Anastasie Et Delphine

Goriot, qui va finir par le considérer comme son fils, «  Ah! C’est vous, mon cher enfant, dit le père Goriot en reconnaissant Eugène.» page 286, surtout au moment ou lorsque le père Goriot était dans l’incapacité de d’aider financièrement sa fille Anastasie et qu’il commençait a se sentir mal, que Rastignac « épouvanté, prit la lettre de change souscrite à Vautrin, et dont le timbre comportait une plus forte somme ; il en corrigea le chiffre, en fit une lettre de change régulière de douze mille francs

de la determination, des choix à faire. Toutes personnes confondu peut ce reconnaître dans Eugène, il vie des malheurs du quotidien que tout le monde vie comme le manque d'argent, il vie des petites choses de la vie quotidienne comme son aventure Delphine de Nucingen, rien de plus banale de nos jours. Voila pourquoi à mon sens Eugène de Rastignac est le heros de ce livre. 2) Les personnages secondaires sont : - Le père Goriot; c'est aussi lui le titre du livre. C'est un personnage qui influence

percer dans la haute société. Il est aidé en cela par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l’initie aux mystères du grand monde. Cette dernière lui révèle également le secret de Goriot : il s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen qui le tiennent à l’écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès de leurs maris aristocrates, mais elles ont honte de la façon dont s’est enrichi leur père. Elles ne rechignent toutefois pas à accepter ses aides lorsque

deux mansardes où loge Christophe un garçon de peine et Sylvie la cuisinière) -Horace Bianchon : étudiant médecine, ami de Rastignac. -Anastasie de Restaud : comtesse ravissante, divine, furieusement belle, une des plus jolies femmes de Paris, jolie fille, grande, bien faite, brune, cheveux noir, œil vif, grands yeux noirs, formes pleines et rondes, -Delphine de Nucingen : blonde, mince de taille, charmante, cils blonds, visage en long Par contre « la grosse Sylvie » est maigre dans le film

conseils criminels de Vautrin. Très vite il fait son chemin dans les hautes hiérarchies sociales. Chaque relation lui apporte quelque chose de différent, et elles l'aident toutes à progresser dans sa quête. Il va connaître une relation amoureuse avec Delphine de Nucingen, fille du Père Goriot. • Le père Goriot , 69 ans, ancien négociant et commerçant, il a fait fortune en vendant ses farines au bon moment profitant de la disette pendant la periode de la Révolution pour les vendre a un prix avantageux

Rastignac un conseil pour monter en haute société : arriver par les femmes. Le plus vieux pensionnaire est le père Goriot. Il a fait son argent comme fabricant de pâtes pendant la révolution. Il s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, afin de leur assurer une bonne place dans la haute société. A la pension, Vautrin révèle cyniquement à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir à la puissance. Il veut faire sa fortune et il le pousse

social mais qui finalement sont semblables de par leurs emplois exagérés des clichés du défaut parisien. On retrouve en chacun des personnages, différentes illustrations de l’arrivisme (Rastignac), de l’opportunisme (Vautrin), de la vénalité (Anastasie et Delphine) ou encore de l’immoralité (Les amis de Mme de Beauséant lors de sa ruine). II. Détails de l’hypocrisie intra-muros. Vautrin Dans le livre, de nombreuses démonstrations de l’hypocrisie parisienne ont lieux à l’intérieur même de la Pension

prêt à tout pour ces filles jusqu'à se ruiner. Mme Vauquer : Détentrice d’une pension bourgeoise ou se trouve Mr Goriot et ces autres convives. Eugène de Rastignac : étudiant venu conquérir Paris en pensant devenir célèbre. Delphine : Fille du père Goriot. Anastasie : Fille ainée du Père Goriot. Le lieu : Région parisienne. L’époque : 19eme siècle Résumé : Dans une pension bourgeoise dirigée par Mme Vauquer se trouve plusieurs habitants loges selon leur classe sociale. Ces pensionnaires

Le roman « Le Père Goriot » de Honoré de Balzac a été publié en 1835 est une oeuvre réaliste qui décrire les classes sociales, l’obsède de l’argent et l’éducation. La thème principal est l’amour paternel de père Goriot pour ses deux filles Anastasie et Délphine. Cet amour maladif qui va détruire le père à la fin Père Goriot a fait son fortune pendant la révolution vendant des pâtes. il a perdu sa femme très tôt et élévé ses deux filles lui-même. Il les a gâté sans cesse : « Riche de plus de soixante

quartier opposé à celui des affaires. • Dans un monde « sans pitié » (ligne 6) où il faut être craint ; où l’on n’a pas d’autre choix que d’ « être le bourreau » ou la « victime » ; comme de Nucigen et de Marsay qui sont eux les bourreaux de Delphine qui se « meurent de chagrin » et qui serait prête à s’humilier pour entrer dans les salons. B. décrit un monde de « dupes et de fripons », « un labyrinthe » où l’on a sans cesse des batailles à livrer. Selon B. la réussite tient à la maitrise de