Anthroponymie

un âge optimal pour apprendre en dehors de la famille. 2.2 L'enfant maillon L’enfant est d’abord un maillon de la lignée familiale : il est destiné à faire perdurer la famille, le nom. Cela se manifeste notamment dans le choix des prénoms (anthroponymie). En général les enfants portent les mêmes prénoms que leurs ancêtres. Aujourd'hui on essaie d’individualiser l'enfant en utilisant des prénoms d'origines différentes. Cela nous renvoie à une vision cyclique de la vie humaine, qui s’oppose à l’individualisme

"langue de l'autre", une forme de pénétration, par effraction, dans le corps des mots et des sens. Cela se fait par le recours aux termes "indigènes"15, par les emprunts et les interférences de toutes sortes, y compris au niveau de l'onomastique (anthroponymie, toponymie, ethnonymie, etc.)16. Cela se fait aussi par d'audacieuses créations lexicales17, au départ individuelles, qui se répandent ensuite dans la langue générale18, par des re-créations sémantiques (processus de resémantisation des mots français

l’historien sont consacrées aux noms des lieux, des rivières, de personnes et portent les noms respectivement de toponymie, 63 Paul ROBERT, Dictionnaire Alphabétique et analogique de langue française, Paris, 1990, p.1189. 71 hydronymie, anthroponymie, formés tous trois d’après d’anciens mots grecs. »64 Dans le cadre de notre travail, nous nous intéresserons à l’anthroponymie, mais aussi à la zoonymie, c’est-à-dire le nom des animaux. L’étude onomastique consiste à apprécier la dénomination

effraction, dans le corps des mots et des sens. Cela se fait par le recours aux termes « indigènes » (Termes désignant des réalités locales spécifiques), par les emprunts et les interférences de toutes sortes, y compris au niveau de l'onomastique (anthroponymie, toponymie, etc.). La plupart des auteurs recourent aux emprunts de mots et aux noms propres locaux dans leurs titres comme dans la désignation des personnages, des lieux ou des peuples. Cela se fait aussi par d'audacieuses créations lexicales