André Cayatte

dans la chose regardée !» [ André Gide ] - Les nourritures terrestres «Il y a des maladies extravagantes qui consistent à vouloir ce que l'on n’a pas.» [ André Gide ] - Les nourritures terrestres «L'oeuvre d'art, c'est une idée qu'on exagère.» [ André Gide ] - Journal «Toute chose appartient à qui sait en jouir.» [ André Gide ] - Si le grain ne meurt «C'est un art de contempler ce que les ans nous apportent plutôt que ce dont ils nous privent.» [ André Gide ] - Les cahiers de la petite

Fin de partie,écrit par Samuel Beckett est une œuvre qui présente le "nouveau théâtre" qui illustre l'angoisse de la condition humaine suite au choc de la Seconde Guerre mondiale et l'imposition d'un nouveau théâtre face au théâtre traditionnel. En effet,les personnage dans l'œuvre tournent en dérision la condition humaine (ils rigolent de leurs malheurs,comme "l'accident où nous laissâmes nos guiboles" et les gestes mécaniques de Clov illustrent bien la dérision).De plus,tous les personnages sont

s L'homme face à la technique ou la dénaturation de masse par moi Choc. Au détour d'une bande dessinée, sans grand intérêt, du moins quand on pas le banquier de l'éditeur, qui méprise autant l'auteur, décédé, paix à son âme, son œuvre, plus que jamais vivante, et le lecteur, légume lobotomisé, on tombe nez à nez avec cette planche. Elle a au moins le mérite de réveiller le lecteur, comatant, grâce à son rouge sang. Mais elle fait plus: elle le déroute. Il la relie, se demande si elle a sa

l'homme et du monde. Texte A : Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV (1883). Texte B : Emile Zola (1840-1902), Germinal, septième partie, chapitre VI (1885). Texte C : Jean Giono (1895-1970), Regain, deuxième partie (1930). Texte D: André Malraux (1901-1976), La Condition humaine, septième partie (1933). Texte E : Albert Camus (1913 -1960), La Peste, cinquième partie, chapitre 5 (1947). ECRITURE I) Après avoir lu tous les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante

scènes décrites sont parfois dramatiques, parfois épiques. Les descriptions sont claires et imagées. Il utilise des termes géographiques et techniques L’époque Contemporains Anatole France 1844/1924 PIERRE LOTI 1850/1923 MARCEL PROUST 1971/1922 ANDRE GIDE 1869/1951 FRANCOIS MAURIAC 18885 JEAN PAUL SARTE 1905 PAUL CLAUDEL 1868/1955 PAUL VALERY Mon avis J’ai aimé le côté récit des aventures de l’auteur Pilote de ligne sur le parcours Toulouse-Casablanca, il mit aussi en service les lignes

la première guerre mondiale ayant montré l'attrocité et l'ignominie de l'homme, les surréalistes ne veulent plus respecter les règles établies dans la société par ces mêmes personnes. Il vont donc chercher une alternative, créer leur propre monde. André Breton, surnommé le « Pape du surréalisme », définit ce mouvement dans le Manifeste du surréalisme, écrit en 1924. Il y parle de l'importance du rêve et de l'état de veille comme étant producteur de phénomènes intéressants. Il souligne également que

laine de son chandail et y restant collée. Il éleva légèrement le bras droit, stupéfait du silence qui continuait à l'entourer, comme si son geste eût dû déclencher quelque chute. Mais non, il ne se passait rien : c'était toujours à lui d'agir. André Malraux, La Condition humaine, I, Gallimard, 1933.

André Gide est né en 1869 dans une famille de la haute bourgeoisie protestante . Son père est un brillant professeur à la faculté de droit de Paris, et sa mère, la fille d'un industriel rouennais du textile. André Gide est élevé dans une atmosphère puritaine. Petit garçon émotif et de santé fragile, il est sujet à des crises nerveuses répétées qui lui valent de nombreuses cures. André Gide est très affecté de perdre, à 11 ans, son père, cet être érudit et généreux qu'il admire. C'est son premier

surnommé Israël : Jacob Affaire «  Mata Hari » : affaire d’espionnage Une fauvette : un oiseau passereau Propre ligne de vêtements à Z : Lorie Acteur français, « trois hommes et un couffin », « un cœur en hiver » ou « on connait la chanson » : André Dussolier Artiste 19ème, « Le radeau de la méduse » ou « course à Epson » : Théodore Gericault Les trois glorieuses : trois journées révolutionnaires du 19ème Maurandie : plante mexicaine

douleur de la rupture dans de nombreux poèmes, dont Annie et La Chanson du mal-aimé. Entre 1902 et 1907, il travaille commence à publier contes et poèmes dans des revues. En 1907 il décide de vivre de sa plume. Il se lie d'amitié avec Pablo Picasso, André Derain, Edmond-Marie Poullain, Maurice de Vlaminck et le Douanier Rousseau, se En 1913, il publie Alcools, somme de son travail poétique depuis 1898. Il s’engage dans l'armée française en décembre 1914 , ce qui déclenche sa procédure de naturalisation[]