Anti Héros Rejeté Par Lecteur

histoire racontée  Le plaisir de la fiction. A- La distraction • Le roman est facile à lire : peut se lire dans le bus, dans le métro, dans son lit… • Roman : raconte une histoire > intérêt du lecteur + le roman a une multitude de thèmes (VS le théâtre) => peut intéresser tous les lecteurs : peut parler d’amour, d’histoire, de sciences, de meurtres, de pensées, etc. • Le roman fait oublier les soucis, le réel pendant le moment de la lecture. Évasion.  Cf. les robinsonnades du xixe siècle :

première partie retrace le parcours de Julien Sorel en province à Verrières puis à Besançon et plus précisément son entrée chez les de Rênal, de même que son séjour dans un séminaire ; la seconde partie porte sur la vie du héros à Paris comme secrétaire du marquis de La Mole. héros du roman. Fils d'un charpentier de Verrières, il est anobli à la fin du roman. Un temps précepteur chez Monsieur de Rênal où il est l'amant de Mme de Rênal, il vit ensuite dans un séminaire avant de devenir secrétaire chez

d’éléments surnaturels, de créatures fantastiques. Le lecteur rêve de faire partie du roman, pour vivre ses aventures avec des personnages, des éléments inhabituels ou absents dans la réalité. Harry Potter de J.K Rowling, qui utilise la magie ou Le seigneur des anneaux de J.R.R Tolkien qui utilise des créatures fantastiques sont des séries de livres qui font rêver grâce à leurs aventures merveilleuses. Le lecteur se retrouve, s’identifie à ces héros imaginaires. Enfin, le rêve dans un roman peut

quotidienne très ordinaire. Nous pouvons deviner ce qu’il vient de se passer et ce qu’il va arriver. Le héros va sortir du restaurant où il vient de diner. Qui : le narrateur néglige de donner une présentation complète et hiérarchisée des personnages. Il fait déjà apparaitre un personnage secondaire « la caissière » (l.1) qui grâce à l’article défini semble déjà connue ensuite seulement apparait le probable héros Georges Duroy (l.2). On remarque que le narrateur omniscient prend la peine de le nommer suggérant

convictions et celles de ses compagnons qui seront celles de la plupart des lecteurs (« stepan : je n’ai pas assez de cœur pour ces niaiseries. Quand nous nous déciderons à oublier les enfants, ce jour là, nous serons les maîtres du monde et la révolution triomphera », ce à quoi répond une de ses acolytes : « Dora : ce jour là, la révolution sera haïe de l’humanité entière ») . Ceci provoque un rejet du lecteur à l’égard de cet anti-héros manipulé par des forces qui le dépassent totalement et semblent le

prouvent un détail ridicule du récit… ; plus encore : apostrophes comiques destinées aux lecteurs : « Buveurs très illustres » (Prologue) ; énigmes proposées au lecteur (début et fin du récit que l’on ne comprend pas) PS : ne pas oublier de rajouter ici et là des ex tirés du parcours : vous pouvez utiliser La Fontaine, La Bruyère et encore la lecture cursive (obligatoire) Micromégas de Voltaire (dont les héros sont des géants également, le but étant la critique de la société du 18e s) II.Cependant

univers est la mise en suspens du monde réel qu'il rejette et l'immersion dans un autre monde. Cette fugue spirituelle est apporté par la perte de soi. Le lecteur s'abandonne et s'oublie pour se mettre dans la peau de son personnage. Cette empathie est si forte chez certains que celle-ci peut être vu comme une vie par procuration du lecteur par son héros, pour vivre ces histoires exceptionnelles exaltant ses sentiments . Pendant ce processus le lecteur est transposé dans un monde avec un mode de valorisation

à rs 2. Le personnage de roman au XXe siècle Groupement 1 L’héroïsme en question ....................................................................... 37 J. de la Ville de Mirmont, Les Dimanches de Jean Dézert E La médiocrité d’un héros de roman .. 37 J. Genet, Journal du voleur E La glorification des marginaux ........................................................... 38 L.-F. Céline, Voyage au bout de la nuit E La lâcheté revendiquée ..........................................

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Généralement le coeur dans la littérature symbolise l’amour. Il est le siège de toutes les passions. C’est donc vers une connotation romantique que ce titre, l’attrape-coeurs me fait penser. Il est fort probable que l’auteur a cherché à séduire le lecteur en utilisant ce titre que je trouve accrocheur. En tout cas, rien ne peut laisse deviner, à celui qui va le lire, le thème difficile, qu’est le passage de l’adolescence à l’âge adulte, qui est traité dans ce livre 2. Rapports entre le titre