Antarctique

France d’outre-mer est en revanche soumise à des climats tropicaux (avec de fortes variantes)b 8, auxquels il faut ajouter les exceptions guyanaise (climat équatorial)9, de Saint-Pierre-et-Miquelon (climat océanique)10 et des Terres australes et antarctiques françaises (climats polaire et océanique)11. La France métropolitaine connaît des événements climatiques aux conséquences importantes : des tempêtes (celles de décembre 1999 ont abattu 7 % des arbres des forêts françaisesb 9), des canicules

Discussion Selon les longues heures de recherche faites par les Tarzanettes le Renard polaire serait une superbe espèce à inclure au Biodôme, mais cela serait un projet assez difficile. Premièrement, si on introduit notre animal dans l’écosystème du Sub-Antarctique, il sera entouré de pingouins de différentes espèces. Comme on a appris tout au long de nos recherches, il y aura alors de la prédation. C’est pourquoi, il faudrait séparer le renard des pingouins. En ayant discuté a plusieurs guides du Biodôme

Tobago : 1er (1532-1797) Sainte-Croix : 1er( 1651-1733) Saint Domingue (Aujourd'hui Haïti et République dominicaine) : 1er (1623-1802) Amérique du Sud Brésil (Rio de Janeiro brièvement et São Luís brièvement) : 1er (1655-1660) (voir France antarctique et France équinoxiale) Guyane : 1er, 2e (1604-1652, 1662, 1670-1946) [DOM depuis 1946] Îles Malouines :1er (1764-1767) Continent africain Afrique du Nord Maroc (89 % du territoire du Maroc actuel était sous contrôle français, le reste étant

le moins extraordinaires de ses personnages vers le pôle sud. Ce qui est surprenant dans ce roman , c'est la liaison persistante qui existe avec le roman d'edgar Poe " les aventures de Arthur Gordon Pym ", ce Pym, qui lui aussi a parcouru la mer antarctique. Cela devient un mélange de fiction et de réalité où les personnages de Poe font partie de l'ouvrage de Verne . Le chapitre V du Sphinx des glaces résume très bien les aventures de gordon Pym et nous entraine dans le monde délirant de Poe. Et on

baleine bleue peut prendre diverses teintes de gris-bleuté sur le dos et un peu plus clair en dessous. On dénombre au moins trois sous-espèces distinctes : B. m. musculus dans l’Atlantique Nord et le Pacifique Nord, B. m. intermedia de l’océan Antarctique et B. m. brevicauda découverte dans l’océan Indien et dans le sud de l’océan Pacifique. B. m. indica, découverte dans l’océan Indien, pourrait être une autre sous-espèce. Comme les autres baleines, la baleine bleue se nourrit essentiellement d’un

appareil photo, un chien, un chat ou encore un chinchilla ? Ça n’a rien à voir avec cela. Peut-être une télévision, une chaîne hi-fi, une voiture, une somme d’argent ou une paire de chaussures ? Tu n’y es pas. Ce n’est autre qu’un voyage, mais où ? En Antarctique ? Il y fait bien trop froid ! En Amérique ? L’Anglais et moi, ça fait deux. En Allemagne ? Je ne suis pas linguiste ! Mais non, un voyage si merveilleux, un voyage si lointain, un voyage si rare, un voyage si grand, un voyage si proche, un voyage

expériences tentées par des explorateurs portés par d’autres valeurs, même si l’aspect économique n’est jamais très éloigné. C’est le cas de l’expérience menée par l’amiral de Villegagnon et de sa France Antarctique. ------------------------------------------------- Document 4 : La « France antarctique » de l’amiral de Villegagnon Carte française de la baie de Guanabara (future Rio de Janeiro) dressée vers 1555. Le 10 novembre 1555, l'amiral français Nicolas Durant de Villegagnon relâche dans

* dans l’océan Pacifique : la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna, Clipperton ; * dans l’océan Indien : la Réunion, Mayotte, les Îles Éparses, les Îles Crozet, les Îles Kerguelen, Saint-Paul-et-Amsterdam ; * en Antarctique : la Terre Adélie[note 7].

Résumé: Simon est un médecin faisant partie d'une expédition scientifique françaises révélant en Antarctique un signal émis par un émetteur et provenant de la profondeur des glaces. Cette expédition rassemblant de nombreuses nations est organisée afin d’entreprendre des fouilles pour rejoindre le point d'émission du signal. Les chercheurs des différentes nations communiquent grace à des ordinateurs traduisant leurs paroles.Cette expédition découvre les ruines d'une civilisation disparue et les

restent à terre toute l'année. Lorsqu’ils sont à la recherche de la nourriture, plonge moyenne habituellement d'environ 30 m de profondeur et durent environ 2 minutes. Préoccupation mineure effectif en hausse. Le nombre d'otaries à fourrure antarctiques ont été réduit à moins de 3000 individus dans les années 1800. En 1964 ils sont devenus une espèce spécialement protégées et depuis lors ils ont considérablement élargi leur gamme et sont à peu risque de disparition et le nombre total de la population