Analyser Les Causes Des Variations Du Prix Du Pétrole

autres fonctions de l‟entreprise sont essentielles pour fournir le produit au client : avec la Direction : définition des choix stratégiques (marché, produit, organisation, implantation…) avec le marketing : définition des produits offerts, niveau de prix (et donc de coût de revient), délais de livraison et modes de distribution avec la finance : besoin en fonds de roulement (donc niveau des stocks) et politique d‟investissement. avec le contrôle de gestion : budgets, suivi des coûts de revient, reporting

classique réformiste et le classique socialiste. - Le classique libéral avec Adam Smith (1723-1790) appelé le père fondateur de l'école libérale, c'est un économiste anglais. En 1776, c'est la parution de son ouvrage « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des Nations » qui porte sur la croissance économique. C'est un hymne au marché et à la concurrence. Deux thèmes importants, la division du travail qui est à l'origine de la croissance de la richesse des Nations et l'idée de l'optimum

notion de modèle économique E. Comparaison avec la microéconomie F. Résumé A. Qu'est-ce que la macroéconomie ? La macroéconomie s'efforce d'expliquer le fonctionnement global de l'économie. A cette fin, elle réunit des données sur les revenus, les prix, l'emploi et de nombreuses autres variables économiques à des époques et en des lieux différents. Sur la base de ces observations, elle formule et élabore des théories permettant d'expliquer les données rassemblées. Son objet n'est pas seulement de

courants : > le courant keynésien : étude du salaire et du travail : Mrs J. Robinson, Nicolas Kaldor, Minsky > le courant synthétique : synthèse de Keynes et Walras = théorie moderne des déséquilibres la rigidité de certains prix et salaires va entraîner des rationnements pour les agents économiques qui entraîne des reports. > Le courant monétariste : apparu fin des années 1950, représenté par Milton FRIEDMAN. La demande de monnaie est stable. Il

des nations 22 10. L’analyse économique de Ricardo 24 11. La loi de Say 26 12. Les termes du débat sur les Corn Laws 28 13. L’analyse néoclassique 32 14. L’analyse macroéconomique de Keynes 34 15. Les rigidités de prix 38 16. La courbe de Phillips 42 17. La nouvelle économie classique 46 18. La nouvelle économie keynésienne 48 3. Les grands moments de l’histoire économique 22 19. La Révolution industrielle anglaise (1760-1830) 50

décisions aboutissant à fixer des prix trop élevés ne concernent pas seulement, hélas ! les taux de change. C'est une erreur malheureusement classique qui est commise dans de nombreux secteurs. En agriculture, par exemple, c'est la fameuse et calamiteuse PAC - la politique agricole commune. En matière pétrolière, c'est le coup de force de l'OPEP en 1973, que l'on fait apparaître comme une victoire du tiers-monde et qui s'est retourné contre lui. Les prix peuvent aussi être fixés à des niveaux

différents types de sociétés (nations sauvages/nations civilisées). SMITH utilise le terme de « sociétés plus avancées » et fait une typologie des sociétés grâce à leur niveau de développement économique. Il va se demander quelles sont la nature et les causes de la richesse des nations. Puis, comment les moins avancées peuvent-elles se développer ? Sont-ils tous appelés à se développer ? Ces questions là sont au cœur de l’économie politique à l’époque. La réponse de Smith : il faut laisser faire la main

moins deux m ar A trimestres consécutifs). En revanche, quand la croissance devient négative, on parle de dépression (suppose une chute de la production forte et durable (la crise de 1929 par exemple) qui s’accompagne d’une déflation (baisse des prix et des salaires). IO B- Modalités de la croissance. O U La croissance économique dépend à la fois de l’augmentation des quantités de facteurs de production utilisés dans le processus productif, mais aussi de l’amélioration des techniques de JA

envisagés. Nous nous limiterons à l’examen du calcul des prix de revient, de la réforme de structure intervenue en 1938 à la direction générale des Glaceries, des rapports aux directions générales et à l'utilisation des budgets et des 321 prévisions dans les années trente. Ces outils paraissent, en effet, seuls pertinents pour expliquer le développement du contrôle budgétaire. A- Les prix de revient et le contrôle L'histoire du prix de revient est déjà ancienne chez Saint-Gobain. Elle a

Intégration des décisions dans un contexte plus large. . . . . . . 19 19 24 22 25 26 111. Calcul et évaluation des coûts et avantages de la politique de l'environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. Analyse coûts-avantages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Etudes nationales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Utilisation d'indicateurs de l'environnement . . . . . . . . . . . . . . 26 26 30 32 IV