fonction du rythme de chacun. En effet, le projet pédagogique est constitué d’un ensemble de modules eux-mêmes déclinés en séquences didactiques conçues sous forme d’activités

citoyen, Histoire du suffrage universel en France (1992), La contre-démocratie. La politique à l'âge de la défiance (Seuil, 2006). Son ouvrage, La crise de l'Etat-providence, sorti en 1985, s'inscrit dans cette réflexion sur l’Etat ; Rosanvallon y analyse la situation des années 1980, afin d'ouvrir de nouvelles perspectives à nos sociétés. Depuis trente ans, il a développé une œuvre conséquente en histoire des idées politiques et sociales ainsi que sur l’évolution de la démocratie en milieu

dans une certaine mesure, à la vision péjorative de la dualité «être/paraitre» que nous offre Molière dans Le Tartuffe. La figure du Tartuffe est un faux dévot qui, en feignant une humilité et une dévotion extrêmes, s'attire les grâces d'Orgon un gentilhomme fortement crédule. Molière fait plusieurs fois la démonstration que la dualité du Tartuffe (comme celle des contemporains du dramaturge) s'apparente à de l'hypocrisie. Ainsi, aux antipodes du Tartuffe, Cléante (beau-frère d'Orgon) est un personnage

société précieuse s’épanouit dans les salons dont les plus célèbres sont ceux de la marquise de Rambouillet et de Madeleine de Scudéry. D’abord aristocratiques, après l’échec de la Fronde (histoire), ces salons s’ouvrent peu à peu à des écrivains bourgeois. La volonté d’élégance dans la conversation, la recherche de pureté du vocabulaire en proscrivant les jargons, les archaïsmes, le langage populaire et l’invention de termes nouveaux ou de périphrase remplaçant des noms d’objets réputés bas ou seulement

qu’il m’a prêté ; j’ai emprunté de lui la matière de cet ouvrage » (La Bruyère, préface des Caractères, 1688). 6 © H AC HE TT E LI VR E / O bj ec tif B AC 1 re g én ér al e • La satire sociale. La Bruyère fait œuvre de moraliste. Les bourgeois ne rêvent que de s’enri- chir et d’approcher la noblesse. Les courtisans sont animés d’une ambition similaire. On les voit, superficiels et hypocrites, renier leurs amis et flatter les Grands. • La réflexion politique. Le roi n’échappe pas à la

Annexe 5 : Tableau analytique de l’opéra........................................................................ 35 Annexe 6 : Partition de Cendrillon .................................................................................. 41 Annexe 7 : Analyse de la partition de Cendrillon............................................................ 42 Annexe 8 : La première apparition du Prince Charmant.................................................. 43 Annexe 9 : Partition « Le Prince Charmant » .

Documents de l’élève Jean de La Bruyère, Les Caractères (XVIIè siècle) A. Analyse « Arrias » dans le chapitre : De la société et de la conversation « Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi ; c’est un homme universel, et il se donne pour tel : il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose. On parle, à la table d’un grand, d’une cour du Nord : il prend la parole, et l’ôte à ceux qui allaient dire ce qu’ils en savent ; il s’oriente dans cette région lointaine

l’air d’un imbécile ! » (Situer le passage dans l’intrigue) On analyse, avec la classe, la valeur de la locution « n’est-ce pas » (renforcement de l’interrogation) dans la réplique de Lucienne : « Oui ! Eh bien !…Pontagnac ».Cette insistance a pour but de gêner, de ridiculiser Pontagnac. Lucienne tente de le contraindre à adhérer à son point de vue et donc à se dénoncer (ton moqueur). Faire analyser la réplique de Pontagnac qui s’esquive par une autre question

obstacle à la connaissance scientifique des phénomènes politiques. Il faut « oublier tout ce qu'on sait ». Weber parle de « neutralité axiologique » qu'il faut pratiquer afin d'éviter ethnocentrisme et socio-centrisme. But de la science politique: analyser le plus finement possible tout ce qui est politique. Elle est aussi l'attention portée aux objets et aux effets politiques des faits sociaux apparemment étrangers au domaine politique. Pratique du relativisme méthodologique: ce qui est politique