Antiochus Personnage Bérénice

et des ambiguïtés. « Scène de la vie parisienne » : Dans Sarrasine, écrit en 1842, Balzac commence avec un style romantique frappant. En effet, le narrateur « était plongé dans une de ces rêveries profondes », ce qui montre ce romantisme. Le personnage est en position de voyeur, dans l'embrasure de la fenêtre. Le texte est en perpétuelle hésitation, le lecteur est incertain, même les couleurs ne sont pas claires. Le terme « fantastique » souligne l'atmosphère étrange. Le « Je » de Balzac nous

Bérénice I) L'Auteur : Jean Racine Jean Racine, né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un dramaturge et poète français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France sous Louis XIV. Il est le principal rival de Pierre Corneille.L'économie des moyens (densité du propos avec un nombre restreint de mots pour toutes ses œuvres, utilisation du confident pour rendre plus naturelle l'expression des personnages), la rigueur

Bérénice, Racine Acte V, scène 7 Bérénice de Racine est une pièce de théâtre tragique écrite en 1677, siècle du classicisme. Il y est question d’un empereur Romain Titus amoureux de Bérénice, reine de Palestine. Le mariage entre les deux ne peut se faire à cause de la loi romaine qui cite qu’un homme ne peut se fiancer avec un autre membre. Titus a préféré le pouvoir et a donc renvoyé B. dans son pays. C’est alors qu’Antiochus intervient pour prendre soin de B. mais il tombera follement amoureux

Explication de la tirade de Bérénice, Acte IV, scène 5 : proposition de mise en forme (en vue d’une lecture analytique à l’oral) Introduction Présentation auteur : Racine est sans doute le meilleur représentant du classicisme au théâtre. Ses tragédies sont empreintes de sobriété mais expriment les passions et les sentiments les plus absolus. Présentation œuvre : Dans Bérénice, tout particulièrement, il met en scène ce qu’il appelle luimême dans la préface, « une action simple, soutenue de la violence

v.1491-1495 : Bérénice rappelle les 5 ans écoulés (le passé) et souligne qu’elle n’a pas été guidée par l’ambition mais bien par l’amour : -(1492-1493) Ambition : "l'empire", "La grandeur des Romains, la pourpre des Césars". - (v.1495) Amour : répétition du vb "aimer" : 2 fois à la voix active, 1 fois à la voix passive. [à continuer] Ainsien 1671 défend-il dans la préface de Bérénice « l’invention (qui) consiste à faire quelque chose de rien ». La pièce, en effet, met en scène les amours

informative. Un effet d’attente est créé : Pourquoi Antiochus veut-il parler à Bérénice ? La fin de la première scène introduit la suivante « Va » qui indique qu’Arsace va partir et qu’Antiochus se retrouvera donc seul et pourra faire son monologue. Cette pièce est une tragédie classique avec un thème trouvé dans l’histoire romaine. « Invitus, invitam, dimisit » est une citation latine de Suétone (Malgré lui, malgré elle, il la renvoya). Bérénice est la pièce la plus classique qui pousse à son maximum

sur le « cabinet » où Titus et Bérénice ont l’habitude de se retrouver. Toute l’action se déroulera dans cette pièce qui à la fois sépare et réunit les amants ; les personnages viendront s’y confier, pleurer et dire leur souffrance. Le choix du lieu est bien sûr symbolique et donne le ton : "Bérénice" nous parle d’amour secret, « superbe et solitaire » (v.3), à l’image de ce cabinet. Ces adjectifs pourraient d’abord s’appliquer à la passion d’Antiochus pour Bérénice : réduit au silence depuis cinq

informative. Un effet d’attente est créé : Pourquoi Antiochus veut-il parler à Bérénice ? La fin de la première scène introduit la suivante « Va » qui indique qu’Arsace vapartir et qu’Antiochus se retrouvera donc seul et pourra faire son monologue. Cette pièce est une tragédie classique avec un thème trouvé dans l’histoire romaine. « Invitus, invitam, dimisit » est une citation latine de Suétone (Malgré lui, malgré elle, il la renvoya). Bérénice est lapièce la plus classique qui pousse à son maximum

tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Jean Racine, préface de Bérénice En vous référant à Bérénice expliquez ce qu'il faut entendre par « tristesse majestueuse ». Lors de sa parution en 1670, Bérénice fait polémique. En effet, de nombreuses personnes pensent qu'il ne s'agit pas d'une tragédie telle que l'a présenté son auteur, Jean Racine. Ainsi Théophile Gautier affirme « Bérénice, à dire vrai, n'est pas une tragédie, il n'y coule que des pleurs et point de sang. »

Commentaire de Français Bérénice, J. Racine (v 1103 à 1154) La tragédie est une histoire dans laquelle il arrive aux personnages un malheur, un problème qu’ils vont tenter de surmonter, de supporter mais n’y arriveront pas, cela les mènera à leur perte. Le genre tragique s’illustre parfaitement dans l’œuvre de Jean Racine, Bérénice que nous avons aussi vu au théatre interprété par la troupe du « Théatre permanent ». En effet dans cette œuvre, Titus s’apprête à épouser Bérénice, reine de Judée