Anne De La Trave

Souvenirs d'enfance avec ANNE DE LA TRAVE, une des maitresses de Bernard sous les chênes d'ARGELOUSE (P.27).Arrivée à la gare de St-Claire avant Argelouse. CHAPITRE III (P.23) : B.Desqueyroux a hérité de son père, à Argelouse, une maison voisine des Larroque; puis présentation de la famille Larroque + portrait de Bernard par Geneviève (p.32) .De retour ds son pays natal, elle se confronte aux problèmes de la nature (cf source tarie de la HURE P.35).Souvenir de Mme VICTOR DE LA TRAVE, mère de Bernard répétant

Souvenirs d'enfance avec ANNE DE LA TRAVE, une des maitresses de Bernard sous les chênes d'ARGELOUSE (P.27).Arrivée à la gare de St-Claire avant Argelouse. CHAPITRE III (P.23) : B.Desqueyroux a hérité de son père, à Argelouse, une maison voisine des Larroque; puis présentation de la famille Larroque + portrait de Bernard par Geneviève (p.32) .De retour ds son pays natal, elle se confronte aux problèmes de la nature (cf source tarie de la HURE P.35).Souvenir de Mme VICTOR DE LA TRAVE, mère de Bernard répétant

si le mieux s'accentue, j'irai chez mon père" = Protestation de son père. CHAPITRE II (P.18) : Appréhension de sa rencontre avec Bernard. Mixage de différents souvenirs ; "Liste des médicaments + Rire du juge...".Souvenirs d'enfance avec ANNE DE LA TRAVE. Arrivée à la gare de St-Claire avant Argelouse. CHAPITRE III (P.23) : B.Desqueyroux a hérité de son père, à Argelouse, une maison voisine des Larroque; puis présentation de la famille Larroque + portrait de Bernard par Geneviève. De retour

1767, les jésuites quittèrent Sélestat et la ville acheta l'église. Elle fut réouverte au culte le 17 février 1800 et affecté à la paroisse en 1803. elle est classé monument historique en 1862 et fut l'objet de nombreuse restauration a partir des années 1890. Elle sont effectué par l'architecte Winkler qui est le conservateur des monuments historiques. Il commence par démolir toutes les constructions jésuites afin de lui redonner son apparence d'origine et rénove l'eglise selon sa vision idéal d'une

les années 1920-1930 dans la région bordelaise. Ce mariage est un mariage d’intérêt. Elle et son mari Bernard, sont issus de familles bourgeoises. (Chapitre 4) Bernard est un homme beaucoup plus simple qu’elle qui aime les bons repas et la chasse. Thérèse aime lire, rêver, échanger des idées et elle s’ennuie auprès de son mari. Elle se sent prisonnière. Elle est très renfermée sur elle-même. (Chapitre 4) Ses seuls moments de bonheur, elle les vit avec son amie d’enfance et belle-sœur, Anne de La

dans ce décor. Anne, la sœur de Bernard, le mari de Thérèse, par exemple a « perdu sa fraîcheur »(l.18). Elle a « des vilaines oreilles pâles »(l.19). On parle peu, « on ne prononçait pas le nom du fils Deguilhem ».(l.20). Il y a dans cette petite enceinte fermée des problèmes familiaux, qu’il faut gérer avec tact. Certains membres s’évitent. Les verbes de paroles sont utilisés avec une négation, comme ici et auparavant Anne qui n’ « adresse plus la parole »(l.17) à Thérèse. Anne était tombée

peu, 2 rumeurs se répandent : l'une disant que Marie est le portrait de T, et une autre disant que T n'est pas une bonne mère, qu'elle n'a aucun sentiment maternel et qu'elle n'aime pas son enfant. Ces 2 rumeurs s'opposent, l'une avantage Mme de la Trave et l'autre T, les 2 essaient de supprimer celle qui les désavantage. En effet, une rumeur se répand d'abord, disant que T et M se ressemblent. >. T tente de couper court à la rumeur énergiquement :> elle tente de montrer leurs différences et de

nervures inscrites dans un carré. Ce système exige une alternance de piles fortes, composées et colossales, et de piles plus faibles, colonnes basses et simples. Finalement, ce système n’a été appliqué que dans une seule travée, mais expliquerait l’alternance des piliers. Les autres travées sont couvertes de voûtes barlongues (2x+ longues que larges). Transept peu saillant, choeur peu profond entouré d’un déambulatoire. Une tour lanterne s’élève entre le déambulatoire et les croisillons, sur la croisée

piétons comme un » temple du savoir » . La symétrie est très marquée par la travée centrale qui comporte la porte principale d’entrée, hors normes, en fer forgé très travaillé. Elle est essentiellement constituée de lignes verticales, 2 larges piliers viennent entourés l’ouverture. Un chapiteau orné d’une fresque vient coiffer l’ensemble et une corniche termine la travée sur un toit terrasse. Toute la travée vient couper le bâtiment en 2 par ses verticalités et semble s’élever vers le ciel

Saint-Sernin. Le regard se porte vers l'est, découvrant l'immensité de l'espace intérieur jusqu'à l'abside majeure. Une forte impression d'harmonie et de sérénité se dégage de l'équilibre des volumes architecturaux. La restauration entreprise dans les années 1970, débarrassant l'édifice de ses enduits les plus récents, a rendu aux maçonneries les nuances de couleur des matériaux qui les composent. Par la grâce de la lumière parvenant indirectement des fenêtres des tribunes et des collatéraux, l'ocre doré