Antarctique

Manchot royal Il a le cycle de reproduction le plus long des manchots avec une durée entre 14 et 16 mois d'où deux poussins par période de 3 saisons de reproduction (3 ans). * Manchot empereur Il ne se reproduit que pendant l'hiver antarctique, de juin à août. * Petit manchot bleu et Manchot à ailerons blancs Il peut se reproduire tout au long de l'année et a le plus petit cycle de reproduction, environ 50 jours. * Manchots des zones tempérées: manchots de Humboldt, du

prévoir l'évolution du climat lorsque les conditions changent, les scientifiques analysent le présent mais aussi le passé. En examinant les petites bulles d’air piégées dans la glace qui s’est accumulée pendant des centaines de milliers d’années en Antarctique, les climatologues ont retracé les variations du climat. Chaque carotte de glace selon sont ancienneté permet de remonter à la nature de l’air et à la température de l’époque. Elles révèlent dans notre histoire l’alternance de périodes glaciaires

enregistré une profondeur de 564 mètres et une durée de plongée de 21 minutes et 48 secondes. Adaptation au froid Comme tous les oiseaux, les manchots sont des homéothermes, c'est-à-dire des animaux à sang chaud. Dans le froid des régions antarctiques et sub-antarctiques où la température extérieure peut atteindre les -40 °C à terre et les -2°C en mer, ils doivent maintenir leur température interne aux environs de 40°C ! Leurs plumes forment une couche épaisse et leur duvet, en contact direct avec la

grand nord canadien, en Islande, Norvège, Finlande, Russie etc,… les habitants de ces régions peuvent donc profiter de ce spectacle, de Septembre à Mars. Tandis que dans l’ovale auroral sud, on peut les voir qu’en Patagonie et sur le continent Antarctique, zone vide de tout habitant, les pingouins peuvent malgré tout observer quelques aurores de Mars à Septembre.

froids mais plus nuageux, tandis que la probabilité de vagues de chaleur sévères serait accrue. Les pluies intenses seraient plus nombreuses, de même sans doute que les tempêtes. A cause de l’augmentation des températures les régions arctique et antarctique se réchauffent. Le Groenland et l’antarctique pourraient fondre rapidement, ce qui entraînerait une élévation du niveau de la mer d’au moins deux mètres. De plus, les glaces réfléchissent les rayons du soleil, limitant ainsi le réchauffement de

nitrique se condensent pour former des nuages dans les couches basses de la stratosphère. Dans ces nuages se forme du chlore, qui aboutit à la destruction de l'ozone. Le trou dans la couche d'ozone est habituellement beaucoup plus important en Antarctique qu'en Arctique car il y fait beaucoup plus froid. Les relevés effectués jusqu'alors au pôle Nord indiquent que la diminution d'ozone est très variable et bien plus limitée que dans l'hémisphère Sud. Des observations satellitaires menées entre l'hiver

d'ozone dans la basse stratosphère en Antarctique furent observées pour la première fois dans les années 70 par un groupe de recherche britannique du British Antarctic Survey (BAS). Il effectuait des mesures de l'atmosphère au-dessus de l'Antarctique. Bien que la réduction de la couche d'ozone ait également été observée aux moyennes latitudes et en Arctique, la perte la plus importante et la plus significative a lieu dans la basse stratosphère en Antarctique .La quantité d'ozone qui se situe au-dessus

mer des Antilles, la mer des Caraïbes, le golfe du Mexique et le golfe de Guinée. - L’océan pacifique : C’est l’océan le plus vaste de la Terre. Il est situé entre l’Amérique à l’est, le détroit de Béring au nord, l’Asie à l’ouest, l’océan Antarctique et l’Australie au sud. Il couvre 178.7 millions de km², soit un tiers de la surface du globe. Sa profondeur moyenne est de 4267m, avec un maximum de 11034m dans la Fosse des Mariannes. · Le relief : La dorsale du Pacifique est située au

suffisante de la surface des eaux (les UV ne pénétrant qu'en surface). Ce fut le cas au cours de l'éon Archéen, lorsque l'atmosphère de la Terre était dépourvue de dioxygène (et donc d'ozone). À la fin des années 1970, des recherches scientifiques en Antarctique ont mis en évidence une diminution périodique de l'ozone dans cette région polaire. Ce que l'on a appelé le « trou de la couche d'ozone ». Il se forme au printemps dans l'Antarctique (à la fin de la nuit polaire) et s'agrandit pendant plusieurs

été réalisés dans les deux calottes glaciaires de la Terre, les inlandsis. Ils ont débuté en 1966 au Groenland et en 1968 en Antarctique. Ces forages nous livrent des carottes de glace qui sont de véritables archives du climat passé. La glace de surface est contemporaine, mais son âge augmente en fonction de la profondeur du prélèvement. De ce point de vue la calotte antarctique est plus intéressante car elle est plus épaisse (plus de 4 kilomètres au sommet du dôme de Vostok) et elle s'écoule plus lentement