Ancêtre

Introduction (amorce, problématique, annonce du plan) / Plan / Conclu La préhistoire Préhistoire du territoire que deviendra la France Des australopithèques aux hommes de Cro-Magnon Des hominidés particuliers, les autralopithèques : les plus proches ancêtres des êtres-humains ● Plusieurs périodes : * paléolithique * néolithique * âge des métaux aussi appelés protohistoire Les évolutions biologiques des êtres humains Les caractéristiques du genre (qui regroupe plusieurs espèces) : Homo

volume de la boîte crânienne. La découverte de Lucy en 1974 a permis d'appuyer la théorie d'une origine africaine de la lignée humaine. En 2004, la découverte du Piérolapithèque en Catalogne a fourni de nouveaux éléments sur la question du dernier ancêtre commun. Cette espèce date d'environ 13millions d'années avant le présent. II. La place de l'homme parmi les primates Les primates partagent des caractères communs dont un pouce opposable aux autres doigts de la main, des ongles plats et des orbites

Les monstres de Sénèque : nefas et exaltation du héros en monstre. Raconte métamorphose en monstre > accomplissement d’un « moi » suprême. I – Définition et structure de la pièce a)Définitions : - dolor : - furor : vient des ancêtres du héros, amour criminel de Phèdre vient de sa mère, prolongement d’un dolor exacerbé. Folie furieuse du nefas. Folie d’Hercule : folie psychologique, n’est pas nécessité du théâtre. Acte volontaire de comportement, se défait de ses affectations familiales. Phèdre

macroscopiques prennent en compte l’état ancestral et l’état dérivé des caractères. Seul le partage d’états dérivés des caractères témoigne d’une étroite parenté. Ces relations de parenté contribuent à construire des arbres phylogénétiques. Les ancêtres communs représentés sur les arbres phylogénétiques sont hypothétiques, définis par l’ensemble des caractères dérivés partagés par des espèces qui leur sont postérieures ; ils ne correspondent pas à des espèces fossiles précises. Une espèce fossile

être le progrès des moyens de communication et d’information, contribuant souvent au rapprochement des hommes entre eux. Nous priver de cette technologie, sachant qu’elle existe, nous rendrait malheureux dans la majorité des cas. Mais voilà, nos ancêtres n’avaient pas accès à ces «merveilles de la technologie» et n’en était pas moins malheureux ou nécessairement moins heureux que nous. Le progrès technologique vise principalement à corriger ou répondre à un certain problème qui titille l’homme. Si

de tous les côtés. La porte refermée derrière nous, nous sentîmes un souffle de vent agiter les papiers entassés dans les coins. La lumière nous permit de discerner des caractères anciens et des dessins datant du Moyen Age. Les portraits de mes ancêtres tapissaient les murs verdis par le temps. Ils nous regardaient d'un air sévère et dédaigneux comme s'ils avaient voulu dire : "Tu mérites une correction, mon petit !" Nos pas résonnaient dans toute la maison. Le même écho qui répondait jadis à

3- L’apparition de l’Homme Les plus lointains ancêtres de l'homme (les australopithèques) sont apparus il y a 4 millions d'années. Des ancêtres plus proches (Lucy, homo habilis, puis homo erectus) ont commencé à utiliser des outils. Il y a 750.000 ans, ils ont maîtrisé le feu. Désormais, nous changeons encore d'échelle de temps pour parler en milliers d'années, puis en années... L'homme actuel (l'homo sapiens-sapiens), est apparu il y a 200.000 ans. Cela représente 0,0013% de la durée d'existence

XXème : Henning énonce le Cladisme (ou science des branchements). Soit remplacement de l’arbre généalogique figurant les ancêtres à descendants, par l’arbre phylogénétique retraçant des relations de proximité. En d’autres mots, on cherche à établir qui est plus proche de qui et on ne recherche plus un ancêtre considéré comme inconnaissable. Les constats de Henning : 1. Tous les caractères n’évoluent pas à la même vitesse.

société Négro-Africaine). 5- La mort tant redoutée n’est qu’un passage obligé dans un monde dit des ancêtres pour tous ceux qui remplissent les conditions préalables (rites de passage du monde des vivants à celui des morts ou rites d’éternisation). 6- L’ancêtre primordial est un principe vital qui se réincarne dans ses descendants. Ce qui conduit à la pratique rituelle du culte des ancêtres. L’ancêtres étant perçu comme une divinité intermédiaire entre les êtres humains et le monde transcendantal

définissent par rapport à des ancêtres communs hypothétiques et se traduisent par des arbres phylogénétiques. – La position dans le temps d’un ancêtre commun peut être évaluée par les données paléontologiques (fossiles). L’ancêtre commun précède la plus ancienne espèce fossile présentant les caractères de l’ancêtre commun. – L'arbre phylogénétique est une représentation dans le temps de l'évolution. Les ancêtres communs correspondent aux nœuds, les caractères acquis avant un ancêtre commun sont des caractères