Anthologie Sur Les Fables De La Fontaine

limitation grammaticale dans les tout débuts de l’apprentissage, en fonction des besoins réels des élèves. Locke, qui fut l’un des premiers à préconiser une telle méthode, conseille ainsi : Prenez quelque livre facile et agréable, par exemple les Fables d’Ésope traduites en latin. Faites écrire à l’élève une ligne de latin, et au-dessous les mots anglais correspondants : que l’élève lise et relise ces deux lignes chaque jour, jusqu’à ce qu’il entende parfaitement les mots qui les composent. Appliquez

établir des liens, et rendre « cliquables » les éléments affichés (textes ou images), de manière à vous en servir pour déclencher toutes sortes de mécanismes. Par exemple, dans l’application décrite ciaprès, le fait de cliquer sur le nom « Jean de la Fontaine », à l’aide du bouton droit de la souris, provoque le défilement automatique du texte (scrolling), jusqu’à ce qu’une rubrique décrivant cet auteur devienne visible dans le widget (voir le script correspondant page suivante). D’autres fonctionnalités

bien sûr, d’une évidente actualité ; on n’hésitera pas à élargir la réflexion, la questio n de l’être et du paraître étant cruciale à l’adolescence. C’est une des principales raisons qui nous ont fait retenir cette fable parmi toutes celles de La Fontaine. 5. On trouve le portrait du coq effectué par le souriceau du vers 9 au vers 14, puis aux vers 18 et 19 : « Et l’autre turbulent et plein d’inquiétude […] La queue en panache étalée. » « Il se battait, dit-il, les flancs avec ses bras, Faisant

d’affronter le marché national, mais le marché national pouvait à son tour ébranler les bases de l’entreprise, mal équipée pour affronter un tel monstre, violent, imprévisible, capricieux. Pourtant l’entreprise, à l’opposé de la grenouille de La Fontaine, disposait d’un avan- DE LA MÉDIATION MARCHANDE AU MARKETING 76 tage non négligeable : son « enflure » ne reposait pas uniquement sur du vent. L’entreprise était grosse non d’air, mais d’hommes et d’objets. Les uns étaient porteurs d’ambitions

les sens possibles du texte, les questions qu’il pose aux enfants, et que les élèves se posent à partir de lui, et ce en vue d’en discuter. 6) Le même travail réflexif peut être fait à partir du patrimoine local et/ou universel des contes, légendes, fables, qui constituent un réservoir inépuisable de réflexion et de sagesse. Et peut-être surtout des mythes, qui, en abordant la question des origines, nous renvoient à l’universalité de la condition humaine et à ses mystères. Plus spécifiquement, l’utilisation