Jardin de Boboli

La villa Gamberaia et son jardin                Le jardin Gamberaia est un jardin typique de la renaissance italienne accompagnant une villa de forme parallapipède, située dans les Apenins en Toscane, région constituée à 80% de collines. Cette villa surplombe la ville de Florence qui marquée la puissance des propriètaires. Le changement fréquent de propriétaires a fait évoluer ce jardin en passant par différents styles.       Le jardin au fil des siècles               Edifié en 1618, il faudra un

et fut dessiné par Filippo Brunelleschi. Les Médicis acquirent le palais en 1560, et y emménagèrent. Actuellement, le palais abrite notamment la Galerie Palatine, la Galerie d'Art moderne et les appartements royaux. Le Jardin de Boboli est adjacent au Palais Pitti. Le jardin, construit pour Éléonore de Tolède est remarquable pour sa collection de sculptures. La Galerie des Offices est sans conteste le plus beau musée de peinture d'Italie, et l'un des principaux au monde. Le palais qui l'accueille

significatifs qui secouèrent l'Italie durant le précédent siècle. Histoire de l'Art Giorgio Vasari publie son ouvrage fondateur Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes. Art pictural des Grottes La mise en place des Jardin de Boboli derrière le Palais Pitti de la famille Médicis illustre de manière symptomatique « l'art grotesque », ou grotto art. Expansion de la Renaissance hors d'Italie Diffusion en France Partis pour conquérir l'Italie, les souverains français reviennent

et émail, pour François I. C) L'art des jardins: VIGNOLE, Villa Lanté, 1568-1578 Utilisation de plantes persistantes (buis, cyprès, ifs,...) puisqu'elles ne perdent pas les feuilles et peuvent être taillées. Idée de symétrie. On utilise de l'eau, en créant des système hydraulique, de plus en plus complexe. Si l'on s'éloigne de la Nature dans la peinture et dans la sculpture, on l'utilise pour les jardins (grottes artificielles et sculptés: jardin de Boboli; création de fausse ruines rappelant l'antiquité)

irrationnelles ». Mémoire d’archéologue La démarche créatrice d’Anne et Patrick POIRIER tient à la fois du travail de l’archéologue mettant à jour des éléments de cités englouties, du bâtisseur dans la lignée des sculpteurs fontainiers des jardins de Boboli à Florence ou de Versailles, et de l’architecte. Ils sont qualifiés « d’archéologues du rêve ». L’œil fixe le temps. C’est un œil-mémoire qui incarne celle, douloureuse et belle, de civilisations englouties. Plus qu’un œil, il est peut-être un

monumentale des Palazzi de la ville construit à la moitié du XVe siècle, et accueille la galleria Palatina qui abrite une collection extraordinaire de peintures dont certaines œuvres de Raphaël, et Titien Puis visite du Jardin Gardiono Di boboli, situe a côté  du Palazzo Pitti, ce jardin à l’italienne dessiné en 1550 s’impose grâce à ses grottes, fontaines, et statues. Retour à l’hôtel en fin d’après midi, dîné, logement sur Florence Jour 4 Florence Petit déjeuner à l’hôtel puis visite

Introduction : « Un jardin n’est pas la nature, c’est une invention de l’esprit, un espace à part, étranger, une « hétérotopie » (une localisation physique de l'utopie. Ce sont des espaces concrets qui hébergent l'imaginaire. Les hétérotopies, présentes dans toute culture, peuvent voir sa fonction différer dans le temps). M. Foucault Art de vivre, le jardin est un lieu de mémoire dynamique qui a une place toute particulière dans l'imaginaire : il exprime la façon dont un groupe humain, dans des

commanditaires du XVIe siècle, cette grotte artistique est le lieu de la séduction et du plaisir érotique. Cette idée de plaisir érotique est soulignée par la présence de la statue de Vénus, réalisée également par Giambologna, dans la grotte des jardins Boboli. Ainsi, déjà, ces grottes constituent ce que l’on pourrait appeler (de manière anachronique, admettons-le) des œuvres d’art totales. En effet, cette association de plusieurs techniques et de plusieurs disciplines, comme la musique et la sculpture

d’une atmosphère mystérieuse et édifiante, rehaussée d’effet d’émerveillement. Dans de nombreux cas, il s’agit de véritables œuvres d’art totales qui font dialoguer architecture, sculpture, peinture, installations hydrauliques, pièces de collection et jardin. La décoration profita beaucoup des découvertes et études des monuments romains, notamment la Domus aurea de Néron et ses grotesques. Outre leur irrésistible impact esthétique, rehaussé d’une force quasi magique, ces grottes reflètent souvent un intérêt

sur lesquels il laisse son empreinte : son appartement parisien situé au-dessus du Moulin Rouge, où il partage sa terrasse avec Boris Vian, et sa maison d’Omonville-la-Petite, où il finit ses jours. Par l’originalité de son aménagement, de son jardin, la maison garde aujourd’hui l’âme que Jacques Prévert lui a transmise. Janine et Jacques Prévert devant leur maison © Fatras – Succession Jacques Prévert Historique Comme il l’avait fait pour son appartement de la Cité Véron à Paris, Jacques