Andreas Baader

à la Sorbonne, en mai 1968. PHOTO G SIPAHIOGLU SIPA POUR DE VRAI 1er mai 1970 Sartre devient directeur de la Cause du peuple. 5 février 1973 Parution du premier numéro de Libération, sous l’égide de Sartre. 4 décembre 1974 Sartre visite Andreas Baader incarcéré à Stuttgart. 22 mai 1974 Serge July prend la suite de Jean­Paul Sartre à la tête de Libération. LIBÉRATION Mardi 9 juillet 2013 www.liberation.fr 19737 Donzelot et tant d’autres, que JeanPaul Sartre – Sartre ! un dieu pour moi

évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire. Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son devoir d'engagement moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à Andreas Baader, le révolutionnaire allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne des élans de sympathie pour le vieil homme. Il signe

évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire. Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son devoir d'engagement moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à Andreas Baader, le révolutionnaire allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne des élans de sympathie pour le vieil homme. Il signe

russe en Tchécoslovaquie. Sartre s’engage dans le soutien au gauchisme : en 1970, il prend la direction du journal maoïste La Cause du peuple, en 1973, il publie un long entretien intitulé « On a raison de se révolter ». Puis il rend visite à Andreas Baader, et aux officiers portugais de la « révolution des œillets ». Enfin, dans ses dernières années, Sartre opère un ultime virage : il s’investit surtout dans la défense des victimes du communisme (dissidents russes, réfugiés vietnamiens), est reçu

former la RAF d'autant plus que le policier bénéficie d'un non lieu. Et à partir de là, à Francfort le 2 Avril 1968, l'équivalent des Galeries est incendié par un groupe de 4 étudiants dont ANDREAS BAADER et GUDRUN ENSSLUN qui avaient participé aux manifestations d'avant. Ils vont multiplier les attentats et BAADER va finir par se faire prendre, va en prison et le 14 Mai 70 une journaliste vient l'interviewer et c'est ce jour qu'elle rentre dans la RAF en faisant libérer le prisonnier. À partir de

milliers d’étudiants. En Pologne, à Varsovie, des altercations entre la police et les étudiants ont lieu. En Allemagne, les membres de « La Fraction armée rouge », organisation d’extrême gauche, dont les fondateurs Gudrun Esslin (1940-1977), Andreas Baader (1943-1977) incendient deux grands magasins à Francfort pour protester contre la guerre du Vietnam. De plus, en réaction à l’attentat contre Rudi Dutschke, leader de la ligue des étudiants socialistes (SDS) en RFA, les étudiants manifestent dans

Sartre évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire. Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son devoir d'engagement moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à Andreas Baader, le révolutionnaire allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne des élans de sympathie pour le vieil homme. Il signe aussi

Sartre évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire. Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son devoir d'engagement moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à Andreas Baader, le révolutionnaire allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne des élans de sympathie pour le vieil homme. Il signe aussi

Félix, Jonathan Heckel, Judith Morisseau, Anne-Sophie Sterck, Cécile Fradet (acrobate), Mell (guitare électrique) Consultation historique Fanny Bugnon / Traduction de l’italien Danièle Amsermet, Gloria Paris / Traduction de l’allemand Astrid Rostaing, Andrea Schieffer / Traduction du japonais Kentaro Sudoh / Collaboration artistique Paul Grivas / Assistanat à la mise en scène Aude Schmitter / Musique Eryck Abecassis et guitare électrique Mélanie Frisoli / Dispositif technique Thomas Pachoud / Création

évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire. Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son devoir d'engagement moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à Andreas Baader, le révolutionnaire allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne des élans de sympathie pour le vieil homme. Il signe