Analyse Lettre Modérée Sur La Chute Et La Critique Du Barbier De Séville Beaumarchais

1. Situation du texte Beaumarchais commença la rédaction du Barbier de Séville en 1765. La pièce, qu’il destinait à l’origine aux comédiens italiens et qui devait prendre la forme d’un livret d’opéra-comique (d’où le rôle joué dans l’intrigue par Bazile, le maître à chanter, et par la partition « La Précaution inutile ») fut finalement montée pour la première fois par la comédie française en 1775 et remporta bientôt un vif succès. Il fallut attendre 1782 puis 1816 pour que Giovanni Paisiello puis

1re ES et S FRANÇAIS Durée : 4 heures Sujet 65 (1ère partie) Enoncé du devoir _______________________________________________ DOCUMENTS A) B) C) D) E) Beaumarchais, « Lettre modérée sur la chute et la critique du Barbier de Séville ». Molière, L’École des femmes, 1662. Jean Racine, Mithridate, 1673. Victor Hugo, Hernani, 1830. Eugène Ionesco, Le roi se meurt, 1962. ÉCRITURE Vous répondrez d’abord à la question suivante : • Quel point commun présentent les quatre scènes proposées ? Identifiez

Séquence 3 Beaumarchais Le Mariage de Figaro, ou la folle journée (1784) Objet d’étude E Le théâtre, texte et représentation. Sommaire Introduction 1. L’œuvre et son contexte 2. Le Mariage de Figaro : une habile composition 3. Intrigues et dialogues : l’art du dramaturge 4. Prolongements : maîtres et valets au théâtre, du XVIIe siècle à nos jours Séquence 3 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction L’objet d’étude Pour l’objet d’étude « Le texte théâtral et sa représentation

Séquence 3 Beaumarchais Le Mariage de Figaro, ou la folle journée (1784) Objet d’étude ̈ Le théâtre, texte et représentation. Sommaire Introduction p.199 1. L’œuvre et son contexte p.201 2. Le Mariage de Figaro : une habile composition p.221 3. Intrigues et dialogues : l’art du dramaturge p.252 4. Prolongements : maîtres et valets au théâtre, du XVIIe siècle à nos jours p.270 Séquence 3 – FR10 197 I ntroduction L’objet d’étude Pour l’objet d’étude « Le texte théâtral et

BEAUMARCHAIS LE MARIAGE DE FIGARO PRESENTATION Épître dédicatoire aux personnes trompées sur ma pièce et qui n'ont pas voulu la voir. Ô vous que je ne nommerai point ! Cœurs généreux, esprits justes, à qui l'on a donné des préventions contre un ouvrage réfléchi, beaucoup plus gai qu'il n'est frivole ; soit que vous l'acceptiez ou non, je vous en fais l'hommage, et c'est tromper l'envie dans une de ses mesures. Si le hasard vous la fait lire, il la trompera dans une autre, en vous montrant

-> bétail. On se trouve rassuré à être mineur car nous sommes habitués à être guidé par d'autres. Le courage est de penser par nous même sans avoir recours à l'autorité. Les tuteurs doivent nous stimuler à penser non nous contraindre. Kant → critique du pouvoir, de l'autorité, du savoir (remise en cause des science par ex) par la raison. Il faut viser l'autonomie, mais c'est pas parce que l'on veut être autonome qu'on y parvient, de se dire j'ai tout en moi mm, je n'ai pas besoin des autres

poétique pongien : le refus de la poésie traditionnelle, faire coïncider le mot et la chose, surprendre le lecteur. SEQUENCE 4 (séquence majeure) : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, une pièce entre comédie et drame. Problématique : En quoi Le Mariage de Figaro illustre-t-il l’évolution du genre théâtral au XVIII° siècle ? Perspectives d’étude : les caractéristiques de l’écriture théâtrale, l’importance du contexte historique

valeur essentielle du XVIII ème siècle. Le XVIIIème siècle apparaît comme une période de fermentation intellectuelle qui culmine, en France, avec la Révolution. L’hommes des Lumières est le philosophe : c’est un contestataire, qui par un usage critique et méthodique de sa raison, remet tout en cause. La Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen (1789) est inspirée par l’esprit des Lumières. Les Lumières bénéficient du développement des économies au XVIIIème siècle, du progrès des sciences

(1789 et ses suites) => 1715 – 1789. Le XVIII° est l’héritier d’un XVII° qu’il critique et combat peu à peu (monarchie absolue de droit divin, privilèges, inégalités, censure etc.), en même temps qu’il sait lui rester fidèle (fidélité à la monarchie : mais constitutionnelle et libérale, le « Philosophe » réalise la synthèse du « Libertin » et de l’ « Honnête Homme » tels qu’ils ont pu apparaître au XVII°, esprit critique héritier du « doute méthodique » de Descartes etc.). Il annonce toutefois, dans

textes, qui ont figuré parmi les pages les plus photocopiées par les étudiants de lettres avant de devenir disponibles, bien plus tard seulement, dans des recueils posthumes (Barthes, Le Bruissement de la langue, 1984 ; Foucault, Dits et écrits, 1994), énonçaient le credo de la théorie littéraire des années 1970, diffusée sous le nom de post-structuralisme, ou encore de déconstruction. Au départ, ces deux critiques étaient animés par un mouvement d'hostilité à l'égard de l'histoire littéraire lansonienne