Annie Playden

Avec son recueil Alcools, paru en 1913, Apollinaire renouvelle le lyrisme en l'ouvrant à la poésie de la modernité ; il s'inscrit ainsi dans la continuité de Baudelaire, Verlaine et Rimbaud. Texte extrait de Rhénanes, inspiré par sa liaison avec Annie Playden. Poème que son titre place sous le signe du renouveau, mais qui, paradoxalement, offre quand même une vision négative et mélancolique du monde et de l’amour. Caractérisation (à titre indicatif ; en tenir compte dans l’explication, mais ne as

LA CHANSON DU MAL AIME - GUILLAUME APOLLINAIRE INTRODUCTION La Chanson du mal aimé est un poème extrait du recueil Alcools publié par Apollinaire ; en 1913. Après sa rupture avec Annie Playden, rencontrée en Allemagne sur les bords du Rhin, Apollinaire conte son errance de « Mal Aimé » dans Paris. Les dernières strophes de ce long poème, écrit sous une forme de quintiles d’octosyllabes avec des jeux de rimes, réécrivent le mythe d’Orphée : comme autrefois l’amant de Eurydice. En quoi l’écriture

Elanor de Milhaud. Il tombe amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refuse ses avances[3]. C'est la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace (La Lorelei, Schinderhannes). De retour à Paris en août 1902, il garde le contact avec Annie et se rend auprès d'elle à deux reprises. Mais en 1905, elle part pour l'Amérique. Le poète célèbre sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux poèmes, dont Annie et La Chanson du mal-aimé. Entre 1902 et 1907, il travaille

pour les reines Les complaintes de mes années Des hymnes d'esclaves aux murènes La romance du mal-aimé Et des chansons pour les sirènes Analyse “La chanson du mal-aimé” commémorait le premier amour, à vingt ans, d’Apollinaire pour l’Anglaise Annie Playden qu’il avait rencontrée en Allemagne. Le poème se comprend si on a présente à l’esprit la chronologie des événements qui marquèrent cette relation : en 1901-1902 se déroula leur idylle rhénane («L’année dernière en Allemagne» [vers 59] est 1902)

Milhaud. Il tomba amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refusa ses avances. C'était alors la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace (La Lorelei, Schinderhannes). De retour à Paris en août 1902, il garda le contact avec Annie et se rendit auprès d'elle à deux reprises. Mais en 1905, elle partit pour l'Amérique. Le poète célèbra sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux poèmes, dont Annie et La Chanson du mal-aimé. Entre 1902 et 1907, il travailla

études aux lycées de Cannes puis de Nice. Il se fait ensuite précepteur dans une famille allemande. Dans cette famille, il rencontre une anglaise prénommée Annie Playden, avec laquelle il va vivre une courte aventure amoureuse, qui toutefois va profondément le faire souffrir. Lorsque Annie le quitte, il la suit en vain jusqu'en Angleterre, mais Annie s'en va en Amérique en 1904, s'éloignant définitivement d'Apollinaire. De retour en France en 1908, on lui connaît une liaison avec l'artiste peintre Marie

comme si la capitale française avait sa musique si particulière en harmonie avec les états d’âme des artistes. Guillaume Apollinaire, dans La Chanson du mal aimé (1913), déambule aussi dans Paris, en proie au mal d’amour. Amoureux éconduit de Annie Playden, une jeune Anglaise rencontrée en Allemagne, il cherche dans ce décor urbain des résonances avec sa peine et un divertissement contre sa douleur. Comment le poète amoureux associe-t-il dans son poème-chanson le topos du dépit amoureux au thème

Il deviT précepteur de la fille d’une vicomtesse franco-allemande (Mlle de Milhau). Voyage en Allemagne et en Europe de l’Est. Tombe amoureux de la gouvernante anglaise de Mlle de Milhau (Annie Playden) mais amour non réciproQ = retour malheureux à Paris 1903 – 1904: 2 voyages en Angleterre pour reconquérir Annie (1905: elle se marie aux Etats-Unis) Revient en France et écrit Rhénanes (à la fin de Alcools) ds lequel il parle de mythologie et d’amour perdu III. L’épanouissement littéraire (1904

Jeu sur « tombées » et « flétries » avec « les pétales » en anaphore Titre du poème : Mai : On s’attend à un poème joyeux sur le printemps Mouvement = éloignement, disparition progressive de l’amour (Ici, c’est à Annie Playden que fait référence Apollinaire : voir le poème Annie) Conclusion : Conception poétique : poème qui parait traditionnel, mais on peut observer la présence de juxtaposition, et une discontinuité qui annonce une esthétique nouvelle. : Il renouvelle la tradition, ORIGINALITE

I) Le thème de la rupture amoureuse 1) Le poème «  L’émigrant de Landor Road » p 4, 5 2) Le poème « Le Pont Mirabeau » 3) Le poème « Marie » 4) Le poème « Annie » II) Le rapport à la poésie 1) Le poème « Automne Malade » 2) Le poème « Le Brasier » 3) Le poème « Vendémiaire » III) La solitude et l’errance de l’auteur 1) Le poème « Nuit Rhénane » 2) Le poème « Zone »