Analyse Pratique Infirmière Service Pneumologie

s’ouvrant à partir de 1930 aux communes voisines.   Le développement de l’hôpital  De grands médecins ont donné une autre dimension à l’hôpital avec un rayonnement international. Il s’agit notamment du professeur Marc Iselin qui devint chef de service de chirurgie en 1941 et développa un savoir-faire internationalement réputé dans le domaine de la chirurgie de la main. Le docteur Max Fourestier, pneumologue renommé auquel le nom de l’hôpital rend hommage, réalisa de 1945 à 1962 des expériences

Tableau de concordance de codes de cours Ce tableau de concordance permet à l’utilisateur de se renseigner sur la nouvelle codification des cours, instaurée avec la mise en service de Capsule. Les données sont présentées dans trois colonnes : ANCIEN, NOUVEAU et TITRE. Pour trouver un code de cours, vous pouvez faire ce qui suit. • • Cliquer sur un signet sous l’onglet latéral Signets. (Notez que les signets correspondent aux sigles de cours). Utiliser l’option Rechercher dans le menu

cabinet médical ou paramédical Recommandations Juin 2007 Avec le partenariat méthodologique et le concours financier de la L’argumentaire scientifique de ces recommandations est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél : +33 (0)1 55 93 70 00 - Fax : +33 (0)1 55 93 74 00 Ce document a été validé par le Collège de la Haute Autorité de santé en juin 2007. © Haute Autorité de santé

de la nôtre. Une mauvaise vie n'était pas digne d'être vécue, c'est pourquoi eugénisme et euthanasie ne pouvaient en général pas choquer. Il était permis dans certaines circonstances d'aider un individu à mourir. Par exemple, l'infanticide était pratiqué sur les enfants qui manquaient de santé et de vigueur. Socrate comme Platon approuvaient certaines formes d'euthanasie, dans des cas particuliers. L'euthanasie volontaire pour les personnes âgées était une coutume approuvée dans plusieurs civilisations

retraite, y meurent au moins deux fois plus souvent. Le pourcentage de décès à domicile et de morts en clinique privée est plus élevé dans les régions du sud de la France. 86% des décès qui surviennent en établissement de soins, ont lieu dans des services de courte durée1, 12% en « soins de suite et de réadaptation » et 2% en « hospitalisation à domicile ». ™ Alors que les hôpitaux publics assurent 62% des séjours globaux des malades, ils comptabilisent près de 78% des décès qui surviennent en établissement

attentes de nos Responsables, qu’ils soient des responsables techniques, administratifs, logistique, ou autres de notre CRM, consistant en la combinaison cohérente et synergique de la théorie dispensé sous forme de formation au premier secours, avec la pratique au différents établissements de santé autant public que privé, dans le sens d’aboutir positivement à une parfaite insertion dans le milieu professionnel. C’est ainsi que ce stage de maitrise, s’est avéré comme étant une étape indispensable, voire

1/ Le personnel………………………………..…………………………….... 9 2.1.1.le personnel médical………………………………………………….… 9 2.1.2.lepersonnelsoignant…………………………………………………….. 9 2.1.3.le personnel administratif…………………………………………..…. 10 2.1.4.Autres prestataires de service……………………………………...….. 10 2.3/ Les malades……………………………………………………………... 10 2.3.1.les admissions………………………………………………………… .10 2..3.2.les sorties………………………………………………………………11 2.4/ La réception des familles……………………………………………….11

surveillance en France ne documente pas les issues de traitement et moins bien la confirmation microbiologique. Un projet piloté par l’InVS et basé sur un logiciel spécifique (TB-info) diffusé dans les services de prise en charge doit permettre de remédier à cette insuffisance mais nécessite l’adhésion des services de prise en charge. En attendant, une expérience pilote parisienne suggère un résultat médiocre (taux d’échec de 20 %). A l’image de l’action récente du Royaume-Uni, la prise en charge et le suivi

médicaux, paramédicaux et sociaux leur permettant de savoir chercher l’information est indispensable : les malades doivent pouvoir être repérés et orientés rapidement et les sources d’information doivent être connues (Orphanet, Maladies rares info service, centres de référence et centres de compétences, associations de malades…). -soutenir les associations de malades, acteurs essentiels du plan qui doivent intervenir à tous les niveaux : définition des actions à mener, mise en œuvre et évaluation.

Renforcement des fonctions de gestion …………………….. 43 4.4.3. Axe n° 3 : Axe stratégique n° 3 : Améliorati on de l’offre et de l’utilisation des services .. 44 A. Amélioration de l’accessibilité géographique ……………………. 44 Page 3 sur 75 B. Amélioration de la qualité des soins ……………………………… B.1. Mise en œuvre du management de la qualité …………….. B.2. Définition du paquet de services et amélioration du plateau technique ………………………………………………. B.3. Amélioration de la maintenance du patrimoine …………….. B.4. Utilisation